lundi, 15 octobre 2007
Grosses légumes
............... Où l'on vit les cornichons de
Montlouis prendre vie ............
(spéciale dédicace à François, dont je sais combien il aime cette rubrique)
18:40 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (1)
B.S.S.L.
Tout écouter, chaque note de The Black Saint & the Sinner Lady, et puis rendez-vous au grand pylône ! On entre en transes sur ces morceaux de bravoure, et puis rendez-vous au grand pylône !
(On n'en parle plus, et puis boufniouze...)
16:40 Publié dans Jazeur méridional | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Jazz, écriture
La Tour de bambou
Dans la cosmogonie des Madi, en Ouganda, Ori est le dieu créateur de toutes choses. Doué d'ubiquité et d'omniscience, il ne se préoccupe guère de ce que font les hommes. Il vit dans les cieux ; c'est là que vivait aussi l'homme, autrefois.
Un jour, pour une raison obscure, l'homme et la femme furent expulsés du ciel. (Selon certaines versions du mythe, ils ont trébuché.) Une fois sur la terre, ils se sont mis à engendrer une nombreuse descendance. Les dieux ont alors fabriqué une corde en cuir de vache pour maintenir les liens ; de temps à autre, les dieux venaient festoyer et danser chez les hommes, et vice-versa.
Cela dura jusqu'au jour où l'hyène coupa la corde avec ses dents.
Les hommes tentèrent alors de retrouver le chemin des cieux en construisant une tour en bambou, mais la tour, trop haute et trop fragile, s'effondra.
(Adapté de : "Ori and the Rope of Cows' Hide" .
In Harold Scheub. A Dictionary of African Mythology. Oxford University Press, 2000.)
12:19 Publié dans Affres extatiques | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Afrique, Mythes, Ligérienne
Tout ça pour ça...
Désormais, la capacité de stockage des comptes électroniques GMAIL augmente à toute banane.
08:56 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
Le Vif argent
Ce fumeur de pipes collectionne les tableaux. Derrière lui, pourtant, on trouve plutôt, accrochés aux murs, divers diplômes et titres. Il se gratte la boudine d'un air circonspect.
Sans doute est-il possible d'imaginer - à condition d'avoir bu au préalable, plusieurs verres d'alcool en sa compagnie - d'autres usages possibles pour ces tableaux et diplômes : livres de comptes, lettres de maîtresses éplorées, photos des enfants à divers âges de l'enfance, morceaux de chandail et de veston arrachés à ses ennemis, cure-dents posés sur la table, lorgnons volés à des antiquaires, pédaliers de vainqueurs du Paris-Tours...
08:05 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Art, écriture