dimanche, 06 novembre 2016
Saints rares du 6 novembre
6.XI.2013
Un censeur ronchon, Callinique,
Trouve ma poésie inique.
— C'était compter sans Galle,
Qui défendit Cingalle
En lui disant : « Je ti nique ! »
Un sublime éphèbe, Efflam,
Trouve tout trop “swag et glam”.
Un jour, mis au défi
D'un très classieux selfi,
Il se fit, c'est bien tliste, éclaser pal le tlam.
Le tavernier du coin, Iltut,
Je ne vous dis pas comme il tute.
Dans son gosier, chaque semaine,
Il s'envoie, sans peur ni paine,
Plus de cubis que la cave de Labatut.
6.XI.2016
Un enfançon nommé Sever
Court plus vite qu'un rat crevé
Ou qu'un qu'on empoisonne.
(Mon poème se désarçonne
D'approximations soulevées.)
Un vieux péteux, Barlaam,
A chez lui les disques de Lâam
Et de Larusso.
Il aime l'osso
Bucco, avec de l'aspartaam.
Quoique encore jeune, Winnoc
Est complètement toc-toc.
Il se prend pour Donald
Trump, et Théobald,
Son voisin, le traite de schnoc.
18:39 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 18 octobre 2016
Onze saints rares (18 octobre)
Le très saint et très pieux Acuce
Aime énormément qu'on le suce.
Qu'attendiez-vous, amis, c-
Omme rime à ce limerick ?
Qu'il se fît défoncer l'anuce ?
♠♣♦♥♥♦♣♠
Mon autruchon se nomme Amable,
Et je le trouve très affable.
L'autre jour à Autrèche
Il a trouvé la brèche
Et s'est enfoui enfin la tête dans le sable.
♠♣♦♥♥♦♣♠
Un jeune athlète, Asclépiade,
Participant aux Usépiades,
Après avoir bataillé
N'a pas fini médaillé :
Désormais, nous devons subir ses jérémiades.
♠♣♦♥♥♦♣♠
Disciple de Socrate, Eutyque
Est à fond pour la maïeutyque.
Son ami Hermès
— Le fait-il exprès ? —
Goûte plutôt l'herméneutyque.
♠♣♦♥♥♦♣♠
Enrhumé, Kermidolis
Se gave de propolis.
Contre les boutons de moustyque,
Son professeur, Eutyque,
Lui aura conseillé plutôt les rossolis.
♠♣♦♥♥♦♣♠
Un peintre, Marynos,
Étant né albynos,
Un jour a dit « Je n'ose
Évoquer ma cyanose —
D'ailleurs je dois faire pleurer le mérynos. »
♠♣♦♥♥♦♣♠
Un vieux libidineux, Monon,
Trouve ma femme trop canon.
Ne t'en approche pas,
Ou ton panier-repas
Je te le fais avaler, avec ton lorgnon !
♠♣♦♥♥♦♣♠
Photographe très doué, Procule
Aime saisir le crépuscule.
Qui trouve donc cucu
Et n'est pas convaincu
Par mon limerick ? que je le désarticule !
♠♣♦♥♥♦♣♠
Un zoophile nommé Taxe
A le désir qui se désaxe.
Il atteint son climax
En matant les addax,
Et en dépeçant les spalax au scramasaxe.
♠♣♦♥♥♦♣♠
Une fleuriste, Tryphonia,
Est spécialiste en mahonia.
« Je suis toujours déçue
Car les clients, pauvres, cossus,
Veulent des géraniums ou bien des bégonias. »
11:24 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (4)
dimanche, 16 octobre 2016
Cinq saints rares du 16 octobre
16 octobre 2013.
Un naïf du nom de Bercaire
Aime beaucoup Cora Vaucaire.
Il sait qu'on dit en teuton
Gesang pour la chanson
— Et le trafic se dit fercaire.
╝╗║╣╣║╗╝
Un néo-iznogoud, Eliphe,
Voudrait être caliphe en place du caliphe.
Afin que stressé il soit moins,
On lui a conseillé le joint
Car rien ne vaut, pour se relaxer, un bon spliphe.
╝╗║╣╣║╗╝
Un étudiant de lettres, Konogan,
Ne se lave pas trop le catogan.
Il y a plus de jooing
Chez lui que de shampooing —
Il ne passe jamais son korogan.
╝╗║╣╣║╗╝
Un chanteur prénommé Momble
Fait, à tous les coups, salle comble.
(Un de ses amis, Lull,
Le trouve pourtant null,
Ce qui n'est pas l'avis des fans de Momble.)
