mardi, 11 octobre 2011
Quasi cristaux
Je suis sujet à des évanouissements, à des éblouissements. Un grand cri dans la nuit, un grand Christ étoilé dans le noir, un grand crucifix au mur de la chambre, et un Christ humble, vivant et splendide accompagnant notre périple. Il n'y a pas de cheikh, ni de shaker. Personne abandonné, on écrase une larme. Eau et fer sont fréquents, offert se rencontreen tous lieux, dans les entrailles d'un poulet. C'est un voyage de mots. C'est un voyage de phrases.
On célèbre... quoi...? les quasi-cristaux ? on célèbre... est-on vraiment emballé ? ce n'est pas dit. Qui confond jeu de mots et calembour s'évertue à avoir raison. Une phrase compliquée, c'est un voyage de mots. C'est un voyage de phrases ! Tout de même, c'est un voyage, mais dans la pierre. Notre périple nous conduit parmi les promeneurs aux ombres à jamais immobiles. Nous y sommes. Phrases, pages que nous parcourûmes. Ce journal ne peut s'écrire qu'en devenant imaginaire. Les ratures pullulent, ça m'agace. Les ratages s'accumulent, ça dépasse le Suédois, ça surpasse les fourmis, ça fait une impasse. Les ratures pullulent. Les rats pullulent. On ne sera plus bien loin de La Teste.
La Teste ? êtes-vous fous ? nous descendons la Loire.
23:07 Publié dans Entre Baule et Courbouzon | Lien permanent | Commentaires (0)
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