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lundi, 08 octobre 2007

Mise en tropes

..... Où il fut question de théâtre .....

dimanche, 07 octobre 2007

Hold-up

D'un certain point de vue (et il suffit, pour cela, de lire la presse néo-zélandaise, ici ou ), on peut considérer la victoire française comme un "hold-up" (métaphore qui m'a toujours amusé, non sans toutefois m'agacer).

Dirai-je que, d'emblée, je fus surpris de voir que l'arbitre choisi était anglais...? Les trois énormes erreurs d'arbitrage en faveur des Bleus ne pourraient-elles être imputées à un désir de voir des Anglais, déjà pas mécontents de s'être défaits des Wallabies, rencontrer de moins terribles adversaires que les Blacks ? (Bon, je sais, on ne peut à peu près rien comprendre à cette dernière phrase. En d'autres termes : on ne confie pas l'arbitrage d'un match à  quelqu'un dont le pays doit rencontrer le vainqueur au tour suivant.)

Cela, tous les "commentateurs" le diront. Ce qu'on n'entendra guère, en revanche, mais que j'avais déjà remarqué lors du match France-Argentine, c'est qu'il suffit qu'Ibañez et Pelous sortent pour que le niveau de jeu des Français augmente considérablement.

Enfin, on est en demi (I guess) on est en demi...

(On est endémiques ?)

10:19 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Rugby

samedi, 06 octobre 2007

Stage hypnotist Willie Single

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Look into my eyes. Look into my eyes. The eyes. The eyes. Not around the eyes. Don’t look around my eyes. Look into my eyes.

(CLICKS FINGERS) You’re under.

You did not – repeat not – tape Red Dwarf off the television, you cheapskate.

Three, two, one – you’re back in the room.

 

Back in 1717

I'm heading to town to buy the boys a round of root beer to celebrate the moliminous occasion. the more moliminous portion of my love goes to Takei for his spectacular coming-out as a 68 year old homosexual a couple years back. The Earl dug coal-mines, and constructed "a moliminous rampier for a harbour." A moliminous measure of diuturnity shall be spent ! There are moliminous ramifications in the political system. The Facinorous, Moliminous, Nefandous, Numanorous Adler Roty was a "sorcerer of Tund" who performed at the CoCo District Theater. Peter, I feel your pain in your moliminous weaving of words.

... large, sprawling cursory sentences of lumination on these black moliminous rectangles towering above all the tiny traffic, tiny cars and tinier lives ...

The unanimous and moliminous Supreme Court decision in 1954 has been and remains significant in the nation’s life. Between Oliver and Penn turn in such moliminous performances, this film is worth seeing. Nothing remains of the vanished race of Massassi that once lived on Yavin 4, save for their moliminous edifices. Grasping the moliminous nature of God is impossible this side of eternity.

Chainsaw at Sousa's Funeral

" I am wearing an apron and I'm on teenage cost containment program ! " *

 

C'est du jazz, ressers-moi ce jazz. (198 messages indésirables en 35 heures, ça fait beaucoup.) Entre '91 et '93, tandis que je pinçais les lèvres et allais me faire vérifier le sang tous les quinze jours, les trois acolytes Horn, Kendig et Dickey bricolaient de tous instruments ici et là, en marge bien sûr, où naissent les nuages farouches. L'album Screwdriver !, ressorti en 1999 sur le label Leo Records Lab, est fort de cet acide pas poseur, claviers désaxés, clarinette stridente et force beaux bidouillages. Certains moments à l'orgue vont jusqu'à rappeler, dans leur recherche même, mélopées tziganes et mélodies lancinantes soufies.

Resserré dans le manteau qui m'envole, j'écoute cheveux fermés.

 

 

* Je porte un tablier et on m'a placé sous tutelle financière.

vendredi, 05 octobre 2007

Cogitation

Plaque claque d'accords (sautent tressautent (il fut ballé sauté dansé)), sur ce clavier de ciel...  ::   :

Cogitation, composition d'Yvan Avice, jouée à quatre saxophones térébrants ce soir de mi-janvier il y a treize bientôt quatorze ans. (Te souviens-tu de nos rires d'alors, sur le beau chemin ou comme je lisais Simmel ou ces poèmes follement appliqués de Biscaye (Klee pour la poésie) en t'attendant dans le froid ?). Non, peu importe, je cogite.

... en cet après-midi d'automne brûlant estival...

Si je féminisais votre swing, ça deviendrait plat sans ambiguïté. (Passez-moi les plats, faites-moi du gringue... pas repassées mes fringues ?!??). La barre d'espace malade grave des clusters inattendus.

