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mercredi, 18 novembre 2020

{bégaiements}

Avant-avant-avant-avant-avant-avant-hier j'ai fêté mes quarante-six bégaiements, et il est vrai qu'à trop écrire, récrire, raturer et surtout ajouter, on finit par être le bègue de soi, à chanter des bribes et des fragments de ce Blues du bégayeur enregistré par Annegarn à vingt-cinq barreaux et même pas, mais déjà quelle maturité, quelle richesse dans cette œuvre, on en oublierait qu'on n'invente rien, et que si Montaigne déclarait que nous (mais qui est-ce) ne faisons que nous entregloser, les oulipiens, eux, de conceptualiser le plagiat par anticipation m'offrent ça sur un plateau, de n'avoir pas su, le jour de l'anniversaire, avant-avant-avant-avant-avant-avant-hier (ou plus simplement : il y a une semaine), que j'allais me lancer dans ces Balayages (que j'envisageais d'intituler aussi ...et des poussières...), et moins encore d'avoir su ce que j'ai appris hier, de mon fils cadet, à savoir qu'Agnès Varda a tourné une scène dans laquelle on lui offre 80 balais et balayettes le jour de ses 80 ans, donc tout a déjà été dit ou fait, il ne me reste que mes maigres minutes de vie rien qu'à moi pour prétendre à l'originalité, comme de dire (ou d'inventer) qu'à un moment donné, il y a une semaine (ou moins simplement : avant-avant-avant-avant-avant-avant-hier), je me suis frotté les yeux et ai trouvé, au bout de l'index droit, deux cils et un poil de sourcil (est-ce ainsi que ça se dit).

 

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mardi, 17 novembre 2020

Avec attestation

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De retour d'un 《 déplacement pour effectuer des achats de fournitures nécessaires à l'activité professionnelle, des achats de première nécessité [3] dans des établissements dont les activités demeurent autorisées, le retrait de commande et les livraisons à domicile 》...

 

{bavardages}

Avant-avant-avant-avant-avant-hier j'ai fêté quarante-six bavardages, et bien sûr il y en eut, il y en a eu, il y en a eu eu, le passé surcomposé est-il le temps du bavardage ou de la conversation, l'hésitation entre les temps du récit est-elle un effet de bavardage littéraire, le passé simple remisé aux oubliettes, et ce serait normal, ce qui m'étonne davantage ce sont toutes ces traductions grevées de passé simple, ces textes narratifs contemporains bourrés de passé simple, alors que dans les années 30 déjà on faisait remarquer qu'il n'était plus guère employé dans la vie courante et dans les récits oraux, dans le bavardage donc.

 

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lundi, 16 novembre 2020

*1611*

Il y a quelques jours je prophétisai que François Bon franchirait les 6.000 abonné-es YouTube le 16 novembre, et j'ai vu juste.

Dans la vidéo du jour il explore la question de la censure, des nouvelles fonctionnalités de la plate-forme et des signalements pour "contenu inapproprié pour mineurs". Dire que j'ai promis, pour fêter mes 500 abonné-es, quand ça arrivera, de "faire une vidéo à poil"...

Aujourd'hui, à l'Université puis après, pendant plusieurs heures, douleurs gastriques atroces. Toujours l'impression d'être déchiré de toutes parts, puis comme essoré.

{bretelles}

Avant-avant-avant-avant-hier j'ai fêté quarante-six bretelles, et j'avais seulement une ceinture à mon pantalon rouge bordeaux.

(Il me semble que le mot bretelles, outre Saturnin, devrait m'évoquer Rabelais. On emprunte aussi des bretelles d'autoroute.)

 

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dimanche, 15 novembre 2020

Alika & Nueva Allianza

La découverte du jour, ça a été, à la faveur d'une discussion avec O* autour du mot skank (et de quelques recherches lexicographiques mais également musicologiques), la chanteuse de ska (voire ragga, en fait) Alika.

Uruguayenne, elle vit et travaille surtout en Argentine, apparemment. Les textes sont très puissants, directs, et même assez facilement compréhensibles pour un tocard non hispaniste dans mon genre.

Les instrus sont plutôt classiques, mais efficaces.

