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samedi, 16 mars 2013

Insolite épisode de la vie d'Anton(in) Dvořák

On le sait peu, Anton Dvořák 

Aimait beaucoup Jacques Chirac.

Questionné par Le Parisien,

Le très émouvant musicien

Lança un jour « Il est fort, Jacques ! »



Lukas Dvořák.jpg

(En illustration : une photographie d'un certain Lukas Dvořák.

J'aime bien les hasards de l'homonymie, et les filles à oilpé.)


Commentaires

Tu n'as pas honte !

(Un poste de lecteur en Afrique du Sud sur fabula.org)

Écrit par : Alice | samedi, 16 mars 2013

Si, si, bien sûr, j'ai honte.

Ne me fais pas cruellement videment rêver.

Écrit par : Guillaume | samedi, 16 mars 2013

Je ne songeais pas à toi (tu n'es pas surqualifié?), mais à des étudiants que tu connaîtrais.

J'ai acheté la revue "Afrique-Asie" de ce mois (très anti-US, ai-je découvert. Très anti hypocrisie post-coloniale, ce qui en soit paraît légitime. Difficile de mesurer la vérités qd on n'a aucune connaissance des sujets abordés).

Bref "ce que je voulais dire c'est que" lorsque j'aurai récupéré la revue dans le salon, je te citerai les noms de la rubrique "livres".

Écrit par : Alice | samedi, 16 mars 2013

Merci, j'irai voir et ferai passer.

Je ne connais pas cette revue. Please telle me more, indeed !
La question de l'hypocrisie post-coloniale est un vaste sujet, mais dont un des principes (au sens de "points de départ") est le primat du politique en théorie post-coloniale. Or, ce primat du politique n'est pas du tout l'apanage des "ex-colonisateurs" ou des "ex-colonisés", mais l'objet d'un consensus, qui, en soi, est hypocrite.

(Participé tout récemment au grand colloque de clôture de la résidence C.L., qui portait justement sur la ré-esthétisation, en quelque sorte, des études post-coloniales. Mais, dès qu'on politise, on n'échappe pas au politique : soit la ré-esthétisation donne des gages de politiquement correct, soit elle s'expose à des attaques sur son "vide idéologique" ou son caractère réactionnaire. Cercle vicieux.)

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Je ne pensais pas que mon limerick idiot et les deux oreilles / jarretelles déboucheraient sur une discussion aussi abstraite ;-)

Écrit par : Guillaume | dimanche, 17 mars 2013

Donc les noms :
- Mama Ngoné Faye, "Epaves oniriques" Harmattans Sénégal 2011 (poésie)
- Halima Hamdane, "Le Chaos de la liberté" Editions le grand souffle, 2012 (rapports mère/fille, Maroc, Islam, liberté sexuelle des femmes, pour résumer la critique)
- Maaza Mengiste, "Sous le regard du lion", actes Sud (Ethiopienne arrivée aux Etats-Unis à 3 ans en 1974)

Écrit par : VS | samedi, 30 mars 2013

Beneath the Lion's gaze est sur ma "reading list" depuis quelque temps déjà. Pas entendu parler des autres, donc un immense MERCI.

Écrit par : G. Cingal | dimanche, 31 mars 2013

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