lundi, 07 avril 2025
07042025
Dans l’avion, j’ai lu les 3e et 4e parties de Dream Count. Toute la partie centrale, donc, celle autour de Kadiatou, personnage très largement – mais précisément, aussi – inspiré de Nafissatou Diallo, est bien meilleure : dès qu’Adichie parle de vrais sujets, et notamment de la structure sociale et des relations familiales en Afrique, son récit devient plus intéressant que lorsqu'elle se contente de raconter d’interminables histoires d’afrodescendantes pétées de tunes qui s’inquiètent de voir arriver la ménopause sans avoir trouvé Mr. Right.
Dimanche soir, j’ai écrit le paragraphe qui suit sur Facebook, et il me faudrait réviser un peu mon jugement :
I have finished reading the first part of Adichie's new novel. It's tepid, boring. And it raises so many questions. Such as, how is it possible for someone to write such splendid novels at the age of 26 or 29, and such narcissistic teenage balderdash when getting near 50? Such as, is it fame, or literary agents or the U.S. or laziness which can explain this?
Il n’en demeure pas moins que, quand bien même le roman deviendrait excellent à partir de la page 180 (ou 210, je ne sais pas, je lis sur liseuse – en tout cas, après 40% de lecture), qui, à part un-e universitaire consciencieuxse, a le temps de s’envoyer les 200 premières pages, qui sont sans intérêt, et écrites platement, mécaniquement ?
23:43 Publié dans 2025, Affres extatiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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