 

 

 

 

Voici la préférée, pour le moment, d'O* :

 

{béquilles}

Avant-avant-avant-hier j'ai fêté quarante-six béquilles, les imaginant aujourd'hui, au choix de ce mot, alignées contre un mur, à m'attendre, car jamais dans ma vie je n'en ai eu besoin, ni foulure ni accident de ski, ni rien de tout ce qui faisait que tel ou telle camarade se retrouvait plâtré-e, la surface blanche granuleuse et sèche progressivement recouverte de messages, de signes, d'initiales, alors que j'ai eu la chance, en quarante-six ans, de ne jamais avoir besoin de cela, et je n'ai connu (au sens de vu ou vécu avec) aucun-e de mes proches non plus dans cette situation, de sorte que je suis tout bonnement contraint d'imaginer ces fameuses béquilles, toutes alignées contre un mur qui tient de la murette de cour de récréation autant que de la paroi face à laquelle s'installent, la mine impassible, les soldats du pelooton d'exécution.

 

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samedi, 14 novembre 2020

{balances}

Avant-avant-hier j'ai fêté quarante-six balances, et me suis-je fait la réflexion que la plupart des noms, qui en argot, sont synonymes d'années sont des mots commençant par le lettre B ? Non, je crois que ça m'est venu dans la nuit, ou dans les limbes du réveil. Peu importe, au fond. Toujours est-il que le matin de ce jour-là il régnait, sur la ville et ses quartiers périphériques, un brouillard à couper au glaive. On ne s'amuse guère alors amusons-nous.

 

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*1411*

Ce matin, je me lève plus tôt que jamais. (Je me suis levé à 4 h 15. M'étais couché très tôt, donc j'ai eu six heures de sommeil tout de même.)

 

Cela me permet, avant de reprendre mes notes pour le cours de 9 h (en visioconférence comme tous les matins depuis septembre, c'est le cours de traductologie d'agrégation interne), de baguenauder sur le Web, et notamment d'être quasiment le premier à regarder la vidéo matinale de François Bon, dans laquelle il est question du visage de la mère de Baudelaire.

Baudelaire est mort à quarante-six ans. Pourquoi donc cette information (ce rappel) me titille-t-elle ? Hein ? On se demande.

(Dolores O'Riordan aussi.)

Dans la vidéo il est aussi question du Havre, ville/signifiant qui est en train de devenir une obsession, après le délire.

 

Hier, j'ai enregistré puis monté la deuxième vidéo de la série Sicklables, autour de mes souvenirs du soir du 13 novembre 2015. Plusieurs témoignages me sont parvenus, sur Facebook et directement sous la vidéo. Peut-être que je pourrais tenter d'évoquer ce que j'ai retenu de ces témoignages, la prochaine fois, sur mon vélo. Si ma mémoire est trouée, je pourrai ajouter des citations précises, en surtitre, lors du montage.

Je ne mettrai plus ces vidéos en incrustation ici ; on peut s'abonner à la chaîne, n'est-ce pas.

 

05:15 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 13 novembre 2020

Possibles imaginables

Heureusement qu'il a fait beau, qu'il aura fait, après la matinée mouquirouse, un grand soleil l'après-midi, car quelle journée de bûcheron, à abattre tout ce boulot, jusqu'à tomber de sommeil à peine le dîner fini, et c'était pareil pour O* (pas pour A*, qui est increvable).

 

Au ping-pong, autour des cinq heures, on a multiplié le total nawak, et les carottes.

 

Après que, de mon côté, j'eus innové en suivant une journée d'études via Google Meet, O*, lui, innovait en suivant son cours de solfège via Skype. Nous aurons bientôt fait le tour de tous les logiciels de visioconférence possibles et imaginables.

 

21:31 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)

Sur un message de félicitations à double entrée

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Et voici l'explication du contexte. (Cliquer pour agrandir.)

Piaf à baloches

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{baguettes}

Avant-hier j'ai fêté quarante-six baguettes et ça n'a pas donné grand-chose, sinon à me rappeler qu'on manquait de pain, donc à aller jusqu'à la boulangerie qui se nommait naguère Surget, du nom de ses propriétaires, et qui, depuis qu'elle a été reprise, en 2017 je pense, se nomme La Touraine, peut-on faire plus banal, plus inintéressant, et à y acheter un lot de quatre Pétrisane (mot dont je pense qu'il faut prononcer le s médian /z/, mais dont je constate que bien des gens le prononcent pétrissane, presque comme un participe présent du verbe pétrir qui aurait dégénéré) ainsi qu'une tarte aux framboises pour le déjeuner, histoire d'y planter la bougie à souffler.

 

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jeudi, 12 novembre 2020

Cousinerie, innovation

{berges}

Hier j'ai fêté quarante-six berges et ça aurait pu être l'occasion d'un nouveau départ, non, mais non, en fait, car nous sommes coincés dans notre km², confinés, est-ce que ça s'arrêtera jamais, donc j'ai plutôt fait de la conduite de balle, à deux à l'heure, mal, autour du carré de pelouse du nouveau square, dégingandé, dénué de dignité.