╝╗║╣╣║╗╝
Un vieux chasseur, Saturien,
Qui n'avait jamais lu Le Voyage d'Urien,
Lança « Cornegidouille !
Toujours, je reviens bredouille :
Vraiment, ce fusil, ça tue rien ! »
10:22 Publié dans Chèvre, aucun risque, Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 15 octobre 2016
Huit saints rares du 15 octobre
Un adolescent, Barsès,
Voudrait devenir Yann Barthès.
Ce n'est pas seulement
Son humour, son talent,
Mais sa coiffure et son faciès !
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Je connais un type, Cannat,
Qui chaque jour un pan bagnat
Engloutit.
L'agouti
N'est pas plus goulu que Cannat.
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Notre plombier, le bel Épain,
Ne sait pas faire le pain.
« Suis-je donc boulanger ?
Il n'y a pas de danger ! »
Pourtant, avec le boulanger il est copain !
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Il paraît que le vieil Euthyme
Est un alcoolique anonyme.
Être né à Mélitène
Lui donnerait des phlyctènes...
Virez-moi ce vieux cacochyme !
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Un vieux pêcheur nommé Gonsalve
Fait ses délices des bivalves.
Un beau jour que son oncle
Lui prenait un pétoncle,
Il saisit son pétard et lança une salve.
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
S'il se mire dans l'eau, Narcisse,
C'est qu'il a un teint de saucisse,
Et ça lui donne faim.
« Allons donc chez Épain ! »
« Je suis plombier ! Qu'on en finisse !!! »
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Un écrivain ronchon, Sévère,
Depuis avant-hier persévère
À vociférer : « Bob ?
Poète ??? Peau de zob ! »
Quid des aèdes, des trouvères ?
ÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞÞ
Le digne, fier, illustre Thècle
Dit souffrir de ce nouveau siècle.
« La sixième extinction ? Chicane !
Mais le prix Nobel à Dylane ?
Rien de pire qui me débècle ! »
16:42 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 14 octobre 2016
Quatre saints rares du 14 octobre
14 octobre 2013 & 2015
Un poissonnier, Angadrême,
Avait, pour fiancée, une brème.
« Athos, Portos sont mes amis,
Mais bien moins qu'Abramis. »
(Enfoncés, musiciens de Brême !)
Un adolescent, Calix,
Lit et relit tous les Alix.
« Il est vrai que je tique
Quand c'est homo-érotique,
Mais pas de quoi me jeter dans le Stix ! »
Un vieux boulanger, Lupulus,
Souffre atrocement du lupus.
« Quand je fais des friands au fromage
J'ai la tête dans les nuages,
Et même dans les cumulus. »
Un quadragénaire, Rothad,
Traita sa femme de pintad.
Pour toute réponche
Elle lui mit sur la tronche
Le clavier de son vieil Amstrad.
10:12 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 octobre 2016
15 saints rares du 10 octobre, vers retrouvés de 2013.
Un vieil érotomane, Aldric,
A, été comme hiver, latric —
Soir, midi, matin,
Femme, fille ou gamin,
Et même quand Giroud a raté le hatric.
Un bourgeois du nom d'Amphiloque
Se vêt toujours comme une loque.
Quoi, toujours nous raillons
L'état de ses haillons,
Nous qui n'avons jamais pondu une symploque ?
Qui fêtions-nous hier ? Cassius.
Quel nom n'est plus donné ? Cassius.
Mon limerick a des cloques
Avec ces symploques
Et sur youTube je vais écouter Cassius.
A gentleman called Cerbonius
Was fond of listening to thenius,
Especially at ten o'clock,
Which wasn't to Archilock
'S taste : “If you're on air, you're nohius."
Mon voisin de palier, Clair,
A vraiment un très gros blair.
Un jour, dans son tarin,
Il stocka du gaz sarin
Et s'envola dans un éclair.
Un Picard très ronchon, Eulampe,
Dit un soir « Éteins-mouâ c'teu lampe ! »
À son épouse, qui, teutonne,
À son tour bougonne
„ Sprich nicht mit mir wie einer Schlampe ! “
Une amie FB, Eulampie,
Vient de m'écrire : « Tampie,
Cingal, je te défrinde,
Car je ne suis pas une dinde
Et tes limericks vont de malampie. »
Un vieux spectre acariâtre, Foulques,
Se prend pour l'incroyable Houlques
Et dit : “Qu'on me nomme Néra
Et qui vivra véra ! ”
(Croit-il qu'il fera peur au capitaine Coulques ? )
Le patriarche Géréon
Tout en jouant de l'orphéon
S'endort doucement,
Et ses gentils enfants
Éteignent alors le néon.
