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mercredi, 19 mars 2008

Debussy, décidément

Sur les contreforts de ma mélancolie, où j'ai vu trottiner hier matin un beau rat au poil brun, furetant de poubelle en poubelle une fois enfui, j'entends la voix lancinante et douce de la soprano, entre les assombrissements d'Alfred Kubin et les farandoles squelettiques et colorées d'un James Ensor. La mise en lied de Duparc est plus poignante que celle de Chabrier, mais faut-il pour autant s'emperruquer ?

Le ciel se décolore chaque jour un peu plus. Demain, ce sera le printemps : sois sage, ô ma douleur...

Commentaires

Oui, bon, mais c'était un Malf rat ? Si ça se trouve, comment le sais-tu ? ;-)

Écrit par : joye | samedi, 22 mars 2008

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