 

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mercredi, 11 novembre 2020

Une seule fois sur le fleuve

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Une seule fois dans l'année j'ai eu 46 ans, et une seule fois dans ma vie le 11.11 se sera accompagné d'une année semblablement redoublée.

 

Une seule fois dans le titre aujourd'hui je me trompe : le poème de Prévert que je n'ai jamais compris, car je l'ai lu jeune et ne l'ai jamais lu depuis, seulement impressionné qu'on puisse écrire un poème de 20 ou 30 pages, s'intitule Encore une fois sur le fleuve...

Et pas une seule fois aujourd'hui, confinement oblige, nous ne sommes allés voir le fleuve.

Tranquillement, le nautonier attend.

 

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mardi, 10 novembre 2020

*1011*

Mardi dernier, je parlais de nos voisins du 14, si gentils, si discrets, qui nous avaient apporté un énorme sac de pâtes-lettres. Depuis, G* nous a apporté quatorze pots de confiture de mûres (excellente !), et B* nous a apporté une pleine brassée de persil, ce qui a été l'occasion d'essayer la soupe au persil (excellente !).

 

Je suis très abattu, car je l'ai vu partir, lui, ce matin, sur une civière, après près d'une heure d'intervention des services d'urgence. Je n'ai pas osé aller embêter B*, qui est probablement à ses côtés. Je vais encore guetter toute l'après-midi.

 

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lundi, 09 novembre 2020

La Chinafrique, grand sujet balayé sous le tapis...

Il y a quelques mois, j'ai lu The Dragonfly Sea d'Yvonne Adhiambo Owuor car m'intriguait la manière dont y était traitée la question des rapports culturels et économiques entre l'Afrique de l'Est et la Chine.

J'en ai parlé, en mode impro, dans une vidéo enregistrée lors du confinement du printemps.

(Et je rappelle, au cas où, que l'Afrique de l'Est est, plus encore que les littératures anglophones africaines, mon aire de spécialité.)

 

Grand bonheur de pouvoir écouter, vendredi prochain, les intervenant·es d'une journée d'études consacrée à la Chinafrique, dont la brillante Aurélie Journo, qui parlera de.... The Dragonfly Sea !

 

Hasard, une collègue me signale l'article paru hier dans le New York Times au sujet du projet, très avancé déjà, d'autoroute urbaine à Nairobi, projet qui soulève une vague de protestations en raison de ses conséquences environnementales. L'autoroute à péage, construite avec l'aide technique de la Chine, bénéficiera à... un consortium chinois...

 

dimanche, 08 novembre 2020

"80 or 100 feet in length"

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Après la sardine qui bouche le port de Marseille, le serpent de 30 mètres (avec ou sans chapeau sur la tête, allez savoir).

 

(Source : The Lair of the White Worm, Bram Stoker)

 

samedi, 07 novembre 2020

Belle unanimité dissonante

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vendredi, 06 novembre 2020

... la chose envolée

 

Que se passe-t-il dans tous nos essais, dans nos efforts, dans nos élans ? Les crampes d'estomac ou les maux de ventre, des expressions interchangeables, alors qu'en fait non. Des posters, des placards, des placets. Toujours tu pourrais étaler ton lexique.

Et se remettre à écrire des sonnets, non ?

 

jeudi, 05 novembre 2020

:insert candle:

carter.JPG

 

 

On patiente comme on peut, dans la tourmente américaine et le confinement ligérien.

Si l'image ne s'affiche pas bien, il faut cliquer dessus : ça aussi, un proctologue pourrait le dicter. Et rien d'évident dans de telles aventures.

 

mercredi, 04 novembre 2020

400/500

El_ARIRXIAIqdA1.pngAlors, je sais, c'est ridicule par rapport aux monarques du Web littéraire Azélie Fayolle ou François Bon, mais je viens d'engranger mon 400e abonnement et ça me fait tout drôle.

Promis, pour les 500 abonné-es, je ferai une vidéo à poil.

 

 

 

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mardi, 03 novembre 2020

Des jeunes, pas des jeûnes

Hier soir, la voisine du 14, avec qui nous n'avions pas discuté depuis le début de l'été, est venue nous apporter un sac de pâtes-lettres qu'elle a gagné lors d'un loto. Je dis bien un sac et non un sachet, car il s'agit d'un sac... de cinq kilos. Elle a dû en prélever 500 ou 700 grammes, mais enfin il y a de quoi renforcer quelques potages.

