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samedi, 06 octobre 2007

Stage hypnotist Willie Single

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Look into my eyes. Look into my eyes. The eyes. The eyes. Not around the eyes. Don’t look around my eyes. Look into my eyes.

(CLICKS FINGERS) You’re under.

You did not – repeat not – tape Red Dwarf off the television, you cheapskate.

Three, two, one – you’re back in the room.

 

dimanche, 16 septembre 2007

Rondins & fientes, petites coulées

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Vous me direz que je ne crains pas de me déconsidérer, notamment à la veille de deux importantes réunions où je dois assumer un visage austère et bienveillant, la face absolue de l'intellectuel "aux commandes".

Eh bien, vous répondrai-je, outre que ce carnétoile n'est (heureusement) guère lu par mes administrés ni par mes collègues, je vais tout de même m'empresser de publier un billet juste après cet hommage à Didier Goux, de sorte que disparaisse plus bas dans la page cette oubliable déjection.

 

Cela dit, le 21 juin 2006, date de cette belle prise, je ne vous avais encore nulle part péché, Mister D.G. !

samedi, 01 septembre 2007

Guillaume Cingal sort du placard

Autoportrait à la bouteille de Bartissol

Didier prétendait, ou pensait, il n'y a guère, que le Bartissol était un apéritif révolu. Il n'en est rien, comme le prouve l'autoportrait ci-dessus, saisi avant-hier. La bouteille, elle, a été achetée lundi dernier, ce qui était la conclusion (provisoire ?) d'une longue saga familiale que je vous épargnerai, tant le récit en serait fastidieux. Qu'il soit seulement dit que, jusqu'au 29 juillet 2007, je n'avais jamais entendu parler du Bartissol, ce Rivesaltes désormais distribué par Pernod, et encore moins de l'homme des voeux Bartissol.

Enfin, je ne me suis rendu compte qu'après coup de la symétrie entre ma mine d'ahuri tenant la boutanche et le sac en papier arborant donzelle dénaturée et vase en terre cuite. Si l'on ne me croit pas, tant pis... honni soit qui mal y pense...

(Pour attaquer septembre, t'aurais pu trouver mieux....)

vendredi, 17 août 2007

Il me faut t'aimer - une pierre

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Ces deux autoportraits ont été saisis le 1er août dernier, à Hagetmau, à 17 h 07.
Dix-sept secondes très précisément les séparent.
(I swear it's true.)
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Le livre n'est pas juste là pour décorer : contrairement au précédent opus du flamboyant Portugais (Bonsoir les choses d'ici bas, abandonné au bout de 500 pages, comme les lecteurs de mon autre carnétoile s'en souviennent peut-être), celui-ci est superbe, envoûtant, tout en finesse, et surtout, d'une beauté si juste...
Dans l'oeuvre de Lobo Antunes, Il me faut aimer une pierre se situe tout près du pinacle, et donc de ces deux indépassables (me semble-t-il) sommets que sont l' Exhortation aux crocodiles et N'entre pas si vite dans cette nuit noire. (Les titres originaux, si bien sonnants pourtant, m'échappent.)

mardi, 14 août 2007

Avocat melon

La roche Tarpéienne n'est pas éloignée du Capitole, ce qui signifie aussi que le dépôt de vêtements et de vieux livres des Compagnons d'Emmaüs est proche d'un supermarché mal ficelé où jamais d'ordinaire je ne vais, et proche aussi du cabinet de pédiatrie où l'on n'a guère envie (croisons les doigts) de remettre les pieds avant la prochaine vaccination impérative d'Oméga.

Autrement écrit : je suis de retour en Touraine.

Une série de ronds points après des bâtiments et des murs de béton gris comme ci comme ça rafistolés, et on ne voit que panneaux vantant un film de Michel Boujenah avec l'affreuse Seigner et l'inepte Kad Merad, chiens promenés au vent lourd et chaud d'août gris. De quoi confisquer, dérober la ville à l'attention de ses habitants : kleptomanies toujours.

dimanche, 12 août 2007

Vodka Lemon

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C'était il y a onze jours, et je n'ai presque pas écrit une ligne depuis. Juillet fut assez faste, mais où est août ? (Une serveuse naine, ce n'est jamais qu'une brève de comptoir.)

samedi, 30 juin 2007

Orhan et moi

e8957360dc1abeabe39a5b97ba37a374.jpg77815612cef001bb23f8ff2e33360ec5.jpgIls sont bien gentils, voire vils flatteurs, Fuligineuse et Didier... mais bon, hein... enfin, je suppose qu'il faudrait voir la fameuse photographie d'Orhan Pamuk...

