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vendredi, 07 février 2020

*0702*

Il y a, à la B.U. de Droit du site Portalis, un petit mètre linéaire (et encore) pour les ouvrages cotés en 800 dans la classification Dewey : une vingtaine d'ouvrages pour la rubrique "Littérature". C'est normal, on est dans une bibliothèque de droit. Pour avoir des dizaines de milliers de livres de littérature, se rendre à la B.U. des Tanneurs.

Ce qui m'amuse, c'est le type d'ouvrages : presque uniquement des livres sur la rhétorique, ou sur la littérature comme art du discours, culture générale.

Ce mètre linéaire résume ce qu'est la littérature selon Blanquer, Philippe et Macron : l'art de la superficialité, de l'embobinage.

Soit le contraire de ce qu'est la littérature, évidemment.

 

Commentaires

Le Président de la République élu revendique sa passion pour la lecture. À L'Obs, il a confié qu'il rêvait, à 16 ans, d'être écrivain. Il aurait ainsi écrit trois romans qu’il n’a pas jugés assez bons pour être proposés à un éditeur. Étudiant en classe préparatoire littéraire hypokhâgne et khâgne au lycée Henri IV, Emmanuel Macron estime que la lecture offre "des espaces de respiration". Il a une préférence pour la philosophie et la poésie.

"On savait notre Premier ministre grand amateur de littérature et même écrivain, mais quid de ses sources d'inspiration ? Le moment est venu de tout dévoiler : dans son essai Des hommes qui lisent à paraître ce 5 juillet, Édouard Philippe se met à nu et raconte les lectures qui ont marqué sa vie. Et celles-ci sont pour le moins hétéroclites."

"Le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, ne s’en cache pas : la lecture de Mario Vargas Llosa a changé sa vie". Ces propos ont été vivement critiqués par une partie du corps enseignant.

Écrit par : Fernand Chocapic | vendredi, 07 février 2020

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