"Je te regarde, monsieur Macbeth, et tu voudrais m'entendre juger ton passé et ton avenir sur ta mine ? " (Pierre Senges) Un poème de Dana Gioia. Deux tercets de Dana Gioia. Un vers bascule de Dana Gioia. Où est le présent, perdu dans le temps ? Là, à la virgule même de Dana Gioia. 

(On ne va pas tarder à distribuer les jouets. Penser toujours à la pyramide de chaussures, plaque claque d'accords ce spectacle massif dépareillé en cet après-midi d'automne brûlant estival.)

" thinkative "

The knowledge of Observation, doth not introduce an understanding into the essential thingliness of a thing, but erecteth only a thinkative knowledge. *

(John CHANDLER. Van Helmont's Oriatrick. 1662.)

 

* Le savoir que l'on tire de l'Observation ne permet pas de connaître l'objectalité d'un objet (la Réité d'une chose ?) ; il se contente d'instaurer un savoir cogitatif.

 

(Thinkative : hapax &, en fin de compte, barbarisme. Le traduire par n'importe quel terme relativement répandu en français ancien ou contemporain serait une erreur. Alors, comment ?)

 

 

------------------- Edit de 18 h 10 : read this. ----------------------

Sisyphe

                                 'Tis dry - 'twill burn -

Ha, ha! how my old Husband crackles there!.

 I know him; he'll but whiz, and strait go out.

(Dryden's Aureng-zebe, 1676.)

 

Tu n'as pas eu d'autre souffle, d'autre recours, d'autre rempart --- sinon cette destination, de la flèche perçant le talon la volute sanglante, la volte tournoyante, la flamme électrique & pourtant millénaire. Tu n'as pas eu d'autre rebut, d'autre rire à dents de chacal, à cette minute même, d'autre but que de faire le mal, de ravir le miroir et grimper au sommet du grand if, ses fruits tentateurs tels des sortilèges. Tu n'as pas sifflé soudain en t'envolant à cent à l'heure, pas cinglé de ta brise les joues fragiles de la Mère. On t'en pardonnera d'autres. Graves sont les sons de nos cloches, lourd le vol des bourdons, sourds à gravir toujours la tige la moins ferme.

Clic !

"Et fascinant, en même temps, qu’on puisse supprimer tout ou partie de nos sites d’un seul petit clic… Tentation toujours présente, et repos tout le monde."

© François Bon ,  4 octobre 2007

mercredi, 03 octobre 2007

Zabrachezumeuneur

Pour comprendre, remonter le fil.

Relais passé à qui le veut, de mes lecteurs. (Il faut ajouter une lettre au mot trouvé ici en titre.)

-------- Edit de 15 h 45 : après hésitation entre R et M, Tinou a déjà proposé une suite : Zambrachezumeuneur.  --------

 

 

(Remarquez, ça rappelle ça, aussi.)

 

mardi, 02 octobre 2007

Ça ne s’invente pas

Une pluie fine accompagne nos rires. L’exemplaire des Limites de l’interprétation que j’ai emprunté ce matin contenait une fiche datée du 27 octobre 2005 et au nom de Iosif Felvinti. We’re all keeping our fingers crossed and sure you’ll do very fine, Irene ! *

 

* Sounds like some f---ed-up early Pink Floyd tune, this.

Fiat lux

À onze heures, après un cours de deux heures dans la salle 3 de l'Extension, je suis redescendu vers mon bureau, au rez-de-chaussée du bâtiment principal, en éteignant, au hasard des couloirs, pas moins de neuf séries de néons dans des salles de classe inoccupées. Est-ce trop demander à mes très estimés collègues de faire preuve d'un minimum de conscience citoyenne, écologique et kyotocolienne en éteignant les lumières quand ils quittent une salle de cours ?

On peut aussi préciser que, dans certaines salles, on n'a même pas besoin de lumière électrique pour faire cours ! Ce n'est malheureusement pas le cas dans certaines salles du nouveau bâtiment, dont les stores laissent entrer la lumière du jour sans pour autant que cela suffise à éclairer les feuilles de papier et les documents, même en plein jour... Serait-ce trop demander aux architectes des années 2000 de faire preuve d'un minimum de conscience citoyenne, écologique et kyotocolienne en prévoyant d'intégrer l'éclairage naturel dans le dispositif d'un bâtiment ?

11:55 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Ligérienne, Université

La Possonnière, face endormie

Volutes & visage II

 

Vous qui enlacez en volutes

Au fil du temps vos souvenirs,

Sans craindre les anacoluthes

Promptes, du tuffeau aux menhirs

L'oeil ne pourra vous soutenir.

 

lundi, 01 octobre 2007

1707 - Pont Wilson

Au temps d'aimer rien

ne meut les oriflammes

 

À peine si le vent soulève

(un peu) le coin

du voile

 

À peine si le vent

agite doucement

 

les hideux pavois de

Michel Gressier.