mardi, 25 décembre 2007
Perdubiquités
Coimbra, 15 janvier 1988.
Traduire. Faire voyager l'expression. Et fleurir le génie d'une langue dans le génie d'une autre. Accomplir le miracle de donner l'ubiquité à un texte qui, sans perdre sa force native, parle d'une autre voix.
(Miguel Torga. En chair vive. Traduction de Claire Cayron. Corti, 1997, p. 225)
16:45 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature, Traduction
Commentaires
Ce que j'apprécie dans ce blog, c'est que chaque jour (ou presque) j'y trouve des idées de nouvelles lectures. merci.
Écrit par : xavier | mercredi, 26 décembre 2007
Essayez "Arche".
Écrit par : G. Cingal, laconique | samedi, 05 janvier 2008
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