Un fin cuistot, prénommé Loth,
Réussit mieux que tout la queue de loth.
Pourtant, ses marmitons
Disent préférer le thon —
« Ça sent beaucoup moins la culoth ! »
A French rhymer called Mallosus
Thought he was as mighty as Mosus.
“If I strike the rock
I'll never have writer's block
And I'll even find rhymes in -osus ! ”
Un paysan landais, Pinyte,
Aime cueillir les amanyte,
Mais ce qui le ronge,
S'il se trompe d'oronge,
Est pis qu'une péritonyte.
La très sémillante Salsa
Met, en tous mets, la harisa.
Tout le monde feule
« Ça arrache la gueule ! »
Salsa s'y connaît en cuspis dolorosa.
Une vieille femme, Tanche,
La nuit, n'est plus très étanche.
« Il me faut, incontinent,
Un vers moins enquiquinant ! »
S'exclame le poète, un peu tanche.
En Champenois, sainte Telchide
Élève faisans de Colchide
Dans les prés en chantonnant,
Puis elle va mitonnant
Quelques plats savoureux à l'huile d'arachide.
23:07 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 09 octobre 2016
Quatorze saints du 9 octobre
Un adolescent, Andronic,
Etait hypermégabionic.
Il passait, en jeux vidéo
Et en "dam dam déo",
Tout son fric, que sa mère claque en gin tonic.
█▄█
Une infirmière, Athanasie,
Est fort férue d'euthanasie.
Tous ses patients redoutent
La voir au compte-gouttes
Et tombent muets d'aphasie*.
○◙◘
La belle et farouche Austregilde
N'a pas, dans son prénom, de tilde.
(Tilde est masculin :
Certes, c'est malin
De changer de sujet pour omettre Austregilde !)
█▄█
Ton prénom, Deusdedit,
J'ignore comment il se dit :
Rime-t-il avec bite
Ou avec ici-gît ?
Tu n'existes pas, c'est heureux, Deusdedit !
○◙◘
En fumant des pétards, Didyme
Aime danser sur le ridyme.
Il est Marseillais
— Celui qui me plaît —
Et en a assez des rimes à vingt centymes.
█▄█
Un de mes voisins, Diodore
Chante tout le jour Je me dore
Et La nuit je mens.
Porcaire de dire : « Vraiment ?
N'y a-t-il pas d'autre air à pousser sur la mandore ? »
○◙◘
« Ton problème, Diomède,
C'est que tu chantes de la mède ! »
Porcaire n'en peut plus,
Et il aurait fallu
Pour mes pieux limericks aussi un intermède !
█▄█
Immense, colossal, Domnin
A un port altier, léonin.
« Ce que je déteste,
C'est lorsque quelque peste
Pour se moquer de moi me surnomme l'homnin. »
○◙◘
À tue-tête Gemin
Chez lui chante Long, long chemin.
« Où que tu ailles,
Dit Porcaire, mais que tu brailles
Ailleurs ! Bordel, c'est inhumin ! »
█▄█
Un vieillard bien pervers, Goswin,
Collectionnait des photos d'Élodie Gossuin.
C'est à son regard vitreux
Qu'on connaît le libidineux,
De même que le porc au suint.
○◙◘
Un Scandinave nommé Olle
Habite chez moi : pas de bolle !
Les meubles, depuis qu'il est a-
Rrivé, ont viré Ikea —
Même mon verre, mon couteau, ma casserolle !
█▄█
Ce que l'on sait de Ppublia
C'est qu'un jour elle ou-oublia
De signer son non-nom :
Toucher du popognon ?
Heureusement que l'État conconcilia.
○◙◘
Le facteur du quartier, Savin,
Aime excessivement le vin.
Pour ça, pas mal de lettres
Ont bien pu disparettres :
Savin est un vrai sac à vin.
█▄█
Un zoologue, Théofroy,
Ne ressent pas vraiment le froy.
Il ne fait pas plus chaud
Qu'il observe un manchaud
Ou un ouistiti de Geoffroy.
* Oui, c'est un pléonasme.
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samedi, 08 octobre 2016
Saints du 8 octobre
Mon camarade Badilon
Se vante avoir le radis long.
Sa femme lui dit :
« Oui, c'est un radis...
Plût à Dieu qu'il fût un pilon ! »
▄█▄
Un brave noceur, Calétric,
Souffre d'avoir toujours latric.
Même dans la débauche,
Qu'importe s'il embroche,
Il souffre d'être concentric.
▄█▄
Connaissez-vous le fier Évode ?
Il loge dans une pagode
En roseaux tressés.
Pas intéressés ?
Que diriez-vous d'une scène de Ghelderode ?
