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samedi, 30 novembre 2013

Trois poèmes, dont deux de faïence

I

reste

là dans cette bulle


reste là

dans cette bulle de silence


un voile léger

s'envole sans frémir


un voile

léger s'envole


la promesse du passé

qui reviendra


reste


.


II


cris          pas dans la nuit

pas précipités

   la    corneille

prend son envol               criaille

un                trottoir se fige

la nuit                 comme un salut

à d'autres destinées


.


III


clapotis sur le velux

pluie


à peine


sons ne recouvrant

rien


tout au plus l'épopée

castor pollux

un monde sonore épais


à peine


sous

le velux


Tours, 28-29 novembre 2013.

(Les précédents poèmes faïence ont été publiés ici.)

15:21 Publié dans Buandes | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 29 novembre 2013

╔épuisé═

épuisé il se dit même
pas la force
le temps
l'envie
d'écrire même l'amorce
d'un poème

jeudi, 28 novembre 2013

═rooibos╔

le roi est rouge
son front hâve ses joues rubicondes

je bois ce verre à ta santé

le roi est rouge j'ai
en ramassant des trèfles
à cinq feuilles fait infuser
cette tisane de nèfles

que tu aimais tant

quand nous nous parlions

mercredi, 27 novembre 2013

Mercredi matin

La brosse à cheveux est tombée sur le sol carrelé de la salle de bains avec un bruit métallique, à la limite du fracas.

La difficulté, pour l'écrivain, serait de dessiner sans ambages la figure de la flèche orange courbe, puis de l'explorer — de l'insérer dans ses textes, dans un livre même, sans que cela fasse effet d'annonce.

Un jardin sur l'Oronte.

Y songer. Phobie du fatras.

mardi, 26 novembre 2013

Onze distiques ribéryens inédits autour de la routourne

Pigè-je ne pas la routourne et l'infortune

Si que je ne suis pas été pété de tunes.

 

Journaleux que se moqui de moi la routourne

Où sur le Bescherel j'avons une ristourne.

 

Hugo m'est dit chépakoi sur la tourneroue

S'il trouvit, bigleux, Sofiane Guitoune roux.

 

Planque Singapour fric pas impôts qu'on détourne

Cahuzac que lui aussi apprendu la routourne.

 

Hugo m'est dit corbeau qu'ont vu le sentinelle

S'il regardut l'oiseau plané de la tournelle. *

 

La routourne, ç'a vrai ! — je n'étons à la traîne

De s'avoir qualificatié contre l'Ukraine.

 

Blanquefort qu'il jouit, Valbuena et Libourne

Toponyme qu'on aime à rime avec routourne.

 

Crainte-je trop golri soleil plus que grésil

Si Munich ça n'a pas favelas du Brésil.

 

Content-je on a plaisir Rio et pas Melbourne

Si ç'offrit à Cingal la rime avec routourne.

 

On a écarquillu les yeux même Lloris

Que le coach nous parlont hubris et némêsis.

 

Merci du bord des mers à celui qui se tourne **

Endroit que j'aime slip de bain pour la routourne.

 

 

 

* Librement adapté de La Léjande dé sillèques.

** Citation des Content plassion.

lundi, 25 novembre 2013

╔ la parole des poivrots ╩

la parole des poivrots 
comme tombent leurs pantalons
télé allumée numéro 
17 ▬ hits de Céline Dion

.

dimanche, 24 novembre 2013

Lever silences

Mardi dernier, lisant, à la Bibliothèque des Lettres de mon université, un roman rare, introuvable, jamais réédité, emprunté grâce au service du PEB et qu’il était impossible de sortir de l’enceinte de ladite Bibliothèque, je commençai à prendre des notes, mais très vite je fus frappé de lire, ici et là, de loin en loin, un alexandrin. Je notai le premier, qui se trouvait à la première page. Puis il me vint l’idée de noter tous ceux qui pourraient, au moins au jugé – car le résultat final d’une telle opération est difficile à anticiper –, constituer, in fine, un sonnet.

Je me retrouvai donc à lire, à la hâte, de manière particulièrement vigilante, la première moitié de ce roman, tout en fixant une part non négligeable de mon attention sur le sonnet en cours, que j’ai pu achever après moins d’une centaine de pages lues (donc, bien avant que je m’interrompe) et dont je donne ci-dessous la version typographique définitive, qui comporte aussi, en exergue, un envoi et un sonnet de nombres.

Le fragment initialement prévu pour le vers 3 n’offrant pas une rime parfaite, il a été rebuté, au profit d’un emprunt extérieur. Le titre du sonnet est une anagramme du titre du roman

 

 

Lever silences

À mon amie la Colonelle.

 

Sa mise originale me plaît tout à fait :

Un canotier uni, comme les saints leur nimbe.

