mardi, 21 novembre 2006
Borée souffle d'autres borborygmes
Pas moribond ! Non ! D'un bond, Melchior (en plein dans la fleur de l'âge) pointe du doigt vers les premiers borborygmes. Un bonobo lui coupe la parole (enclin au vagabondage). Non ! Pas moribond !
Un dieu presque vieux
Une peau de pomme
Etc.
Avec le mythe des rois mages, on pleure un bon coup. Les marges sont reines, c'est sûr, that's what Marge said (but The Handmaid's Tale is not selling too well, quoth her publisher). En tout cas, ça y va, ça y va dans les borborygmes !
(Je crève la dalle, oui !)
Prochain & lointain virage : le moment choisi par Borée pour se lancer à l'assaut des zéphyrs. Il neige sur les Alpes. C'est tout ce qu'ils trouvent à dire ??? (Bah, cherchez pas à comprendre...)
14:45 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf, Ecrit(o)ures, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature, écriture
dimanche, 19 novembre 2006
Effort appréciable d'être abstrus
Prise le 11 juin 2005 (soit, ne manquerait pas de préciser le duc d'Elbeuf, perché tout là-haut sur le toit, si bleu, si calme, cinq jours après la création de ce carnétoile), une image publiée le 19 novembre suivant ne peut manquer, en dépit des débats intéressants autour du projet de l'autoportraiture, de s'effacer si le souvenir revient de la journée passée à Paris, à célébrer une soutenance de thèse très spéciale !
Maintenant, nous allons, réponds-je au duc d'Elbeuf (en faisant la vaisselle), vers d'autres rochers, comme ceux de Saint-Malo, et d'autres menhirs, comme ceux de Carnac. Ah, si j'avais un éléphant (pas un jouet : un vrai, un grand). Toujours la manie des espaces, pas des grands mais des grandes espaces, alors que, dans les textes d'e.e.cummings jamais au grand jamais il n'y a d'espaces après les signes de ponctuation, fis-je, ce matin, remarquer au duc d'Elbeuf, tandis que j'éclatais de rire en lisant la préface de is 5.
Toujours jamais toujours.
L'inverse dans Ils : jamais toujours jamais.
17:22 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Littérature, Poésie, Photographie, Photo
samedi, 18 novembre 2006
Fard rouge
Toujours selon le duc d'Elbeuf, il arrive que les promeneurs soient la proie de souvenirs soudains, et ainsi, l'exposition > ou < présentée par Daniel Buren au château de Tours l'an dernier ne laisse pas de souvenirs, seulement des paroles et des traces écrites. Il appert toutefois que ce jour, d'année en année, restera le jour rouge, la journée des bougies, dans le chaud et froid des fumisteries.
13:05 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
vendredi, 17 novembre 2006
Des crocodiles sur ton T-shirt
Tout occupé à ravauder les voiles de mon navire, à repriser les toiles de ce carnet, je retrouve un autoportrait ancien (où, toute préoccupée de mon infâme T-shirt Rip Curl, Irène en oublia de faire une remarque sarcastique sur mes narines proéminentes, voire pithécanthropiques) mais aussi une recension dramatique (et suivie de débats houleux).
07:47 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 13 novembre 2006
Retour de bal
Hier, sur la route de La Ville-aux-Dames, le compteur kilométrique de la Mégane affichait 90109, palindrome parfait. Mais il n'est pas question de cela. Plutôt (encore) des cormorans, dont nous avions déjà admiré le bal il y a un an et que j'ai pu photographier mercredi dernier, mais mal (en raison d'un appareil numérique compact au zoom faible).
Dans les peupliers, j'ai dénombré une bonne centaine de cormorans, oiseaux fabuleux. Sur l'îlet sablonneux, il y avait un intrus (goéland), que, de toute évidence, ses ailes de géant empêchent de se tenir debout.
Pas l'ombre d'un albatros.
