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mardi, 03 mai 2016

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Pas atteint à 15 h 33 (3:33 sur la capture d'écran du smartphone, opportunément calé sur le système anglo-saxon), en surveillant le partiel de fin de semestre d'Aide à la réussite, en salle 413, cette espèce de semi-amphi (je me comprends) avec sa vue magnifique sur le haut des peupliers et platanes de bord de Loire, avec, à la main, le lisant par saccades, le roman dont l'auteur est une collègue arrivée depuis peu à la B.U. et dont j'ai découvert ce livre, par hasard, il y a 26 jours, chez Gibert.

15:35 Publié dans 5005 pas | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Un partiel sur "aide à la réussite"? De façon à ce qu'is se plantent? (question sérieuse et éberluée).

S'il y a une biblio, je suis preneuse.

Écrit par : Alice | jeudi, 05 mai 2016

En LLCER Anglais, il y a une liste de lecture obligatoire de 11 livres des trois domaines (littérature, linguistique, civilisation), cela hors-programme. Comme c'est nouveau et comme on sait pertinemment que les néo-bacheliers sont incapables de lire onze livres en anglais comme ça, sans contrainte spécifique, nous avons reformaté le TD d'aide à la réussite du second semestre (12 séances de 2 heures) de sorte que, chaque semaine, un groupe de 3 à 6 étudiants présente un exposé de 40 à 50 minutes sur un des 11 livres. Les autres prennent des notes ; après une reprise plus ou moins rapide avec l'enseignant, on étudie ensemble un extrait du livre.
Ainsi, on montre aux étudiants deux choses essentielles : 1) il faut se répartir le travail et bosser en petits groupes 2) on peut connaître (et se servir de) des livres que l'on n'a pas lus soi-même ou que l'on a seulement effleurés

Le nom du cours, si cela qui te tarabuste, est un intitulé officiel imposé par le Ministère. Le module s'inscrit dans les UE de méthodologie de première année, avec pour fonction (litotique) de "lutter contre l'échec" → aide à la réussite. Les équipes pédagogiques se sont saisi diversement de la chose ; ainsi en LEA, les étudiants ont une heure de traduction économique anglaise et une heure de civilisation espagnole, italienne ou allemande. Au premier semestre, les LEA et les LLCER ont tous une heure hebdomadaire de compréhension écrite anglaise. On pourrait tout à fait appeler ça "remise à niveau post-bac", mais ça fait moins bien, il paraît.

Axiome : la vérité “fait moins bien”.

Écrit par : Guillaume Cingal | samedi, 07 mai 2016

Axiome : la vérité “fait moins bien”. J'adopte !
En entreprise, on dirait qu'il faut que le message soit positif.

Merci pour cette réponse détaillée. J'admire la transposition pratique d'une obligation impossible: oui, cela est admirable, c'est ce qui manque si souvent.

Souvent (toujours) je compare désormais le travail intellectuel à l'entraînement sportif (la musique itou): on ne part pas pour un marathon quand on n'a jamais couru plus de cent mètres d'affilé. Idem pour la lecture, l'écriture, etc.
Et comme les muscles, le niveau n'est jamais stable: on en perd dès qu'on cesse de s'entraîner (à l'inverse, un corps entraîné regagne très vite).
Evidemment, la limite de cette comparaison, c'est qu'elle ne parle pas aux non-sportifs.

Écrit par : Alice | samedi, 07 mai 2016

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