jeudi, 10 mai 2007

Peau forée (Le décolleté)

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(5 mai 2007 : Langeais : le décolleté)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il suffit d'avoir le menton méchamment blessé, avec ajouts d'éosine pour harmonies chromatiques, pour que les questions fusent, de la part des collègues comme des étudiants. Tu es tombé ? Vous êtes tombé ? Ouh la, tu as eu un accident ? Les meilleures hypothèses furent "c'est votre fils qui vous a griffé ?" (cela de la part d'une étudiante) et "ah, ça y est, ça commence, les flics t'ont tabassé" (dixit le collègue professeur de droit). Morne et monotone, je ne pouvais que répondre la même inéluctable et plate vérité : "non, c'est une lame de rasoir défectueuse". (Variantes : cut myself shaving ; Gillette a l'amour vache ; je n'ai jamais su me servir d'une perceuse...)

(10 mai : Tours : la décollation)

jeudi, 19 avril 2007

Tête de veau & tripoux

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Tiens, en ce 11 février, si je n'ignorais pas l'existence du pédant Juan Asensio, je n'avais pas encore goûté au brouet saumâtre de sa bile (qu'il prend pour du vitriol) ni à sa totale absence de sens de l'humour (qu'il déguise sous des dehors de sauvageon en croyant qu'il s'agit de sarcasmes)).

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Ajout de 16 h 15 :

Constatant que Juan Asensio avait enfin accepté d'ouvrir son blog aux commentateurs, je me suis permis - très légère moquerie par rapport aux tombereaux d'insultes dont le Basque fourbe m'inonde depuis un mois - d'y ironiser sur l'usage immodéré et infondé qu'il y fait des citations. Ayant reçu pour toute réponse du pseudonyme Ben une explication de texte du modus citandi qui ferait honte à un élève de seconde, j'ai écrit le commentaire suivant, après quoi j'arrêterai de ferrailler contre ces moulins à vent d'outre-Bidassoa :

Bien entendu, citer est faire acte de culture. Croyez-vous franchement que je critiquais le fait de citer en soi ? Avez-vous pu imaginer pareille imbécillité ? Je me contentais de pointer, assez ironiquement, la façon qu'a ce cher Juan Asensio de faire ce qu'il reproche aux autres...

Citer, oui, et plutôt deux fois qu'une... "nous ne faisons que nous entregloser", n'est-ce pas. Un centon peut être extrêmement stimulant, écrit dans un esprit particulier, avec un souci d'analyse particulier.

Ce n'est malheureusement pas le cas du Stalker, du moins dans ce billet (mais aussi dans de nombreux autres). Sa seule compétence consiste à transformer les hyperliens pointant vers mon blog en hyperliens pointant vers sa petite crotte pseudo-borgésienne : en fait, il a raté sa vocation et aurait dû être ingénieur informaticien. Pour cela, peut-être, il eût été autre chose qu'un imposteur au petit pied.

Puisque, fidèle en cela à son ascension, il continue de bafouer le droit à la libre expression en modifiant les commentaires publiés, je ne répondrai plus... surtout s'il s'agit de répondre à des anonymes dont le surnom, ne dépassant pas trois lettres, est une troncation postérieure sans charme et sans inventivité.

jeudi, 05 avril 2007

Lire Renaud Camus, c'est renversant

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Techniquement, pas un autoportrait. Peut-être le trucage vaut-il "autorité" - ou l'appropriation, dans le style Nouveau Nouveau Roman, propriété intellectuelle ?

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Assommé sous le travail et les basses tâches, accaparé aussi par trois autres lectures en cours, je n'ai guère avancé dans le Journal de Travers depuis dimanche : hier soir, je devais en être aux alentours de la page 300 (soit même pas au cinquième de l'ouvrage (certes volumineux)). Or, ce que je voudrais noter ici, en toute hâte, c'est qu'une fois encore ce qui me séduit, dans la fréquentation de cette vaste oeuvre, c'est le démon de l'association, que je partage pleinement avec Renaud Camus. J'entends par là que la passion de R. Camus pour les signes et leurs métamorphoses, mais aussi pour les croisements formels les plus inattendus, rejoint la mienne ; mais, par ailleurs, immanquablement, à peine ouvert un tome de son journal, les coïncidences commencent à pleuvoir. Ainsi, ai-je passé trois heures à écumer et esquiver l'exposition Objet Beckett samedi avant de me rendre à la présentation du Journal de Travers ? Y ai-je écouté un entretien avec Raymond Federman ? Y ai-je admiré les différentes phases de la collaboration entre Beckett et Jasper Johns pour Foirades / Fizzles ? Eh bien, dans les 150 premières pages du Journal de Travers, il est question du retour de Jasper Johns à New York après sa collaboration avec Beckett, mais aussi d'un des livres que les éditions Denoël soumettent à Camus pour qu'il en fasse un compte rendu... livre dont l'auteur n'est autre que Raymond Federman. Que le patronyme de Federman signifie homme de plume, ou que le nom de Jasper Johns se prête à d'eventuels onzains acrostiches, n'est pas non plus étranger à cette vertigineuse empoignade dans le monde des signes.