▄█▄
Insupportablement, ce Grat
Croit être très doué pour le scat.
À chaque fois qu'il beugle,
On se prend des remeugles
— Car, en outre, il mâche du khât !
▄█▄
Une épicière, Palatiate,
En avait gros sur la patate.
« C'est à moi, au volant, de
Me prendre une amende,
Tout ça parce que je roule en Fiate ! »
▄█▄
La très belle Libaire,
Éprise d'un libraire,
Était bien malheureuse,
Car, coïncidence * affreuse,
Les bouquins la faisaient braire.
▄█▄
Pauvrette, ô pauvre Mélarie !
Tout le monde autour la charrie
Car elle a un long nez,
Des yeux chatironnés,
Le poil aussi dru que celui d'un pécarie.
▄█▄
Ironie du sort, Métropole
Habite à la Guadeloupe.
Du coup, c'est affligeant,
Mon limerick loupe
L'occasion d'être dans les normes.
▄█▄
La douce et prudente Porcaire
Voudrait bien s'exiler au Caire,
Lui donnant de l'urticaire
À écouter tout le jour du Cora Vaucaire.
▄█▄
La frêle et maussade Pallade
Tout le jour dit Je suis mallade.
C'est du Serge Lama
Porcaire s'enflamma
En balançant Je n'en peux plus de vos sallade !
▄█▄
Comment a donc fait Pélagie
Pour avoir une pubalgie ?
Le pape François
N'aime pas trop ça
Bicoz la djendeurfihorie.
▄█▄
Elle est si austère, Remfroye,
Qu'elle emplit tous les cœurs d'effroye,
Sauf celui de Macaire,
Qui, chantonnant Cora Vaucaire,
Va répétant « certains lemfroye ».
▄█▄
Une voisine, Réparate,
Commence à chanter : J'ai la rate...
Porcaire dit « Hourra !
Ça va nous changer de Cora ! »
(Je crois qu'elle a abusé un peu du picrate.)
▄█▄
Une garagiste, Thaïs,
Fume des gitanes maïs.
Elle boit comme un trou,
Gambade comme un potorou,
Mais quand elle chante c'est un hypolaïs.
▄█▄
La mélomane Triduana
Aime de Mingus Tijuana
Moods. « Moi, je préfère... »
Lui répond Macaire —
Ah, je vais l'étouffer avec son bandana !!!! **
* Rare synérèse.
** Saurez-vous deviner quel personnage lance cette réplique ?
19:22 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 07 octobre 2016
Saints du 7 octobre [2013]
Avec son casque en cuir, notre ami Armentaire
S'apprête à embarquer dans un hélicoptaire.
Autour de lui les pales
Vrombissent en rafales :
Voici un limerick quelque peu fragmentaire.
Notre jardinier, Bacchus,
Adore les hibiscchus.
Il soutient mordicchus :
« C'est mieux que les crocchus »
— Remerciez-moi d'éviter d'autres rimes en -cchus.
Ce qu'aime le vieux Canog
C'est un pion de rhum dans son grog.
Dès qu'il a éclusé
Deux trois mugs, le pépé
Se met à frétiller comme Kylie Minog.
Mon professeur de chant, prénommé Elzéar,
Nous impose toujours des trucs de Guybéar.
Sérénade à madame
Ou bien À Amsterdame —
Et que sert que nous le traitions de ringuéar ?
Critiquant tout, certain Ethère
Trouve ma poésie déléthère.
Quoique ma plume soit prudente,
J’ai l’art des rimes décadentes,
Et ne peux point du tout meuthère.
Un ami d'enfance, Gérold,
Est sosie du chanteur de Gold.
« Le prochain qui m'appelle Emile,
Je le balance aux crocodiles ! »
(This line is slightly oversold.)
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jeudi, 06 octobre 2016
Saints du 6 octobre
Mon meilleur pote, Adalbéron,
Est très fan de Martin Veyron.
Les filles l'adorent :
Il est musclé comme une amphore
Et il a les yeux vairons.
Mon autre meilleur pote, Barse,
A épousé une vraie garse.
Vrai, elle lui fait de l'effet —
Il danse devant le buffet
Et joue le dindon de la farse.
Un autre bon pote, Macaire,
N'adore que Cora Vaucaire.
Trois petit's not's de musique,
À la fin, moi, ça me fatique :
Je voudrais m'exiler au Caire.
Je ne vois plus beaucoup Pardoux,
Qui était gras comme saindoux.
Enfin, bref, je m'égare...
Il était chef de gare :
Dis, Pardoux, le train part d'où ?
Un ami breton, Yvi,
A figure de ravi
De la crèche.
