jeudi, 29 juin 2006
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Un vieux barbon d'Azay-le-R-
-ideau, lisant Florian Zeller,
Se dit fasciné par le pire,
Idem par le Second Empire
Et les coups francs d'Uwe Seeler.
23:55 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (1)
On n'arrête pas le regrès, II
Ayant reçu hier soir un coup de fil d'une dame qui a refusé de se présenter (alors qu'elle n'était pas du tout gênée de me téléphoner à mon domicile pour me parler de mon blog...!), j'ai relu le billet que j'avais écrit dans une autre vie et où j'évoquais, brièvement et surtout de manière très allusive, le terme de regrès. J'avais alors vérifié dans le Robert culturel, mais m'en tenant à la date d'apparition du mot d'après ce noble dictionnaire (1907), je n'avais pas même pris la peine de vérifier dans le Littré, puisque le Littré, même dans ses rééditions exhaustives ou abrégées, est le dictionnaire de référence pour la langue du 19ème siècle.
Or, comme mon interlocutrice anonyme d'hier soir m'apprend qu'elle a trouvé le terme de regrès dans l'Abrégé du Littré 2006, je vérifie dans mon Littré en six volumes, et trouve ceci :
REGRÈS, s.m. 1° Terme de jurisprudence bénéficiale. Droit de rentrer dans un bénéfice résigné ou permuté, quand le résignataire n'observe pas les conditions stipulées. // 2° Anciennement, faculté de revenir sur la vente de charges, d'offices, de judicature, en signifiat dans les vingt-quatre heures la révocation de la résignation qu'on en avait faite.
Dans tous les cas, ce n'est pas dans ce sens-là que mon collègue Marc Chemali l'entendait ; dans son esprit, oui, et dans son article, le regrès était le "fait de revenir en arrière", ou, filant l'homophonie avec regret, le "fait de vouloir revenir en arrière".
16:00 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (3)
Termes obligés
Me lassant de voir - au cours de mes recherches sur Google - apparaître souvent des dizaines de pages de résultats, j'ai décidé de réhabiliter des expressions sous-estimées sur la grande Toile mondiale en invitant certains de mes lecteurs eux-mêmes blogueurs à les employer dans un de leurs billets.
Ce sont les expressions figurées à toute banane et être rasé avec une biscotte (qui signifie "avoir une barbe de trois jours") que je compte, dans un premier temps, voir apparaître. Aussi aimerais-je que VS, Livy, Dominique, Richard et Joye relèvent le défi et emploient ces deux expressions dans l'un de leurs billets, voire encouragent d'autres parmi leurs lecteurs à en faire autant.
Voilà...!
08:00 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (6)