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ARC-SEIN : RACINES

(Nous ne faisons que nous entregloser.)

lundi, 02 avril 2007

Lire Renaud Camus, ça donne la grosse tête

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Au moins personne ne risque de prendre le message de travers...

dimanche, 25 mars 2007

Nico Nu me dit que je suis relax

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dimanche, 11 mars 2007

Glissé loin des ombres (Ahalco, 11/11)

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C'était encore le 30 décembre, très mal garé en face de chez Larrezet, et toujours trop concentré sur le cadrage pour ne pas tirer cette abominable tronche de croque-mort. Ce qui m'intrigue, c'est la femme sans tête qui passe, dont on voit surtout le menton et la bandoulière du sac. La fontaine absente et les plots esquissés aussi dessinent un paysage. Ce ne sont plus les ombres heureuses des débuts de la série ; c'est le retour atroce à la vie dans le rétro, la contemplation atterrée de l'inévitable.

samedi, 10 mars 2007

Plus qu'une ombre penchée (Halco, 10/11)

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... & les ragondins, je ne vous dis pas.

vendredi, 09 mars 2007

Onze quasiombres, 9/11

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Une main hors champ (de verdure, comme sereine) et une autre plaquée au corps.
Rugby fields... (et ma fraise élyséenne)

jeudi, 08 mars 2007

Le Manteau du harle (Halco, 8/11)

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mercredi, 07 mars 2007

Ombres, 7/11 (Miniature béton)

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La tête encore a manqué le puisard.
The curfew tolls the knell of parting day...

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Ah, une petite précision : en ce moment, interrompu tous projets d'écriture, ici comme ailleurs. Pas que je me complaise dans l'autocontemlation, dans le jeu de miroir avec moi-même. C'est plutôt qu'il faut relancer ce carnet, d'une manière d'une autre, alors, préparant des publications ce vendredi soir, du 2 mars, je balance, vraiment, balance sans hésitation cette série, liée à bonheur et douleur. Autoportraiture, sinon, puisqu'un inculte m'a reproché ce mot : le verbe portraiturer, la traîtrise, la rature, tout cela ne vous dit rien qui vaille, hein ?

mardi, 06 mars 2007

Bouillon d'onze ombres, 6/11

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On est tous un peu transformistes. On s'affiche. On est tous un peu exhibitionnistes. Jouant avec la mémoire vive, avec nos souvenirs d'éléphants, en avant les défenses.

lundi, 05 mars 2007

Halco en ombres, 5/11

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La pierre, le pont, le parapet : royaume des ombres. Je ne parle pas de la mienne, mais de ces points quasiment imperceptibles, ces traînées de feuillages, ces mouchetures effleurées qui apportent leur sel, leur silence à ce grand polylogue. En regardant cette silhouette étriquée, comme découpée malhabilement dans du papier, une sorte de curiste en peignoir, un touriste déjà soufflé comme une bougie, je me dis toujours que je ne sais pas comment je mourrai, et ma tête réduite au crochet par où commence tout point d'interrogation semble prête à se détacher, boule fatiguée du bilboquet, ou à s'envoler, petit ballon d'hélium volatil. Pan pan ! Comme à la parade, à la foire, s'envolent ces canards, âmes mortes, ailleurs toujours ailleurs.

dimanche, 04 mars 2007

Ombres du lac d'Halco, 4/11

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On approche des 1.500 notes, c'est la folie.
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Cette ombre, la quatrième, est l'une des mieux dessinées, moins spectrale qu'australe. Merci au mur blanc, linceul, et au soleil, frisson dans la neige.

C'était, oui, c'était le 30 décembre 2006, au lac d'Halco, ce lieu qui plus jamais n'aura votre saveur.

vendredi, 02 mars 2007

9 out of 10, right ?

Ils s'y sont tous risqués, ou presque : Philippe[s], Zvezdo, et j'en passe. Personne ne m'a demandé de relever ce défi (d'ailleurs je crois que tout le monde me croit mort), mais je le fais quand même. Voici ce dont il retourne : des 10 affirmations suivantes, une seule est fausse. À vous de deviner laquelle.