La reine de la fête nageait dans un limbe ;

Ce corps luxuriant l’étonnait, le déroutait.

 

Par une bonne humeur qui les attendrissait

Ce n’étaient que carquois et que torches flambantes

L’œuvre était d’une écriture alerte, pimpante,

Depuis que sa réputation s’élargissait.

 

Les passants, des êtres légers, ouatés de songe

Et dont les doigts de carabin, fumés sous l’ongle,

Indiquaient que l’Invisible était nul pour elle.

 

Par-dessous la voûte noire des marronniers,

J’ai rarement vu d’auscultation plus belle :

La cape de drap jaune avec le canotier.

 

Blouson, usures — 13-1-X-18-51-12-38-72-43-52-64-78-56-59

Trippy, tricky

Jetant un œil aux commentaires situés en-dessous d'une vidéo sur youTube, je glane ceci :

Trippy pictures dude.


Il me semble comprendre que cet adjectif, trippy, est péjoratif. Rien de certain, toutefois. Peut-êtyre suis-je influencé par ma méconnaissance de l'adjectif, la proximité phonique de crappy, et enfin ma propre (piètre) estime du choix des images servant à illustrer cet enregistrement (pirate) de la Cinquième de Sibelius par Karajan.

Après vérification dans l'OED, il s'avère que cet adjectif est bel et bien dérivé de trip au sens hallucinatoire. Selon les auteurs de l'OED, cette somme ahurissante et sublime de plus de cent mille pages, la première occurrence de l'adjectif remonterait à 1969.

trippy


Toutefois, je ne peux que noter ici avoir déniché, en quelques clics seulement, une occurrence nettement plus ancienne, dans Holidays at the Grange, or A Week's Delight d'une certaine Emily Mayer Higgins (1889). Qu'il me soit permis de citer ici in extenso tout le paragraphe, aussi délicieux qu'énigmatique, de la page 32 :

So the game went on, becoming every moment more difficult and more ludicrous—as Charlie called it, more trippy—and by the time it went round the second time, none escaped the horns. Any thing will do for the genteel lady to own, and it makes it more agreeable to vary it each time it is played: for instance, an eagle with a golden beak, silver claws, diamond eyes, ostrich feathers, bird-of-paradise tail, a crown on its head, a diamond ring on its thumb, a gold chain round its neck, a pocket-handkerchief in its hand, and any other nonsense you can string together. A lady's étagère or what-not would be a good medium for collecting together absurdities—Mont Blanc at the top, a gridiron below, a gold thimble at the side, the poets in a corner, a breakfast set on one shelf, a card-case above, a smelling-bottle at the side, a work-box, a writing-desk, a piece of coral, etc. A genteel lady's description of her mansion—certainly an extraordinary one—would be suitable; a modern-built house, with a porto-ricco in front, and a pizarro in the rear, a summer-house contagious, andturpentine walks, etc.

Genette à dents de sabre

Première remarque de narratologie d'Oméga, en C.P. cette année :


« Le tigre à dents de sabre rôde aux alentours. »

Pourquoi ils disent “rôde” ? Y en a plus depuis longtemps, des tigres à dents de sabre.


samedi, 23 novembre 2013

Deux quatrains amazoniens

Les vaches qui font de la viande

Bousillent la couche d'ozone.

« Je n'ai pas regardé s'ils vendent

Des mouchoirs sur Amazon. »


◄►


Je n'en ai rien battre

De ton site Amazon.

« Il y a quand même quatre

Euros de livraison. »

 

 

vendredi, 22 novembre 2013

Fou civil ↕

« Pas de baiser succinct dans cet amour infini. »

_°_°_ Et moi crevé comme rarement yeux explosés comme jamais.

jeudi, 21 novembre 2013

¯¯°¯¯¯¯°¯¯¯¯°¯¯¯¯°¯¯

« Maintenant, il m'arrive de lécher les icônes peintes à la mayonnaise sur les portières des poulaillers en rêvant de poulets rôtis à la diable. » (E.S., lettre à H.G., adressée à titre posthume) ¯¯°¯¯ «Le même homme, un peu plus tard, fait rouler la brouette de son père à travers le Kauwberg, dans la riche contrée uccloise. » (Fou trop poli, p. 18) 
¯¯°¯¯
(((interrogations sur “the Babylonian wo”)))
¯¯°¯¯
[ retrouvé le mauvais sonnet que je griffonnais à la tablette du wagon-bar et qui avait failli me faire louper St Pierre des Corps † les fils ramassaient les nèfles, moi les feuilles jaunes (la chatte dans les troènes) ‡ toujours pas envie de recopier ce mauvais sonnet ni les deux premiers neuvains joviens ]
¯¯°¯¯
« Des rafales rageuses puis des explosions éclatèrent » (C. Majdalani, p. 184) ¯¯°¯¯ c'est bien de refeuilleter, et c'est bon de relire ¯¯°¯¯ « Le trou de la cheminée n'était pas bouché et personne n'avait pu gratter le stuc collé sur le porphyre de Quenast. » (Fou trop poli, p. 60)

mercredi, 20 novembre 2013

D'un joueur de Ligue 1

Comme au Brésil à Pâque on mangeons de l'agneau 

Victor Hugo m'est dit : « je m'appel Montaño ». 

