jeudi, 15 novembre 2007
1800 - De haute lutte
Avoir les ciseaux batailleurs sur le dos, rageurs de n'être rien. Tout peut arriver, quand tout s'effondre. On regarde ses bottes en croyant que c'est le ciel, la vie éternelle. Une marée noire en remplace une autre, et toujours plus de territoires meurent, défrichés d'inintelligence. Si, quand vous dites ne pas vouloir participer à la mêlée, on vous balance du mazout dans la gueule, les commandeurs du penser bien concluront que ça se règle tout seul. Mordre à l'hameçon, gainés dans les sangles...
18:10 Publié dans Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Ligérienne, écriture, Photographie, Art
Commentaires
Meuh non.... , y'en a un qui rêve de couper les vers de terre en quatre (plutôt que les cheveux comme des petits cons actuellement)) et l'autre qui veut démultiplier les pattes d'araignées au plafond ( qu'ont certains en ce moment)
Écrit par : Catherine Lalot | vendredi, 16 novembre 2007
Ma photo est plus jolie que la tienne !
http://l-esprit-de-l-escalier.hautetfort.com/archive/2007/06/09/misericordes.html
Écrit par : Philippe[s] | vendredi, 16 novembre 2007
Je me trompe ou bien vous traitez encore insidieusement les étudiants bloqueurs de nazis par le biais de la croix gammée inversée que forment un peu maladroitement les jambes de ces deux personnages brandissant des cimeterres rien de moins qu'ayatollahiens ?
Ah, décidément, Guillaume, vous semblez vraiment chercher les ennuis.
Écrit par : Chieuvrou | vendredi, 16 novembre 2007
Pour comprendre la tournure ironique du commentaire d'Astolphe :
http://tourainesereine.hautetfort.com/archive/2007/11/16/i-m-c-mon-amour.html
Écrit par : Guillaume* | samedi, 17 novembre 2007
Je vous propose le jeu du pannoy... c’et moins dangereux.. trouvé aussi sur une miséricorde.
http://sauldreetsologne.hautetfort.com/archive/2006/05/14/pannoy-un-jeu-calibre-pour-les-ffe.html
Écrit par : P. B. | lundi, 19 novembre 2007
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