1. J'ai failli naître dans l'ascenseur de la maternité, à Dax.

2. Récemment, j'ai séché, grâce au sèche-cheveux de l'Hôtel du Mail, à Angers, un chien en peluche nommé Sami.

3. Un jour de 1995, j'ai recouvert les murs d'une cuisine de papier journal et d'affichettes diverses.

4. J'ai déjà mangé des pièces en chocolat habillé en seigneur du XVIIème siècle.

5. Le seul match de foot d'un niveau correct que j'aie jamais vu des tribunes d'un stade était un pitoyable Eintracht Frankfurt / Hamburg, en 1987. Les deux buts ont été marqués à 130 mètres de mes yeux.

6. Le jour de la première d'Architruc, à Paris, j'ai reçu un télégramme de Robert Pinget me transmettant ses encouragements.

7. J'ai le même âge, au jour près, que Leonardo Di Caprio.

8. La veille de l'entrée en sixième, je me suis fait un grand trou dans les cheveux avec des ciseaux rouillés, car je trouvais que le coiffeur n'avait pas bien fait son travail.

9. Mon meilleur ami des années 1980-1987 s'appelle Pierre Lassartesse.

10. Cela fait douze jours que je pense à élaborer ce billet.

 

Comme je suis un garçon bien élevé qui aime refiler ses microbes, je refile le défi à Tinou, VS (qui ne l'a pas fait, ce me semble), Simon (gnêrk gnêrk), Didier Goux*, Christophe (ça lui apprendra à confondre égocentrique et narcissique), Mélisande, Aurélie (qui peut répondre comme elle le souhaite, par mail, ici, ou encore en ouvrant son blog), Astolphe Chieuvrou (même remarque), Fuligineuse (même remarque que pour VS) et enfin MuMM (même remarque que pour Simon).

 

* [EDIT de minuit vingt-cinq]  Alors là, personne ne va me croire, mais Didier Goux, que d'ordinaire je lisais ici, vient d'ouvrir un blog, et je m'en suis aperçu après l'avoir choisi et en pensant, à l'origine faire un lien vers le Forum de la SLRC... (Cette astérisque ne fait pas partie du jeu ; elle est vraie.)

jeudi, 01 mars 2007

Snow on Hades

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Le voici enfin, le troisième de cette série d'autoportraits... (Comme il y en a onze, j'aurais voulu écrire onzain d'autoportraits, mais cet onzain n'est pas joli et ce onzain est incorrect).

Voyez que je reviens petit à petit. (Encore une ombre, encore.)

Toutes les onze le 30 décembre... (and all that in the meantime)

 

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Aujourd'hui, tous les intertitres sont en anglais. H&F fait des siennes... mais la publication à heure non fixe est redevenue possible !

dimanche, 11 février 2007

The Shadow of a Doubt

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Oh, pourquoi de la tête
Pourquoi tutoyer la murette ?

mercredi, 07 février 2007

L'ombre d'un doute

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Qui dois-je croire ? La page d'accueil de H&F, qui m'annonce que je n'ai encore utilisé que 3 MO de mémoire pour constuire ce site, ou la rubrique Fichiers, selon laquelle déjà 17 MO sont partis non en fumée, mais au passé ?

Pas l'ombre d'une idée.

Je perds la face.

Même endroit, même saison ; autres années qui défleurissent.

 

* Le nombre 17 : hier, le nombre de tonnes de viande échappée du poids lourd renversé, au bord de la Loire. La circulation était coupée ; il m'a fallu plus de temps en voiture que si j'avais eu la bonne idée d'aller à la fac à pied (35 minutes, je le fais parfois).

jeudi, 01 février 2007

Plaque des couleurs

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Je me suis tiré le museau hier,
arborant une des 3 chemises achetées
en solde et en moins de dix minutes chrono (quel zeugme!),
mais je résiste et poursuis dans la série des ombres...

lundi, 29 janvier 2007

Glissandi métonymiques

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Il ne craint pas, de son ombre même, d'alourdir la rubrique Autoportraiture.


Un mot pour l'autre : rubrique pour catégorie. Et l'après-midi ce lapsus : "tu fais de la luge?" au lieu de "tu fais de la balançoire?". Au moment de recopier même, le doigt, guidé par quel influx nerveux de traviole, manque d'écrire lune au lieu de luge.

L'ombre est là, M le Maudit peut-être, ou est-ce Homo Deus, ce roman oublié de Félicien Champsaur ?