Où il crèche ?
Sorry, je ne sais où il vit.
08:58 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 04 octobre 2016
Le retour des limericks du martyrologe (saints du 4 octobre)
Un traducteur nommé Amoun,
Disciple de Josée Kamoun,
Traduisait à tour de bras
Même un truc comme Hudibras
Sur le parking du Grand Moun.
Mon ami Audacte
Est autodidacte.
Pour la moindre fouille
À fond il se mouille :
D'ailleurs il habite à Bibracte.
La très prude et jolie Domnine
Est plus menue qu'une ménine
De Velasquez.
Son chien, qu'elle tient en lez,
Est énorme et pue des canines.
Saint Gouria
Criait Gloria
Dans les rues de Kazan,
Vêtu comme un tarzan.
D'admirateurs ? une noria.
Un coiffeur nommé Madalvé
N'est jamais vraiment bien lavé.
Bien qu'il dise « tout baigne » ,
L'est crasseux comme un peigne :
Son shampooing, selon lui, n'est pas désenclavé.
Un vieux constipé, Pétrone,
Passe son temps sur le trône.
« Le poisson a des branchies
Et l'âme ses entéléchies.
Suis-je le seul dont le boyau est asynchrone ? »
Il est si laid, pauvre Quintin,
Que pour la baise il fait tintin.
« Qu'y puis-je si ma face
Est vraiment dégueulace ? »
Son esprit seul est libertin.
———
Versions de 2013
———
Déjà petit garçon, Quintin
Lisait les albums de Tintin.
« Albums ? ne le dis pas :
Dis plutôt “les alba” ! »
— Quintin est devenu professeur de latin.
Un vieux monsieur, Audacte,
Qui voulait visiter Bibracte,
Se retrouva comme deux ronds
De flan sur le Mont Beuvron.
L'archéologie n'est pas pour autodidactes !
Le devinez-vous, Hierothée,
Mon cher ami, vint hier au thée.
Si ce pauvre blaireau
S'appelait Hieràlapéreau,
Il passerait tout son temps libre à sirothée.
Un écrivain nommé Pétrone
Faisait, fort fréquemment, des crises d'acétone.
Pour que sa prose ne soit pas trop monotone,
Son épouse, un peu gorgone,
Lui conseilla de s'acheter un dictaphone.
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samedi, 24 septembre 2016
Dix limericks retrouvés
« À part celui sur Coprios où guère ne te foulas la rate, l'ami, je te kiffe trop. » (Florence B., 24 septembre 2013)
Un fort brave garçon, prénommé Anathlon,
Était, par-dessus tout, fana de triathlon.
Toutefois, hygrophobe,
Il sent que se dérobe
Le destin : le voilà vendeur à Décathlon.
Le boucher d'Andelot, Andoche,
Disait toujours : « Pour la bidoche,
Rien de tel qu'un tel prénom,
Qui ajoute à mon renom !
Mais allez faire accepter ça à ma beldoche... »
Un locataire, Coprios,
Avait à cœur d'importuner ses proprios
Pour une fuite d'eau
Ou un double rideau,
L'appart dans un état proche de l'Ohios.
Mon petit cousin, Dalmace,
Est complètement à la mace.
Il chante du Tal
Et du Lemarchal,
Parfois même du Jeannemace.
Mon voisin de palier, Nicandre,
Ressemble à un vieux scolopandre.
Derrière son juda,
Il m'espionne à tout va —
Vraiment, c'est à n'y rien comprandre !
Un gentil damoiseau, prénommé Pacifique,
Ne goûte guère la compagnie de Rustique.
Il dit : « Ta barbe pique ! »
L'autre répond : « Soporifique ! »
On est bien loin, ma foi, de vos amours saphiques.
Vicomte de Marseille, Ysarn
N'était pas natif du Béarn,
Ce que vraiment j'abhorre
Car il n'y a pléthore
De rimes en -arn (barn, Tarn, Troarn, saumondarn).
Quoique fort botaniste, Thyrse
N'a jamais vu lilas ni cirse
Ni même de pâquerette,
De sorte que rien ne l'arrête
S'il veut se jeter dans la Birse.
Un universitaire, appelé Galaction,
Avait surnom plaisant — Professeur Inaction !
Des cours recyclés,
Nulle responsabilité
Mais un CV truffé de cent publications.
Germer de Fly disait à sa femme : « Domane,
Il me fout vraiment les jetons, ton dobermane.
Si tu n'y mets de muselière,
J'irai au fond d'un monastère. »
C'est ainsi que Germer devint moine brâhmane.