15:15 Publié dans BoozArtz, Comme dirait le duc d'Elbeuf, Moments de Tours, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne, Photographie
samedi, 11 novembre 2006
"Colored plates"
Des bouts de plastique, du fil, des fragments de tissu, des bouchons, et tout cela, jaune, formait la page jaune du Livre des couleurs que la classe d'A. avait composé, l'an dernier, vers la Toussaint, et qui avait ensuite circulé dans les diverses familles. (Ce projet, qui reposait sur le patchwork et la récupération de matériaux hétéroclites, correspond d'ailleurs, à sa façon, à la nouvelle rubrique, Comme dirait le duc d'Elbeuf.)
Où est-il aujourd'hui, ce Livre des couleurs ? Chez la maîtresse ? Dans la salle de classe de la moyenne section ? Au fin fond d'une poubelle ? Au moins, il en reste une trace, photographique, dans ce carnet.
05:55 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 10 novembre 2006
Ranch à poulettes
On trouve de tout, sur ce ... de carnétoile, même des discussions sur les skate-boards...
08:45 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 09 novembre 2006
Les charnegos de Juan
Il y a un an, j'avais fini de lire L'Amant bilingue de Juan Marsé. Je ne pourrais même plus dire si je possède l'exemplaire du roman, ou s'il fut emprunté, quoique je penche plutôt pour la seconde hypothèse.
Il existe des substituts de repas, bouillies pharmaceutiques infectes. Ce carnet de toile serait-il un substitut de mémoire ? Ze le demanderai au çarnego.
17:30 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature
mercredi, 08 novembre 2006
Belle tumade coursayre
Tout récemment, il a encore été, abondamment question, de course landaise, d'autant que le film de Sylvie Licard, Coursayres, est aussi un document ethnographique de prime importance, et qui mériterait d'être retranscrit in extenso.
17:55 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 07 novembre 2006
Vous n'y êtes pas
Bordeaux : vous n'y êtes pas.
Je veux dire par là que je ne vis plus à Bordeaux (et même, à être tout à fait exact, que je n'y ai jamais vécu) mais que, si je publiai le 7 novembre dernier une photographie des entrepôts Lainé, où nous nous étions rendus, C. et moi, le 8 août précédent, je n'y étais pas non plus. À peine venais-je de rentrer de Montpellier, mais en passant par Lyon et Paris, donc pas du tout par l'ouest aquitanien.
Il ne faut pas rougir, allons, le ridicule ne tue pas : tu as écrit (dirait-elle), vers 1992, une chanson qui s'intitulait Les rues de Bordeaux. (Pour tout compliquer, elle fut écrite à Talence, et même peut-être à Cagnotte.)
Où écrirai-je, alors, que j'ai entendu, ce samedi 4 novembre, une excellente communication de Ladan Niayesh, lors du colloque Coriolan organisé, à Tours, par la Société Française Shakespeare et le Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance ? Ici, donc.
Oui, ici. Vous n'y êtes pas : Bordeaux.
21:45 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
lundi, 06 novembre 2006
Toujours de pris
Cette note-là ne ressemble à rien, franchement. Si je me suis excité depuis, passablement d'ailleurs, sur ce toponyme d'Onzain, mais ailleurs, est-ce ma faute (entièrement) ? Toujours est-il qu'entre le mercredi 2 et le samedi 5 novembre, j'étais à Montpellier, ce qui expliquait mon silence de ces quelques jours-là, et ces bribes recopiées de façon bâclée, à la va-vite, et, du coup, en Times 12.
16:35 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 04 novembre 2006
Six réapparitions
Le collège n'a pas été détruit. Ronsard toujours en plexiglas se profile.
Depuis le 4 novembre dernier, j'ai appris à justifier les billets de ce carnétoile, mais l'ai aussi déserté au profit de l'autre (oui, je sais, chère Fire, je dois t'en donner l'adresse).
19:35 Publié dans Comme dirait le duc d'Elbeuf | Lien permanent | Commentaires (0)