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jeudi, 11 octobre 2007

Gourmand (o) Gaden

..... Où il fut encore question de Henri Gaden, mais aussi du marché gourmand de Chaveignes .....

mercredi, 10 octobre 2007

Etopmoc etocmop

... Où il fut question de Blanche Lazzell,

  

du Cameroun ,    de Julien Jacob      et

  

de shuttlecocks .....

mardi, 09 octobre 2007

Afrique des abri-bus

........ Où il fut question de Henri Gaden,

 

de Yootha Joyce et de François Bon ......

lundi, 08 octobre 2007

Mise en tropes

..... Où il fut question de théâtre .....

vendredi, 31 août 2007

Abandon d'Argentins sur le bord de la route

Je me dois d'abandonner ma longue série d'Argentins et de commencer, ce jour, la lecture du tome 2 de Fièvre et lance. Le temps l'exige.

(Le 30 août 2006, il faisait beau.)

 

Comment ça, deux ducs d'Elbeuf pour le prix d'un ? On brade les aristocrates ???

jeudi, 30 août 2007

White noise

........................... protocole de Kyoto distorsion du temps protocole de Kyoto distorsion du temps protocole du Kyoto distorsion de temps protocole de temps distorsion du Kyoto protocole du temps distorsion de Kyoto protorcole dy Keoto distosion de tumps protorsion de Kyoto distocole du temps torsion de temps protodistocole du Kyoto ...........................

mercredi, 29 août 2007

Labrit sur le cou

Déjà là, Le Livre des mines n'intéressait personne : c'était pourtant, avec reflets, un visage tout d'hébétude. Entre-temps a eu lieu ce dialogue, à Marquèze, entre un berger et moi :

- Oh, c'est un labrit, non ?

- Oui, tout à fait, monsieur.

 

(Toutefois, la bergerie se trouve à Sabres.)

 

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Le problème, avec le duc d'Elbeuf, quoi qu'il soit bien gentil, c'est qu'à force d'imposer son squelette décharné, d'occuper le terrain de sa silhouette spectaculairement spectrale, il risque d'appuvrir les terres déjà semi-arides de ce carnétoile : que se passera-t-il quand, tout aussi peu inspiré, fin août 2008, je me tournerai vers lui, pour ne trouver que son drap mangé aux mites et couvert de toiles d'araignée ?

mardi, 28 août 2007

Un bon p'tit job II

Qu'écrirons-nous, amis, dans l'album de la comtesse ?

 

{ début de roman }

La comtesse sortit à cinq heures. Elle voulut répondre aux questions de quelques journalistes, mais...

{ André Breton enrage. }

... mais, voyant un maître-chien s'avancer vers elle sns retenir ni son golden retriever (qui se distingue du labrador par de longs poils soyeux qui font le bonheur des moquettes et des canapés) ni son doberman, elle...

{ Allez, poursuivez ! }

............................ un bon p'tit job à la cour !"  Ayant ainsi parlé, la comtesse remonta l'escalier, gloussa une dernière fois et rentra chez elle pour regarder Le Bigdil (si tant est qu'une émission portant ce titre existe encore).

 

{ fin }

lundi, 27 août 2007

D'un 27 l'autre

Cette année, le château du Grand-Pressigny, qui abrite le Musée Départemental de Préhistoire, est en travaux, et ce jusqu'à début 2009.

Il n'y aura donc, c'est l'évidence, pas eu d'exposition estivale.

On peut se consoler en se remémorant les statues-menhirs exhibées, fièrement dressées, lors de l'été 2006.

 

(De proche en proche, on se déplace. Le puits d'Elbeuf a cinq piliers.)

dimanche, 26 août 2007

Pour un Malherbe

Les fruits ne passent pas la promesse des fleurs, et le café ne fait pas disparaître les maux de tête. Pourquoi suis-je aussi peu aimable avec les Québécois, et, plus généralement, avec les gens qui commencent leurs messages par heuuu ? La réponse est dans la question, je suis la mauvaise herbe braves gens braves gens.

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Entre-temps / passé par pertes et profits place Paul-Bert mon excellentissime boucher habituel en congés annuels ---> d'où avenue Maginot : la boucherie en face du fleuriste Ô Naturel [y allons très occasionnellement] a été reprise par un p'tit jeune à qui j'ai acheté, entre autres, du pressé de lapereaux aux aromates [confit dans du Vouvray] dont je vous dirai des nouvelles / croyez-moi, il se nomme Tony Malherbe ::: Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, une vraie boucherie de ponctuation...

samedi, 25 août 2007

Grenouillement féroce à l'escalade (en argot)

Tant tardé à trop s'encroûter : qui veut voyager loin ménage ses lunettes. (C'est le dicton préféré des voyeurs. (Sainte Thérèse est leur patronne.))