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mardi, 19 novembre 2013
Saints rares du 19 novembre
Un brave Teuton, Tuton,
Ayant acheté un futon,
Découvrit que Mechtilde
(Sa femme, au nom sans ~)
Devait compter les moutons sur le futon de Tuton.
*
Un Cordouan, Théodemir,
Ayant aspergé de Mir
Son ami Houardon,
Lui demanda pouardon.
(Des poèmes comme ça, ça me fait frémir.)
*
Un couturier, Philarète,
Au poissonnier tendit l'arête
En forme d'alérion.
Le poissonnier, Hilarion,
Lui dit : « Tu tires sur le fil ! Arrête ! »
*
Mon maître d'hôtel, Héliodore,
Trouve le chou-fleur inodore.
Quand j'ai dit ça à Cydroine,
Il est devenu pivoine,
Et plus furieux encore qu'un tyrannosore.
*
Un fier facteur fatigué, Fauste,
Adore le jambon d'Ahauste.
Son associé, Barlaam,
Ecoute des chansons de Laam,
Si bien que Fauste veut débaucher de La Pauste.
*
Il est trop pas cool, Exupère,
Bicoz vraiment tout l'exaspère.
Dès que son fils, Atton,
Balance un flow d'Akhenatton,
Exupère vitupère.
*
Une latiniste, Ermenburge,
S'étant pris une grosse murge,
Exigea d'Anastase
— Qui n'aima pas trop cet oukase —
De lui passer fissa la bassine (“ça urge”).
*
Un de mes amis, Abdias,
Déteste mon galimatias,
Cependant qu'Aldegrin
Trouve que j'ai un grin
Et même, pour tout dire, un noyau de spondias.
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lundi, 18 novembre 2013
Saints rares du 18 novembre
Un Wallon prénommé Amand
S'exprimait très bien en flamand.
Son meilleur ami, Maudez,
Trouvait vraiment démaudez
Pour un Wallon d'ainsi s'exprimer en flamand.
*
Le gardien d'immeuble, Anastase,
N'a pas une tronche à l'extase.
Pourtant, en voyant Frigdien
Arborer son bonnet phrygdien,
Il a succombé d'épectase.
*
Un brave chtimi, Burgin,
Entre et me dit : « c'est urgin ! »
Il a l'air affolé.
Je réponds : « quoi'qu'ça l'est ? »
(J'ai vécu dix ans à Beugin.)
*
Mon Dieu, quand on invite Chaffre
À déjeuner, on en sort affre-
Usement ruiné,
Le portefeuille encalminé,
Car ce Chaffre, justes cieux, qu'il bouffe et qu'il baffre !
*
Un chef de fanfare, Hésyque,
Balance “En avant la zizyque”
À tout de bout de champ.
Ce n'est pas méchant,
Mais enfin, je (trombone) suis pas amnésyque.
*
Un enfançon breton, Keverne,
Aime Le bouclier arverne.
Son oncle, Romphaire,
Lui dit : « Luke, je suis ton paire ! »
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mercredi, 02 octobre 2013
Saints rares du 2 octobre
Un brave Italien, Bacchi,
Est très féru de gnocchi.
Sa femme, Bérégise,
Préfère les saucise,
Les chipolatas, les cnacchi.
« — Ce que je vois sur votre orteil, cher Damaris,
N'est pas cicatrisé ! Oh, c'est un panaris !
— Ma chère Eleuthère,
Vous me donnez de l'urtikhère ;
Allez plutôt nourrir vos foutus canaris ! »
Mon meilleur ami, Gérin,
Vient d'acheter un véhicule tout-térin.
« Tu ferais mieux de te ranger,
Poète, ô mon ami, Léger :
Ton œuvre, et non toi, durera plus que l'érin. »
Le pharmacien Lycomède
Sait un souverain remède.
Du moins le dit-il
D'un air peu gentil.
J'appelle ça tirer des plans sur la comède !
Le maître de solfège, Prime,
Souhaite toujours que l'on "s'exprime".
L'autre jour, Saturio
A pondu un oratorio
Qui a enfoncé Prime en profonde déprime.
Mon beau-frère, Scariberge,
Adore les canneberge.
Mais son père, Ursicin,
Préfère les ourcin.
Ah, c'est coton, je le dis, quand on les héberge !
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15:38 Publié dans Albums de limericks non ligériens, Chèvre, aucun risque, Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 01 octobre 2013
Saints rares du 1er octobre
Un paysan prénommé Aïzan
Aimait mâcher des cachous et du zan.
« Je fais mes délisse
De cette réglisse,
Forte comme un surfeur de Mimizan. »
L'actrice prénommée Arielle
Est quelque peu caractérielle.
