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samedi, 26 novembre 2005

Guillaume Cingal with a pack of crisps

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vendredi, 25 novembre 2005

L'ombre de Guillaume Cingal, dans la droite ligne de William Faulkner

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jeudi, 24 novembre 2005

Guillaume Cingal au Chillou du Feuillet

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Ils se tournent vers le soleil
Qui porte une chemise noire
Au col un brin déboutonné.

mercredi, 23 novembre 2005

Guillaume Cingal et la flèche de Zénon

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mardi, 22 novembre 2005

Guillaume Cingal, sur le périphérique

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lundi, 21 novembre 2005

Guillaume Cingal, rire bougé

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Lino Ventura et moi

Deux mots d'explication tout de même sur cette photographie (et cette série qui vous inspire (explication de ma compagne: "c'est sûr, des types qui se prennent en photo sous toutes les coutures et qui publient ça, il n'y en a pas beaucoup; tu vas surtout attirer les psychiatres")): elle date de fin août dernier; pour les lunettes, j'ai cassé mon ancienne paire le jour de mon anniversaire, ten days ago, et j'en ai maintenant deux paires (dont celle arborée le 13 novembre à l'exposition Buren); enfin, le titre est un double jeu de mots, car un synonyme argotique du "volant" est le "cerceau", que je n'ai jamais entendu employer, à mon grand enthousiasme d'ailleurs, que dans un film français des années 1950, peut-être Un taxi pour Tobrouk (la phrase exacte, prononcée par Lino Ventura (lequel passe une bonne partie du film à faire semblant de conduire un camion), est "Tu me passes le cerceau?").

Bien sûr, le volant suggère aussi le badminton; le cerf-volant, par sa proximité avec les lucanes, appelle une référence paronomastique et voilée à la lucarne de l'appareil photo numérique; il s'agit aussi, par ce titre, de signaler combien toute cette série est bâtie sur du vent, sans lequel flying a kite semble impossible. Je pourrais donc rebaptiser cette photographie Guillaume Cingal et les châteaux en Espagne ou Guillaume Cingal à Milan; vous n'en seriez guère plus avancés, si ce n'est que vous aurez constaté ma propension à abuser des points-virgules mais aussi mon aptitude à écrire des argumentaires débiles (je m'entraîne pour le jour où j'exposerai mes photos à Beaubourg).

dimanche, 20 novembre 2005

Guillaume Cingal et le cerf-volant

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samedi, 19 novembre 2005

Guillaume Cingal, yeux plissés

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vendredi, 18 novembre 2005

Guillaume Cingal, dans le rouge fade de l'exposition Buren

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J'emprunte à ma mère son appareil photo (car j'avais oublié le mien à la maison), je tends le bras (comme j'avais toujours fait), et je me risque à de subtiles discordances, les lunettes neuves cerclant mes yeux, l'écharpe de laine en légère contre-plongée (sinon mon triple menton vous jaillissait aux tripes), le flash perceptible sur le mur d'un rouge uni, j'esquisse même un sourire (anticipais-je sur les objurgations de Jacques?) puis prends la plume (quelques jours plus tard, mais qu'importe?), car écrire (m')est (plus qu')imaginer.

jeudi, 17 novembre 2005

Guillaume Cingal, à coups de latte

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mercredi, 16 novembre 2005

Guillaume Cingal et le tuyau

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C'est monstrueusement mégalomane, mais pourquoi se gêner? Je livre à partir d'aujourd'hui une série d'autoportraits, sous une nouvelle catégorie.

mercredi, 21 septembre 2005

Sombre crétin

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Mais que n'est-il encore moins impressionnable...

mardi, 20 septembre 2005

Me voici muet

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Me voici mué en solfège
Muet en point
D'interrogation
A n'être point
Qu'un tourbillon

jeudi, 08 septembre 2005

Un autre autoportrait, du 22 décembre dernier

On se rapproche peu à peu du sujet, qui n'a pas encore épuisé ses ressources, ni dit son dernier mot.