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mercredi, 29 janvier 2025

29012025

Il y a une semaine, nous étions, en comité familial restreint, au crématorium de Mont-de-Marsan, pour un dernier salut à ma grand-mère. Depuis, les liens se font par la pensée, par la mémoire.

 

Hier après-midi, toujours dans un retour au coffret Debussy, j’écoutais des pièces pour piano que je connais mal, et étais particulièrement ému par le 2e mouvement d’En blanc et noir, ainsi que par l’épigraphe intitulée Pour un tombeau sans nom. — Qu’en penserait mon ami E*, lui qui a dit une fois en ma présence (mais m’a laissé comprendre cela x fois) : « Tu connais Guillaume, il a toujours eu des goûts musicaux pourris. »

Mercredi dernier, dès le début de la cérémonie, j’étais en larmes en écoutant Casta diva chantée par Angela Gheorghiu (c’était un des choix de ma grand-mère elle-même).

 

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