Même son Bébert
Ne sait plus quoifert
Pour qu'Arielle soit un peu moins mercurielle.
Un clochard prénommé Bavon
N'empestait pas trop le savon.
« Ce qui enjolive,
C'est le Palmolive ! »
Lui lança un marchand de fragrances slavon.
Une adolescente, Délia,
Se prend quelque peu pour la Dame aux camélias.
Sa mère, furibarde,
Lui dit « si t'es tubarde,
Ferme-la ! » — ce qui humilia Délia.
Un ami Facebook, Vérissime,
Trouve mon œuvre nullissime.
« Après tous tes distiques,
Il fallait bien les limeriques ! »
(La rime ci-dessus, Véri, est rarissime.)
Quoique breton, l'ami Nizier
Déteste l'odeur de lizier.
« Si j'étends un drap
Ça l'empuantirap...
L'odeur de lizier colle au chemizier ! »
Un jour, la belle Montaine,
Se rendant à la fontaine,
Laissa choir le panier d'ozier
Que lui avait offert Nizier.
(Des choix de dernier vers, j'en ai une vingtaine.)
Un jour, un brave garçon, Piat
Se fit traiter de galapiat.
« Bien mal vous eût pris
De me traiter de malappris ! »
(La grammaire était son opiat.)
Ministre de l'Intérieur, Romanos
Vient de lancer « Dehors, les Romanos ! »
C'est pour rouler de farine,
Dit-il, la blonde Marine
En lui donnant, à ronger, un nonos.
Dans l'épicerie de Sabbas,
C'est toujours le branle-bbas.
Sacs et clayettes,
Pochons, cagettes —
Au point que souvent on y perd son cabbas.
Je connais un facteur, Vulgis,
Qui habite à Montargis.
Dès qu'il sort de son logis,
Il se dit "allez, j'agis"
Il distribue le courrier à Ris-Orangis.
Un ami proche de DSK, Wasnon,
Donna rendez-vous à Tristane Basnon.
Juste après un quart vittel,
Il lui proposa l'hottel.
Et elle, tout de go : « mais ça va pasnon ? »
Un poète latin, Suliac,
Rimait en distikélégiac.
« Même pour une épigramme
Il est vrai que je ramme :
Que n'a-t-on inventé le canoë-kaliac ! »
Le très digne et très respectable Virila,
C'est connu de tous, un gros membre viril a.
Un jour, dans son monastère,
Trébuchant, il chut à tère,
Se faisant à lui-même o-soto-gari là.
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15:41 Publié dans Chèvre, aucun risque, Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 30 septembre 2013
Saints rares du 30 septembre
Un vieux Normand du nom d'Ansbert
N'aimait pas trop le camansbert.
Sans être faraud,
Il préférait le Livaraud,
Détestait par-dessus tout la fourme d'Ansbert.
Prédestiné par son prénom, Aristakès
Entre armé dans la banque en réclamant lakès.
Selon sa trogne,
C'est au gomme-cogne
Qu'il est accueilli — Dieu, quel patakès !
Un brave vieillard, Honorius
Etait du signe Aquarius.
« Depuis le berceau,
Je suis recteau-verseau ! »
S'époumonait l'olibrius.
Lycéen dans les Deux-Sèvres, Léry
Rêve d'aller étudier Valéry,
Tacite et Suétone,
Plaute, Ammien, Pétrone
— Mais à Poitiers : il y a Dame Méry !
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15:49 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 27 septembre 2013
Saints rares du 27 septembre
Aquiline disait à son homme : "Adérit !
Si tu ne m'aides pas, je pète une durit ! "
Les tâches ménagères,
Il faut les partagères.
(Mon limerick est-il écrit par Ribérit ?)
Adérit répondait à sa femme : "Aquiline !
J'ai mal partout, il me faut d'la péniciline ! "
Ne trouves-tu pas, dis donc,
Lecteur, cette excuse bisdonc ?
(Mes rimes toujours plus deviennent sibiline.)
Un chanteur, Callisatrate,
Disait "j'ai la rat' qui s'dilate".
Comme il était Breton,
Son argument béton
Etait qu'il étouffait à cause des nitrates.
Un ado métalleux, Caïus,
Aimait à la télé exhiber son anus.
« Franchement, mes parents
Ne sont pas très marents
D'avoir choisi de m'appeler Caïus ! »
Un ténor idiot, Elzéar,
Est féru de Franz Léhar.
Quand il va à la supérette,
Il fredonne ses opérettes
Tout en achetant bonbons et carambéars.
Originaire du Maroc, la brave Hiltrude
Ne rêve de rien tant que d'un climat très rude.
