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mardi, 30 août 2005

Où Freud ne reste pas de bois

Que l’histoire du monde serait belle si les hommes se contentaient d’un petit bâton poli pour jouer ; quelle leçon de sérénité ligneuse pour tant de gestes inutiles, pour tant d’armes dangereuses sans âme, et si vite tombées dans le magasin des accessoires absurdes. Oh ! mademoiselle d’Arc, votre petit bâton… et Gilles de Rais – quel dommage que l’histoire ne nous parle point des histoires mystérieuses de l’âme.

(Lise Deharme. Eve la blonde, p.158)

02:30 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

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