Bref, je m'égare (dans les faubourgs de Carthage) et oublie le prétexte à ce billet : un retour : retour sur un autoportrait miroité (et oncques le pain s'enroulant en coquille et gélatine de tête d'escargot aussi fut oublié) : l'eau des fontaines Wallace / pleure après le marchand d'oublies.

Gaufres : that's pastry for frogs, right ?

jeudi, 21 juin 2007

Quartiers de loin

Dans mon souvenir, il n'y a pas dû y avoir de billet intitulé Rue Colbert, 2.

Je me rappelle les premiers temps à écrire dans ces carnets : une impression de grande nouveauté, une forme de frisson technique également, un réel désir de mieux cartographier certains recoins significatifs de la région (et dont on sait ce qu'il en est advenu, comme de tant de désirs pour qui a l'âme velléitaire).

Il est vrai que je n'ai qu'effleuré, dans ces lignes d'alors, la rue Colbert. Il est vrai, aussi, que le fort volume d'Onuma Nemon que je citais en ouverture avait en partie stimulé mon retour à l'écriture. Dernièrement, en lisant L'Amour l'Automne, j'ai retrouvé la trace de Quartiers de On !

mercredi, 20 juin 2007

Cherche la petite bête

Qu'est-ce qui a changé en deux ans ? Pas le refus de la clinomanie, sans doute, ni le caractère navrant des copies de la session de rattrapage (encore que, de ce côté-là, les enveloppes ne doivent commencer à affluer qu'à partir d'aujourd'hui). Les employés de Gaz de France ne manifestent pas, que je sache. Quand j'amène Alpha à l'école, ce n'est plus avec la musique du générique des Petites bêtes dans la tête, car il y a bien longtemps qu'il ne regarde plus ce dessin animé.

Je crois ne pas avoir écouté le disque de Miriam Makeba depuis le 20 juin 2005, mais je peux me tromper.

Il y a, depuis belle lurette, diverses rubriques qui structurent ce carnétoile.

dimanche, 29 avril 2007

« Le vrai personnage, c’est l’île »

 medium_II_Verteuil_4.JPG« J’ai entrepris des recherches et mon éditrice m’a incité à mettre davantage l’accent sur le vrai personnage de Robinson/Selkirk. Mais pour moi, le vrai personnage, c’est l’île ! Elle a été un sanctuaire de la flibuste puis, après l’indépendance du Chili, la Bastille du Pacifique. »

 

(Ricardo Uztarroz, au sujet de son roman La véritable histoire de Robinson Crusoë,

in Atlantica, n° 143, octobre 2006, p.24)

............................................

Ce pont rend un son roman. Le panneau d'interdiction se retrouve dans son roman.

lundi, 22 janvier 2007

Menus fretins à La Ritournelle

Aujourd'hui se changer les idées, changer d'air un peu aussi peut-être, mais à La Ritournelle au moins rires fusains n'ont rien de toc. (De la noblesse au pastel.)

Recherchant, dans ce carnétoile, les occurrences du mot ritournelle (restaurant de Tours ou chansonnette), je retombe sur une vieille page pleine de coquilles (à corriger d'urgence, donc) et sur la série d'images en poupées russes : 1, 2, 3 et 4.

Poupées russes aussi, dans les dédales repeints de la fac, nous serpentons, Irène, Arbor, C. et moi.

samedi, 20 janvier 2007

Personne n'erre

Repartons quelques jours en arrière, et même un mois, pour revoir la Loire automnale.

[pas là]

jeudi, 11 janvier 2007

Esprit rouge du clocher

medium_Brehemont_10_decembre_2006_013.jpg

 

L'église de Bréhémont, ce mois de décembre, s'était discrètement vêtue de rouge, pour signaler la présence, bruyante et non loin, du cirque de Noël.

Bien sûr, il ne manque jamais, dans nos campagnes et bourgades, un pylône avec ses fils en suspens. il était deux heures cinq. Bientôt, je vous parlerai du wiki que je suis en train de créer. C'est foutraque, ce billet. Mon fils jouant avec ses Lego me fait penser à ces plans délirants du Caïman, des parquets entièrement recouverts de Lego et la pièce "plate jaune" qui manque obstinamment à l'appel.

Ouais, j' parlais d' société de consommation hier. Belle gueule, ouais...

 

(Tant que j'y suis, reparlons du 11 janvier 2006, voulez-vous...)

mardi, 12 décembre 2006

Neuf neuf neuf ... huiiiiiiiiit !