« Ah, la Norvège
Et son ciel de nège ! »
La nuit boréale convient aux âmes prudes.
Quoiqu'elle n'ait que quatorze ans, la belle Hermie
Rêve du jour où elle aura son permie.
Foncer en voiture,
Prendre une biture —
Hermie attend aussi de toucher son hermie.
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15:52 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 26 septembre 2013
Saints rares du 26 septembre
Un arsouille nommé Céran
Etait féru de Saint-Véran.
« L'Aloxe-Corton,
C'est pour les avortons.»
Ainsi allait clamant l'alcoolique Céran.
Quoique dermatologue, mon ami Crescence
A, sur le nez, une vilaine excroiscence.
« C'est un vrai poison
Dont nulle excision
Ne vient à bout — quelle indescence ! »
Le jeune étudiant Eusèbe
Passe son temps sur le Wèbe.
« Bien mieux vaut tweeter
Que l'euhèneter »
Dit-il, aboyant comme un clèbe.
Un doctorant, Gédéon,
Etudiait Michel Déon.
Tout un chacun jugeait
“C'est un piètre sujet ! ”
Il y a pire : Giscard et son accordéon.
Un brave cuistot, Meginhard,
A la passion des épinhard.
Il en met dans les potages
Mais aussi dans les laitages ——
IL en sert même au fond des verres depinhard !
Un boulanger, prénommé Nil,
Est allergique au fournil.
Comme sa femme craint
D'être dans le pétrin,
Elle veut expédier Pomponnette au chenil.
Un collègue, qui se nomme Sénateur,
Passe toutes ses nuits sur l'ordinateur.
Quand sonne le révails,
Je trouve plein de mails
Que m'a envoyés nuitamment Sénateur.
(Bon. Je réclame indulgence. Pas en forme aujourd'hui. Un signe ? je ne me fais pas rire.)
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16:00 Publié dans Chèvre, aucun risque, Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 25 septembre 2013
Saints rares du 25 septembre
Un pâtre du beau nom d’Amance
Avait du goût pour la romance.
Toutefois, ses brebis
Etaient d’un autre avis,
Surtout quand il relâchait sa semance.
Un prêtre nommé Aunachaire
Débite, dès qu’il est en chaire,
Inepties et fadaises,
Insanités, foutaises,
Ruant et pestant, plus furieux qu’un phacochaire.
Austinde, qui n’était pas vil,
Serait né pile en l’an Mil.
Il a péri à Auch
(Dont se fout Saint Andoche)
D’un empoisonnement au thé de camomil.
Un brave cuistot, Céolfrid,
Pour “sur le plat” disait œufs frid.
Et quand un bandit
Le menaçait, pardi,
Il lui tendait la caisse en disant « Voilà l’frid ! »
Vous pondre un limerick sur le nom Cléophas ?
Franchement, les amis, je le dis, c’est trophas,
Car, du moment qu’on peut
Tricher, le poéteux
N’a besoin ni d’avant-propos, ni de préphas.
Devenu procureur, à son corps défendant,
Il ne put renier son prénom : Défendant.
Avocats et greffiers,
Notaires et huissiers
Gloussaient quand il passait, en disant « C’est fendant ! »
Fort belliqueux, cet Ermenfroi
Hurlait partout : « J’ai rarmenfroi ! »
Il n’était pas frileux,
C’est sûr – son corps pileux
Plus velu que son palefroi
La suave et tendre Euphrosyne
A toujours, sur les doigts, des taches d’éosyne.
« Jamais ça ne loupe
Et toujours je me coupe
En faisant la cuicui, en faisant la cuisyne. »
D’un tempérament joyeux, le jeune Finbarr
Au collège ou au lycée se tape des barr.
Un jour, trop rigolant,
De quelque gag über-lolant,
Il en a craqué son slibarr.
Quoique belle, Néomésie,
N’a pas d’amant, quelle hérésie !
Voulez-vous donc savoir
Le fin mot de l’histoir ?
Néomésie souffre (un peu trop) d’encoprésie.
Mon ancien voisin, Paphnuce,
Etait un drôle de guguce.
Tout en répétant « ah ouais »
Il montait à bord des tramouais,
En il n’en descendait jamais qu’au terminuce.
Notre directeur, Principius,
Travaille moins pour gagner pius.
Il fait fi du tramway
Et fonce en béhemway —
J’ai l’air fin avec ma Prius !
Une latiniste, Souzdal,
Dit sans arrêt qu’elle a ladal.
Même devant son écran,
Son estomac à cran,
Elle s’envoie plein de casdal.
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16:03 Publié dans Limericks du martyrologe | Lien permanent | Commentaires (0)