Nous n'avons pas voulu refuser, car elle m'a dit que ça leur en faisait trop, et le fait est que l'été prochain nous aurons tout englouti, avec les soupes de la saison froide, justement. Elle va nous donner des confitures aussi, car son mari et elle n'y ont pas droit, et personne, de sa fille ou de ses petits-enfants, n'en veut : ça pourrait paraître inquiétant mais je parie qu'elles sont excellentes, en fait.

 

M'étant rappelé que nous n'avions jamais dû échanger nos numéros de téléphone, je lui ai donné nos numéros de portable car elle va prochainement recommencer une série de dialyses, à raison de 3 par semaine. Si jamais il y a un problème avec le taxi médical j'espère qu'elle n'hésitera pas à nous alerter.

 

Notre voisin du 1 de l'impasse, G*, est venu parler du confinement avec nous vendredi dernier, et fera valoir ses droits à la retraite, selon l'expression, en janvier. C*, son épouse, et lui, sont les plus jeunes de nos voisins. J*, qui habite au 4 de l'impasse, vient de vendre sa bicoque... à des jeunes, nous a dit Y* (du 2 de l'impasse). Mais des jeunes, si ça se trouve, n'ont que dix ans de moins que nous... Quand nous sommes arrivés ici, en 2008, nous aussi nous étions des jeunes.

 

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lundi, 02 novembre 2020

Jour des défunts, grisaille

Malgré les inquiétudes de C*, la journée s'est plutôt bien passée.

O* l'a tout de même trouvée éprouvante. Au lycée, l'hommage à Samuel Paty a glissé comme ça, mais par contre la proviseure (qui s'est fait taper sur les doigts par le rectorat) avait maintenu la banalisation des cours de 8 à 10.

Au collège, dans sa classe de troisième, la discussion avec la prof d'histoire d'O* a duré toute l'heure ; ce qui ressort des témoignages que j'ai pu lire sur les réseaux sociaux, c'est à quel point les élèves, dans leur grande majorité, ne savaient pas ce qui s'était passé, ou ne l'avaient compris qu'à moitié, donc pas du tout.

 

Pour ma part, je travaillais à la maison le matin, puis j'ai assuré mes cours en distanciel depuis mon vieux bureau 45 du site Tanneurs (un collègue était déjà installé dans le bureau 38, et, vu la très faible fréquentation des lieux, nous n'allions pas nous gêner). Beaucoup de monde dans le bus et le tram, à l'aller comme au retour : il faut dire que ce confinement n'en est pas un ; de notre famille, seul A* est resté à la maison toute la journée sans mettre le nez dehors, alors qu'en mars-avril, nous restions à la maison. Les établissements d'enseignement restent ouverts, et les cours sont toujours dispensés en présentiel de la maternelle aux classes supérieures des lycées (mais pour combien de temps ?), sans compter le nombre important, à ce que j'ai pu voir rue du Commerce, de boutiques qui sont ouvertes sans qu'on puisse y entrer (le fameux click and collect)...

Le site Tanneurs était lugubre, dans l'obscurité et la grisaille. À moitié dépeuplée (mais à moitié seulement), la ville était lugubre.

 

otele.JPGAu retour, immense joie de trouver dans ma boîte à lettres le livre d'Olivette Otele, African Europeans. An Untold History.

Commencé à le lire, et d'ores et déjà, outre ce que j'apprends et ne savais pas (ou mal), ce qui est passionnant est de voir comment l'expression qui donne son titre au livre est réversible : le cas des mamelouks, par exemple, démontre à l'envi combien l'Afrique s'est européïsée longtemps avant les conquêtes, et combien même les concepts géographiques d'Europe et d'Afrique sont des fabrications.

Plusieurs des citations mises en exergue en tête du livre, dès avant le titre, font valoir combien ce livre est exceptionnel, ground-breaking, et on sent, dès les premières pages, l'introduction et le chapitre 1 en l'espèce, que ce ne sont pas de simples blurbs de complaisance.

Un essai qui promet d'être excitant.

 

dimanche, 01 novembre 2020

*0111*

Aujourd'hui, j'aurais dû me remettre au projet Scarlatti.

Et puis j'ai glandouillé, pris le temps de ne rien faire, et de lire aussi tout de même : fini Les deux mariages de Lenka d'Isabelle Flaten et commencé Bitter fruit d'Achmat Dangor.

 

Bah, c'est Toussaint, plus tristounet que jamais... Et ce ne sont pas les deux épisodes de la deuxième saison de Westworld, matés dans l'après-midi, qui m'ont rendu la journée moins glauque.

 

19:41 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)