C'était ici : limericks holorimes, autoportraits dialogués, Antoine Antoniol. (Et moi, c'est pas pour dire, mais je suis la maison Borniol.)

samedi, 09 décembre 2006

Photif phormat

Irène, que je vois trop peu ce trimestre, a indiqué à une collègue et amie commune que je "déformais toujours les propos des autres de toute façon". N'est-ce pas le propre du bouche-à-oreille qui se perpétue aussi dans les carnétoiles (la tête dans les nuages ? dans la lune ?) ? Bref, je vais essayer de rapporter ici un fragment de la conversation que j'eus (mardi dernier) avec Aurélie, qui pensait que les portraits de moi qui se trouvaient sur ce site avaient été pris par mes proches (et, en particulier, par ma compagne), et que je devais être drôlement casse-bonbons (my words, not hers) de solliciter ainsi, constamment, des photographes pour me tirer les lumières du nez (ditto).

Ainsi, rassurons tous ceux qui auraient encore des doutes : la série des autoportraitures a pour principe intangible et infrangible la capture du sujet par l'appareil photographique tenu à bout de bras (gauche, en général). Quelques bidouillages sont parfois possibles, comme dans l'image publiée ici même il y a un an, qui n'avait attiré aucun commentaire (alors, il serait temps : lâchez vos comm's ! (au niveau du mental)). Dans ce cas précis, il s'agissait d'effacer la partie droite de la photographie, qui représentait mon fils, et ce non pour de basses raisons narcissiques, mais parce que je me suis vu interdire formellement, par sa mère, de publier des images d'icelui on-line (point de vue que je partage).

Sinon, toujours le 9 décembre 2005, C. et moi avions passé une heure agréable aux Bons Enfants, pour l'exposition des Petits Formats ; ironie des dates, nous devons aller cet après-midi à Truyes (uuuiiiiiiiiit!) pour le Salon du Petit Format (qui s'achève demain).

vendredi, 08 décembre 2006

Trois limericks, Mandelstam, les cormorans sous le dolmen...

On ne sait laquelle choisir. (Il faut bien avouer...

 

... que le jeu n'en vaut pas la chandelle ; quelle fière chandelle je vous dois ; un chandail me pend aux épaules ; l'automne refroidit finalement ceux qu'il ne revigore point ; d'embonpoint (moral) que je n'ai pas, je suis gêné aux entournures ; le faux me fait défaut ; laissez venir l'homme à la faux ; hors du charnier natal, je vais en Afrique du Sud ; quoi, Zoulou ? ; oui, pourquoi pas, après tout ; vous rigolez, points-virgules...)

mercredi, 06 décembre 2006

Déjà un an et demi

Eh oui.

mardi, 05 décembre 2006

Wallace, Gromit, Wererabbit [...again...]

Maxime d'auteur : Si tu manques de temps, refourgue un vieux machin.

 

En écoute : "Vis et boulons" (Paradigm. Paradigm, 2005).

mercredi, 29 novembre 2006

Dr Nazelles & Mr Négron

Il faut, n'est-ce pas, que par la main je vous emmène sur d'autres terres, un peu gelées c'est vrai, pas retournées ni bêchées depuis longtemps, comme ce duo de limericks à lire de concert, le quinzième et le seizième, publiés il y a un an (mais peut-être pas écrits le jour même --- vous ne voulez tout de même pas que je m'y retrouve ?).

Ces temps-ci, aussi, les limericks reprennent du grade, au grand dam de Madame. Il s'agit d'une forme commode, à qui sait devoir s'éloigner des terres, même chaudement glaiseuses, de son carnétoile. (Vous verrez bien.)

lundi, 27 novembre 2006

Sizain (6 yeux)

Puisque tu revenais d'Angers,

Loire à sec, bravant les dangers,

Et donnant de la gaudriole

Universitaire un écho

Qui personne ici n'affriole,

Te revoici en Art déco.

mercredi, 22 novembre 2006

Périphérique bis

 Que sont les naseaux devenus ?

mardi, 21 novembre 2006

Bobologie, match retour

Depuis un an, j'ai traqué la bobologie et la bonobologie, avec ma trousse à pharmacie et la bosse des mathieus.

(Sinon, je ne sais toujours pas pourquoi Philippe Delerm est censé être pire écrivain qu'Andrée Chedid, qui ne vaut pas grand chose, ni pourquoi Papotine (qui a passé des mois à me casser les pieds de son ton cul-pincé, non sans commettre, d'ailleurs, de nombreuses fautes de français) a fini par me lâcher la grappe. Mystère des trolls.)

En un an, aussi, Dominique a pondu sa note, de biais, sur la bobologie. À la requête "bobologie", la gueuse Google refuse de proposer aux internautes d'aller voir du côté de Touraine sereine si j'y suis.

(Au fait, et la placebobologie ?)