lundi, 31 octobre 2005
Bibliothèque portative en anglais
Pour ceux qui lisent l'anglais (et qui deviennent indûment favorisés ces derniers temps), je conseille la lecture de ce chapitre 3 de The Road to Wigan Pier, qui, outre de belles considérations minières et charbonneuses, peut suggérer la réponse à l'énigme posée plus tôt ce jour.
(Mais si, vous savez bien, dans un message publié à 12 h 55, et qui proposait de relier le texte d'un conte et le titre d'une précédente note.)
(Ce qu'on s'amuse.)
22:35 Publié dans Lect(o)ures, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (3)
Vue pyrénéenne agrémentée d'une énigme
19:45 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Thoreau, il y a 148 ans
October 31, 1857:
If you are afflicted with melancholy at this season, go to the swamp and see the brave spears of skunk-cabbage buds already advanced toward a new year.
17:50 Publié dans Célébrations improbables | Lien permanent | Commentaires (0)
Bordeaux barbapapesque
15:05 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
Oups, je l'ai fait encore...
Ayant dû subir, au moment du café, en cet aimable troquet où je déjeune le lundi, un pot-pourri de Britney Spears (et jamais le mot "pourri" n'eut autant de signification), je vous livre la traduction, par l'intermédiaire du traducteur automatique de Google, d'une chanson intitulée Oops I did it again :
Oops, je l'ai fait encore
J'ai joué avec votre coeur
Obtenu perdu dans le jeu
Bébé de bébé d'Oh
Oops, vous pensez que je suis dans l'amour
Que je suis envoyé d'en haut
Je ne suis pas celui innocent
(Texte original ici. (But don't you dare go and check!!!))
14:00 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (6)
Tom Pouce et la Table Ronde
Si vous choisissez de lire The True History of Sir Thomas Thumb, d'une certaine Flora Annie Steel, vous découvrirez peut-être l'expression anglaise qui relie ce conte à une note publiée précédemment ce jour.
12:55 Publié dans Lect(o)ures, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (1)
Défi numérique
M'étant lancé le défi imbécile de dépasser les dix mille visites au cours du mois d'octobre, je me dois d'aller au bout de l'idiotie, go the whole hog, et vous informer que c'est mal.
(Mal barré, quoi).
En effet, il faudrait 383 visites pour ce seul dernier octobre. Or, ce carnet de toile n'a accueilli un nombre supérieur de visites qu'à deux reprises en trente jours, soit le lundi 17 octobre et le lundi 24 octobre. (Je m'en étais déjà ému.
Si le lundi me porte chance, ou si les palindromes me poursuivent, nous le saurons demain.
11:50 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)
Halo, oui
Deux étudiantes, ce matin en cours de grammaire, grimées, maquillées et cheveux teints.
Plus tôt, une dame d'allure tout à fait respectable manque de me faire tomber, pilotant fièrement sa bicyclette sur le trottoir. Il ne se passe pas de journée sans que l'on voie des vélos empiéter sur l'espace pourtant réduit des piétons. Il paraît que les cyclistes ont beaucoup à se plaindre des automobilistes; les piétons, eux, doivent s'écraser, je suppose.
Hier soir, j'ai bien avancé le texte de ma communication sur Travelling with Djinns. Je ne tousse plus beaucoup. J'ai achevé la lecture de L'Amant bilingue, livre fou et fort de Juan Marsé. Ce matin, entre 7 h 30 et 9 h, dans mon bureau rue des Tanneurs, j'ai préparé les documents pour le cours sur l'humour britannique de lundi prochain. Où il sera question de limericks.
Un halo de ferveur laborieuse accompagne mes pas. Je réinvente la roue.
10:45 Publié dans Lect(o)ures, Moments de Tours, WAW | Lien permanent | Commentaires (1)
Sur son trente-et-un
Au moment où apparaît cette note, que j'écris ce dimanche 30, à six heures du soir mais programme pour demain matin, le dernier nombre à figurer en noir au calendrier verdit de sérénité, et la nuit suivante, à minuit, le calendrier du mois de novembre s'y substituera, alignant une théorie de trente nombres noirs à, inlassablement, reverdir, même en automne, et de sisyphéenne condition.
06:40 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2)