lundi, 12 décembre 2005
La triste vérité, II
I.
G.
I.
G.
I.
G.
23:30 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (3)
30
Une demoiselle de Ferrière-Larçon
Etait, par-dessus tout, douée au cheval d'arçon.
Un jour, elle devint sceptique
Et cessa toute gymnastique
Pour aller, de par les rues, courir le garçon !
21:45 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (3)
Récréation
« Toute la création est fiction et illusion. La matière est une illusion pour la pensée ; la pensée est une illusion pour l'intuition ; l'intuition est une illusion pour l'idée pure ; l'idée pure est une illusion pour l'être. Dieu est le mensonge suprême. »
(Fernando Pessoa. Traité de la négation.)
............
N.B. : Encore le même lien temporel entre cette note et la précédente.
20:50 Publié dans Lect(o)ures | Lien permanent | Commentaires (10)
Est-ce ce palmier-là ?
" De nouveau à la F.I.A.C., hier soir, avec Jean et Philippe. Beaucoup de choses m'avaient échappé dans la cohue de l'inauguration, et par exemple un paysage avec un palmier de Jawlensky, de 1914 semble-t-il, qui est certainement pour moi la merveille de la foire, l'objet de fantasme par excellence, comme l'Udalzowa de chez Gmurzynska, l'année dernière."
(Renaud Camus. Journal Romain (1985-1986). 11 décembre 1985)
19:35 Publié dans BoozArtz, Flèche inversée vers les carnétoiles, Lect(o)ures, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
Suite de l'énigme : Abel Tasman
Quel est le lien entre la note précédente, un improbable limerick, et Abel Tasman, le célèbre navigateur qui fut, notamment, le premier Européen à accoster en Nouvelle Zélande ?
Indice : c'est le même genre de lien qui unit la citation d'Avicenne et ma découverte d'Antoine Antoniol.
Autre indice : le point commun, au sein de chaque paire de notes, est le temps. (Vague, mais ça devrait aider.)
17:15 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (6)
29
Un boucher de Pocé-sur-Cisse
Ne savait faire les saucisses.
" Ce n'est pas faute d'essayer,
Mais dès qu'on veut les essuyer,
Aussitôt elles durcissent. "
16:03 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (1)
Le village cuirassé
Comme je m'en ouvrais récemment à Simon sur le blog de Marione, les journalistes écrivent de plus en plus mal, sans connaissance réelle de la langue française ni, ce qui est plus grave, de joie du verbe. Il me semble que tout journaliste travaillant dans la presse écrite devrait avoir le plaisir des mots, des phrases bien tournées, ce qui ne nuit d'ailleurs en rien à l'objectivité ou au respect de la déontologie. Bien écrire, pour un journaliste, c'est déjà respecter, à mon sens, l'un des principes cardinaux de la déontologie journalistique. Evidemment, avec l'évolution des grands quotidiens français depuis quelques années, nous sommes loin du compte.
Je voulais seulement signaler, en page 9 de l'International Herald Tribune, aujourd'hui, un article remarquable de Frank Rich ; nous n'avons pas beaucoup de plumes de cette qualité dans nos journaux...!
12:55 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (6)
Le temps, d'après ibn Sînâ
" Le temps fait oublier les douleurs, éteint les vengeances, apaise la colère et étouffe la haine ; alors le passé est comme s’il n’eût jamais existé." (Ibn Sînâ, a.k.a. Avicenne)
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Quel est le lien entre cette note et celle qui la précède ?
11:45 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (8)
Antoine Antoniol
Ce n'est pas souvent qu'une photographie de presse me plaît. Aujourd'hui, dans le International Herald Tribune (que je reçois gratuitement à mon domicile depuis deux semaines, merci Delphine...!), il y a une très belle photographie d'un certain Antoine Antoniol. La recherche via Google n'a pas donné grand chose : il s'agit apparemment d'un jeune photographe dijonnais, qui a réalisé une série dans un hôpital bourguignon, mais également quelques sujets dans le milieu de la mode. Ce qui est certain, c'est qu'il est doué d'un vrai regard. J'espère qu'il trouvera sa place et fera son chemin.
A suivre...
10:37 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (4)
28
Il était une dame, à Luynes,
Qui n'aimait pas du tout la bruynes.
"Je promène mon enfemps
Dans sa poussette, tout le temps,
Et dès qu'il pleut, il faut qu'il chouynes."
08:39 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)
Ecrit il y a cent quatre-vingt-dix ans
« Votre éminence le métropolite de Novgorod et de
(Le tsar Alexandre Ier, Lettre au métropolite de Novgorod.)
04:00 Publié dans Célébrations improbables | Lien permanent | Commentaires (0)