samedi, 10 décembre 2005
Il y a 188 ans ...
... le Mississippi intégrait l’Union, devenant ainsi le vingtième État américain.
18:55 Publié dans Célébrations improbables | Lien permanent | Commentaires (0)
Arceaux
Ce dédoublement sur fond de lignes verticales se perdant à l'infini a été vu et capturé tout près du banc et de la poubelle semblablement obsessionnels.
Il s'agit d'un lieu qui ne brille pas par la beauté de son urbanisme. C'est dans l'agglomération de Tours.
Qui devinera ?
[Cette note est la 880ème. D'où deux 8 déformés, à tenir des vélos.]
17:25 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (4)
De l'abus des limericks
L'avantage conjoint des notes photographiques et des limericks, c'est que tous deux permettent une lecture rapide de la journée d'écriture, même en la découvrant le soir, ou le lendemain. Je songe donc à mes lecteurs fidèles qui, n'ayant pas encore déposé de commentaires, seront sans doute un peu largués ce soir. Vous pouvez même vous servir de cette note comme d'une sorte de mode d'emploi des notes récentes, en parallèle de la rubrique ainsi nommée dans la colonne de droite, et découvrir l'un de mes autoportraits, un ou deux limericks, une note qui abuse des liens, une énigme nippone, un poème inspiré par des couvertures de livres que je n'ai pas lus (mais Fuligineuse en sait long sur la question).
Le limerick fait l'objet d'une série ; cela est clair, sans doute.
Les photographies - et non exclusivement l'autoportraiture - font l'objet d'une série.
J'ai aussi envie d'écrire des textes qui auraient pour titre les noms des quartiers de Beauvais, où nous avons vécu six ans.
15:55 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (4)
25
Il était un vieil avaricieux de Veigné
Qui, par économie, jamais n'était peigné.
Il confondait ses cheveux
Avec les sous de ses neveux,
Ô le vieux taré sans jugeotte de Veigné !
14:55 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)
De l'abus des photographies
C'est, sans nul doute et passablement (pour complaire à Simon), une faiblesse de publier des photographies, et de petits textes de rien du tout. Je ne trouve aucun argument pour ma défense, si ce n'est que je manque de temps (et peut-être d'inspiration) pour des textes plus longs.
C'est une faiblesse plus grande encore de parsemer de petits liens hypertextuels cette note, afin de vous inciter à vous rattraper en lisant des notes venues de jours plus fastes, vaches grasses et pots de grès bien remplis de provisions hivernales.
Je reviendrai, dans le courant de l'après-midi, avec des photographies de Touraine, et, si possible, au moins quelques phrases, tant je déplore ces carnétoiles farcis seulement d'images d'amateur.
13:55 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Colosse et le manège
Vous qui connaissez le colosse
Vous qui êtes au paradis
Auprès des mondes refroidis
Souvenez-vous de nos amours
Et des portraits en ronde-bosse
12:24 Publié dans Ecrit(o)ures, Lect(o)ures, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (2)
Luna parquet
Ce document m'a été envoyé par un ami. Je ne connais pas l'auteur des photographies, ni celui de l'article (publicitaire sans doute), ni du concepteur.
Pour moi, cela s'apparente quand même un canular.
L'idée est que, par sa reptation et des vêtements appropriés, le nourrisson nettoie le parquet.
10:52 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2)
24
Il était une dame de Saint Symphorien,
A Tours, qui disait : "Trois Atac ? Il ne phorien
Exagérer quand m'aime."
Si je sais qu'elle m'aime,
Elle m'a tout de m'aime traité de phorien.
01:15 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)