mercredi, 27 février 2013
Une énigme de ballet
Grande innovation ce soir dans le Swan Lake :
Six grands coups de tuba suivis d'un rattlesnake.
22:20 Publié dans Chèvre, aucun risque, D'autres distiques | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 20 février 2013
Comme un vol de Milan hors du charnier natal...
Comme qu'on avait croire à le Barça bang bang
ç'a Milan qui marqut le but par Boateng.
* * * * * * *
Cartonnu que ç'a dur rital de safari
Dix minutes la fin patata Muntari.
05:50 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 17 février 2013
Duplex
Le TGV Duplex haut on a doux ça m'aille
Sauf que lors ça grouillut de toute une marmaille.
15:55 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 16 février 2013
Philip & moi en Afrique du Sud
10:00 Publié dans Hors Touraine, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 15 février 2013
#37
Une donzelle de Mâron
En a assez de son daron.
« Quand il m’aura poussé à bout,
C’est sûr, je mettrai les bouts
Et j’irai loin, loin… au Menoux ! » *
* Note : Il y a 43 kilomètres de Mâron au Menoux.
08:12 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 14 février 2013
« Careful with that axe, Oskar »
Je n'y ai pour de rien si en bouffant des champ'
Pistorius bousillut sa meuf (la Steenkamp).
15:50 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
#36
Un obsédé de Lourdoueix
Dit à tous qu’il a un gros soueix.
Quoique son membre apocope
S’accommode du microscope,
À tous il va disant qu’il a un très gros soueix.
08:09 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 13 février 2013
Six alexandrins ribéryens
Comprendu-je ne pas qu'avirons eczéma
Regardir comme que spectral est Benzéma.
Tellement qu'on ne voir pas Rimka balle à terre
Je croivis qu'il avait restu dans le vestiaire.
Et qu'il avons sortu remplacé par Higuain
Rimka plus mauvais foot que chanteur le Fugain.
22:30 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
#35
Un mendiant de Crozon-sur-Vauvre
Refuse qu’on le dise pauvre.
« Nous autres, berrichons,
Somm’s point trop maigrichons ! »
— Ah, je vais finir par me jeter dans la Vauvre !
08:05 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
Balivernes déplorables
Charles Gould assumed that if the appearance of listening to deplorable balderdash must form part of the price he had to pay for being left unmolested, the obligation of uttering balderdash personally was by no means included in the bargain.
(Nostromo, I, 7)
J'ai cru me revoir pendant mes trois années à la direction du département d'anglais, quand je devais rencontrer certains collègues qui se prenaient pour des pontes, ou lors de certaines réunions.
(Philippe Vendrix et Bernard Buron, les rois du "deplorable balderdash")
02:37 Publié dans Autoportraiture, Lect(o)ures, WAW | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 12 février 2013
... je crois ...
Déjà 22 heures dans les transports, je crois, et on n'est pas au bout.
Tout ça pour 4 jours sur place, je crois.
Cette nuit, au-dessus du Sahara, j'ai dormi, on and off, quatre heures, je crois.
Le premier sourire, sur le territoire azanien : celui de l'hôtesse qui a enregistré la valise de P. Première boisson : une Windhoek bien fraîche. Premier billet tendu : un lion (R50). Premier billet rendu et aussitôt converti en pourboire : un mouflon (mouton ? chèvre ? --- R10). Airport announcements getting on my exhaustion.
Nihil novi sub sole.
Je crois avoir distingué Gaborone, puis d'abruptes collines (falaises), avant la descente sur Jo'burg.
Pas besoin d'aller utiliser les prayer facilities, je crois.
11:47 Publié dans Hors Touraine | Lien permanent | Commentaires (0)
#34
Un vieux poète de Crevant
Toujours marchant, s’en va rêvant
Aux œufs en couille d’âne
Et autres mets anglomanes
Dont on est friand à Crevant.
08:01 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 février 2013
The Great Holiday
Now a holiday has no connection with using a man either by beating or feeding him. When you give a man a holiday you give him back his body and soul. It is quite possible you may be doing him an injury (though he seldom thinks so), but that does not affect the question for those to whom a holiday is holy. Immortality is the great holiday; and a holiday, like the immortality in the old theologies, is a double-edged privilege. But wherever it is genuine it is simply the restoration and completion of the man. If people ever looked at the printed word under their eye, the word "recreation" would be like the word "resurrection," the blast of a trumpet.
A man, being merely useful, is necessarily incomplete, especially if he be a modern man and means by being useful being "utilitarian." A man going into a modern club gives up his hat; a man going into a modern factory gives up his head. He then goes in and works loyally for the old firm to build up the great fabric of commerce (which can be done without a head), but when he has done work he goes to the cloak-room, like the man at the club, and gets his head back again; that is the germ of the holiday. It may be urged that the club man who leaves his hat often goes away with another hat; and perhaps it may be the same with the factory hand who has left his head. A hand that has lost its head may affect the fastidious as a mixed metaphor; but, God pardon us all, what an unmixed truth! We could almost prove the whole ease from the habit of calling human beings merely "hands" while they are working; as if the hand were horribly cut off, like the hand that has offended; as if, while the sinner entered heaven maimed, his unhappy hand still laboured laying up riches for the lords of hell. But to return to the man whom we found waiting for his head in the cloak-room. It may be urged, we say, that he might take the wrong head, like the wrong hat; but here the similarity ceases. For it has been observed by benevolent onlookers at life's drama that the hat taken away by mistake is frequently better than the real hat; whereas the head taken away after the hours of toil is certainly worse: stained with the cobwebs and dust of this dustbin of all the centuries.
G.K. Chesterton. Utopia of Usurers (1917).
17:30 Publié dans Lect(o)ures | Lien permanent | Commentaires (2)
samedi, 09 février 2013
De la musique avant toute chose
16:04 Publié dans Distiques ribéryens, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 06 février 2013
Grippe, grêle
La grippe – la première depuis treize ans – aura eu raison de l’emploi du temps, car, après, il a fallu bricoler la communication, puis se vider du peu d’énergie restant pour le colloque.
Désormais, dans la série « dossiers en retard », ce sont les étudiants sud-coréens et australiens qui vont plomber les journées, avant le départ pour la mission en Afrique du Sud (Pietermaritzburg et Durban, où, entre autres joyeusetés, visites de campus, réunions de travail, je dois assurer 45 minutes de séminaire (jeudi prochain, me semble-t-il) sur je ne sais pas quoi encore). Rappel de l’immuable règle : quand le deuxième semestre s’annonce beaucoup plus léger que le premier, il paraît souvent pire, une fois au pied du mur.
J’espère tout de même avoir le temps, de mars à juin, de mettre en place mon nouvel emploi du temps, et notamment traduire les trois essais de Chaudhuri, la nouvelle de David Francis, et peut-être reluquer du côté de Parker Bilal (dont, en coup de vent, j’ai eu le temps de discuter avec Jamal hier, Jamal apparu in extremis pour une communication qui a tapé pile dans le mille, et a ouvert des dizaines de ramifications dans ce qui avait été dit jusque là – vertigineusement même).
Me suis rarement couché aussi épuisé qu’en ce moment. Entre autres choses, chantiers en souffrance, je devrais, pour ces carnets, rassembler mes notes ou souvenirs relatifs aux différents moments forts de la résidence.
——— La grêle contre les vitres, la grippe contre l’être.
07:51 Publié dans Questions, parenthèses, omissions, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)