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samedi, 02 février 2008

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Me suis ébouillanthé, mais le russe fort a des atouts, côté migraine.

Rêve de C., la nuit dernière : des pentathlètes doivent traverser à la nage une mare pleine de crocodiles toutes dents dehors, mais, en vue de faire diversion et de permettre aux sportifs de ne pas se faire dévorer, un organisateur marche au bord du rivage avec, en guise de chaussures, de fausses pattes de dinosaure.

Julio Gonzalez, rose/rouge & Petite nuit (version allongée)

Courrier international : il ne me reste, à lire, que le long article sur Sucre. (Je suis en avance sur mon organisation habituelle.) Le match de rugby ne m'intéresse pas ; surtout, le canapé n'est pas, contrairement à la table de la salle à manger où je procède à mes recherches sur Julio Gonzalez (dans L'Art au XXe siècle des éditions Taschen, en deux volumes, que j'ai accoutumé de nommer "le Rose/Rouge"), et où se trouve cet ordinateur, situé derrière les vitres que chauffe le soleil.

(Oui, je lis (aussi) Petite nuit de Marianne Alphant.)

Pour les auteurs du "Rose/Rouge", Julio Gonzalez est ni plus ni moins que "le père fondateur de la sculpture en fer" (p. 470). Lors de mon parcours trop rapide de l'exposition du Château de Tours, hier après-midi, j'avais été séduit par les dessins du rez-de-chaussée, puis tout à fait impressionné par la masse imposante des ouvrages, monographies et catalogues raisonnés exposés dans les vitrines du premier étage. Un retour s'impose, comme je le pressentais.

Brunehaut, notre voisine, qui joue de plus belle, et depuis des heures, des mélodies pas vraiment solaires : est-ce Schumann ou Debussy ? (Pas de Gnossienne aujourd'hui.)

Commentaires

" Rêve de C., la nuit dernière : des pentathlètes doivent traverser à la nage une mare pleine de crocodiles toutes dents dehors, mais, en vue de faire diversion et de permettre aux sportifs de ne pas se faire dévorer, un organisateur marche au bord du rivage avec, en guise de chaussures, de fausses pattes de dinosaure."

Mon conseil : arrêter la drogue, ou en prendre d'avantage. Mais, là, visiblement, la dose est inadéquate.

Écrit par : Didier Goux | samedi, 02 février 2008

J'aimerais bien en savoir un peu plus sur le livre de Marianne Alphant...

Écrit par : Didier Goux | samedi, 02 février 2008

(ça vient, ça vient)

Écrit par : Guillaume Cingal | dimanche, 03 février 2008

Yaël, qui est ma collocatrice finis par le préciser, est partie en début de soirée et je ne sais vraiment pas où elle a bien pu s'aventurer à cette heure tardive... serait-elle confuse? J'espère au moins pouvoir lui toucher deux mots demain entre deux couloirs... Bref, peu importe, me voilà lyrique. Concernant cette Marie Alphant, quel est son style d'écriture, sa caractéristique? Cela m'intéresse... Il est temps que je m'en aille au pays des songes sans quoi je ne tiendrai jamais debout pour mes cours de demain. Bien à vous!

Écrit par : Blandine Bril | jeudi, 07 février 2008

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