mardi, 19 novembre 2013

Saints rares du 19 novembre

Un brave Teuton, Tuton,

Ayant acheté un futon,

Découvrit que Mechtilde

(Sa femme, au nom sans ~)

Devait compter les moutons sur le futon de Tuton.

*

Un Cordouan, Théodemir,

Ayant aspergé de Mir

Son ami Houardon,

Lui demanda pouardon.

(Des poèmes comme ça, ça me fait frémir.)

*

Un couturier, Philarète,

Au poissonnier tendit l'arête

En forme d'alérion.

Le poissonnier, Hilarion,

Lui dit : « Tu tires sur le fil ! Arrête ! »

*

Mon maître d'hôtel, Héliodore,

Trouve le chou-fleur inodore.

Quand j'ai dit ça à Cydroine,

Il est devenu pivoine,

Et plus furieux encore qu'un tyrannosore.

*

Un fier facteur fatigué, Fauste,

Adore le jambon d'Ahauste.

Son associé, Barlaam,

Ecoute des chansons de Laam,

Si bien que Fauste veut débaucher de La Pauste.

*

Il est trop pas cool, Exupère,

Bicoz vraiment tout l'exaspère.

Dès que son fils, Atton,

Balance un flow d'Akhenatton,

Exupère vitupère.

*

Une latiniste, Ermenburge,

S'étant pris une grosse murge,

Exigea d'Anastase

— Qui n'aima pas trop cet oukase —

De lui passer fissa la bassine (“ça urge”).

*

Un de mes amis, Abdias,

Déteste mon galimatias,

Cependant qu'Aldegrin

Trouve que j'ai un grin

Et même, pour tout dire, un noyau de spondias.


lundi, 18 novembre 2013

Saints rares du 18 novembre

Un Wallon prénommé Amand

S'exprimait très bien en flamand.

Son meilleur ami, Maudez,

Trouvait vraiment démaudez

Pour un Wallon d'ainsi s'exprimer en flamand.

*

Le gardien d'immeuble, Anastase,

N'a pas une tronche à l'extase.

Pourtant, en voyant Frigdien

Arborer son bonnet phrygdien,

Il a succombé d'épectase.

*

Un brave chtimi, Burgin,

Entre et me dit : « c'est urgin ! »

Il a l'air affolé.

Je réponds : « quoi'qu'ça l'est ? »

(J'ai vécu dix ans à Beugin.)

*

Mon Dieu, quand on invite Chaffre

À déjeuner, on en sort affre-

Usement ruiné,

Le portefeuille encalminé,

Car ce Chaffre, justes cieux, qu'il bouffe et qu'il baffre !

*

Un chef de fanfare, Hésyque,

Balance “En avant la zizyque”

À tout de bout de champ.

Ce n'est pas méchant,

Mais enfin, je (trombone) suis pas amnésyque.

*

Un enfançon breton, Keverne,

Aime Le bouclier arverne.

Son oncle, Romphaire, 

Lui dit : « Luke, je suis ton paire ! »

Et lui : « J'm'appell' pas Luke, j'm'appell' Keverne.»

dimanche, 17 novembre 2013

Raisons épargnantes

Golri-je qu'on a dur la qualif on la gargne

Endroit que les raisons aussi elle m'épargne.



Comme que j'apprendu Bescherelle par cœur,

Les raisons du fiasco n'éparnont les joueurs.

samedi, 16 novembre 2013

Treize distiques ribéryo-ukrainiens

On ont fatigu de jouir contre l'Ukraine

Pays que joueurs leurs noms m'ont donnu la mikraine. 

21 ukrainien maillot jaune omelette

Lui qu'il suis brésilien et les dents de belette.

Maillot vert de gardien du public acclama

Hugo qu'a premier depuis Bernard le Lama.

Golri-je mon vis-à-vis s'appellont Bézus

Endroit que j'aime dansir à la queue-leu-lus.

M'emmerdu-je passablement match de l'Ukren

Où que j'allons ferpéter la Old Speckled Hen.

·

Vieux poule tacheté qu'il a bien gouleyante

Mais que le match ne suis pas trop moins emmerdante.

·

Le refri qu'il m'ont demandi moi ouat'zenouze

Où je suis répondu j'a la bonne binouze.

Loïc qu'il s'avont fait ceinturi la cartouche

Que dont jamais ne drapeau le juge de touche.

Plus affreux que ma tronche au vert mondovision

Zappu-je voir se dandinir Céline Dion.

Golri-je Paul Pogba de sa coiffure atrosse

Lui que de sur sa tronche il est un balai-brosse.

paul-pogba.jpg← Content-je très beaucoup d'avoir enfin trouvé
Cheveux-lui ressemblont à marmotte crevé.




But de Zoziula qu'on prendut 1-0,

Trop injuste que ç'a, me dit Caliméro.

Ç'a interdit aussi que la pêche au thon rouge

Mais pas arrêts de jeu distribuir cartons rouges.

·

jeudi, 14 novembre 2013

Distiques ribéryens. Le Retour (de la gastronomie).

On a über-dégueu de la soirée raclette

Infectados de toute la maison qui fouette.


Grosses patates qu'il mettut, Florian Thauvin

Lui que je trouve lui a la regard bauvin.


Comme qu'ils sont bien soignu le goal average

Je ne suis pas lu le dernier Abencérage.


Vous de croivez moi pas connu Châteaubriand

Si Pléiade que m'est offri Jimmy Briand.

mercredi, 13 novembre 2013

Quatrains animaliers oubliés (de septembre)

Vous me traitez de gros tas,

Moi qui fis vos délices ?

Les Euphorbia ressemblent à

Des chapelets de saucisses.

 

Une Nuit sur le Mont Chauve

Est sublime, quoique abscons.

Le bébé du lémur fauve

Se fait bouffer par un faucon.

 

DSK, une fois nu,

Est-il aussi adipeux ?

La cigale à jets continus

Pisse un miellat sirupeux.

 

En ville, quand on glandouille,

On va manger un kebab.

Le Microcèbe léchouille

Le pistil du baobab.

 

Préférez-vous le granité

Au citron ou à la mangue ?

Le caméléon, excité,

Touche la branche avec sa langue.

 

J'arpentai de mes pataugas

Aussi la Corée et la Chine.

La moitié des Siphakas

S'embroche sur les épines.

 

Enfermé entre quatre murs,

Je vis sur mon tas d'immondices.

Dans la colonie de lémurs,

Désormais les bébés grandissent.

 

Le rocher Ferrero

Est propre aux indigestions.

Le Propithèque de Verreaux

Est casse-pieds avec ses bonds.

 

Qu'elle est savoureuse et jolie,

La liqueur qui sort de ma treille !

Le Microcèbe, pris de folie,

Se croque le bout de l'oreille.

 

Quand je me sens boulimique,

Je m'envoie deux ou trois fougasses.

Le caméléon endémique

A deux doigts vraiment dégueulasses.

 

Ne trouvez-vous pas que

Je suis un peu renfrogné ?

Le maki se frotte la queue

À la glande du poignet.

 

Avec mes chaussures Bata

J'arpentai en tous sens la Corse.

Le joli lémur catta

Frotte sa raie contre une écorce.

 

Avec son infect Régilait,

La vioque croque des Wasa.

Est-il un oiseau plus laid

Que le perroquet de Maza ?

 

La chatte vient réclamer

De la pâtée ou des croquettes.

Va-t-elle enfin se planquer,

Cette hideuse Perroquète ?

 

La crème au tiramisu

Est un mets vraiment exquis.

Il a une voix de vieux cul,

Ce Michel Papineschi.

 

François Masran, avec moustache,

A l'air encor plus abruti.

Le Crécerelle malgache

Aime le criquet rôti.

 

Quand l'Aimée déguste des prunes,

Gros danger sur le calcif !

Le mâle de la grenouille brune

Est devenu jaune vif.

 

Sans se laver la raie du cul

On sécrète une odeur immonde.

Le microcèbe est le plus

 Petit primate du monde.

mardi, 12 novembre 2013

I'm 39, so be it

——↨—— When the sotnik entered the dača (or dætʃə, as friends would have it), the children were all gathered around their mother.

Oddly enough, she was wearing a sotana. 

‘No need to be tossy, Lordy’, she solemnly declared.

‘For fuck's sake’, he ejaculated, ‘I'm not dealing in soterology’. —▬←▬→—

Jackoclocks

Something I post not because I'm completely convinced, far from it, but because of the weird words used : “Music that tries to be something that something else has been may be thrown aside as worthless. It will not endure although it may sometimes please the zanies and jackoclocks of a generation.” (Carl Van Vechten)

lundi, 11 novembre 2013

Divas

Dix variations sur la brosse à dents.

Tel saint Thomas, je crois ce que je mords.

Mes mots à la pointe bic bleue,

ça ne sert qu'à mordre.

Toujours mordre.

Et la pâte dentifrice : un artifice.

Feu follet ; chien errant.

Variations.