Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 09 octobre 2006

Idée saugrenue

La porte du bureau 41 grince atrocement. Le bureau est-il hanté, tels les châteaux écossais des légendes, par un spectre secouant ses chaînes ?

13:25 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne

Scène

Un abri-bus. Un homme dégarni, lunettes fines, vêtu d'un costume sombre et d'une chemise rouge assortie à la cravate grise, tient à ses pieds une élégante serviette en cuir noir. Près de lui, une jeune femme s'énerve docilement sur son téléphone portable. L'homme sort de sa serviette un livre usé et défraîchi : Sortie d'usine de François Bon. La jeune femme le regarde de guingois. Il fait semblant de lire.

Boulons oranges

medium_Jardins_de_Chaumont_Oct._7_070.jpg
Neuf boulons oranges, et ma bouille qui prend la frange.
***  **  *
Ce n'est pas très original, ni à la une du journal.

dimanche, 08 octobre 2006

60

Un débauché de Limeray

Avait pour surnom Lime-Raie.

Tant était soudaine

L'enflure de sa veine :

"Ce derrière je limerai."

 

 

*******************

 

D'aucuns me feront remarquer la tournure de plus en plus salace de ces limericks.

Cela dit, l'obscénité est une des lois du genre...

Démocratie selon le MJS

Ayant laissé, ce matin, un commentaire critique mais très correct sur le blog de [jeune militant socialiste qui ne veut plus qu'on écrive son nom -- nom supprimé ce 2 mars 2011], j'ai eu la surprise de voir ce soir qu'il avait été supprimé. J'y disais en substance que, si tout le programme du P.S. consistait à invectiver Sarkozy, on n'irait pas bien loin, et qu'un montage vidéo ne constituait pas un programme de gouvernement. J'ajoutais que, dans mon souvenir, un certain Daniel Vaillant avait tenu un discours répressif pas si éloigné de celui du petit Nicolas. Voilà tout mon crime.

À ce que je comprends, il suffit, à l'aune du M.J.S., de dire du mal de l'U.M.P. pour avoir des idées politiques, et il suffit de soulever des points de débat pour être illico hérétique...

 

P.S. (ah! ah!) : J'ai écrit un nouveau commentaire ce soir. Voyons s'il s'évanouit...

Guillaume Cingal, nullement histrion

medium_Acteur_de_Chaumont.JPG
Bon, d'accord, techniquement, ce n'est pas un autoportrait. Toutefois, cette image, dans sa conception, relève du grand projet (attiédi, ralenti) de l'Autoportraiture.
.........................
Hier soir, au théâtre, j'ai rencontré une collègue et amie qui m'a dit qu'elle avait fini par devenir "accro à Touraine sereine". Du théâtre, en effet, c'est cela aussi, ce carnet. Et plusieurs blogs, plusieurs rôles.
..................................................... 
Chanter une petite casquette pour pas choper la grosse tête, par exemple, ah non, il ne faisait pas si chaud dans les jardins, loin des engins...

Le Misanthrope (Nouvel Olympia), Benoît Lambert

On relance le chauffage ce matin, à peine, mais pour couper le refroidissement nocturne. Peu après, le soleil tape fort à travers les vitres, et il ferait presque trop chaud.

Hier soir, nous avons vu Le Misanthrope, au Nouvel Olympia, dans la mise en scène de Benoît Lambert. Une ancienne étudiante, désormais au Conservatoire (où elle se plaît beaucoup plus, me dit-elle, qu'à l'université, ce qui se comprend très bien) et ouvreuse en ces soirées, m'a assuré que c'était un très bon spectacle. Elle n'est pas difficile, ou nous n'avons pas les mêmes critères (sans doute).

En effet, il s'agit d'une mise en scène parfois judicieuse, souvent intéressante, mais médiocre dans l'ensemble, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, l'interprétation est très inégale, et il faut notamment déplorer que la plus mauvaise des trois actrices soit justement Célimène (Lara Suyeux), qui, de surcroît, est terriblement mise en avant par les choix du metteur en scène. Elle fait partie de ces actrices qui donnent le sentiment de débiter leur texte (surtout si ce sont des vers) sans rien y comprendre. Des formes généreuses et une belle chevelure brune ne suffisent pas à faire d'elle une actrice convenable, et tout était balancé d'une voix éraillée, d'un ton uniforme, sans que l'on ait jamais le sentiment que les mots correspondaient à un quelconque état intérieur du personnage, ni même, parfois, qu'ils aient un sens. Soit. Philinte (Emmanuel Fumeron) n'avait pas l'air très à l'aise, mais peut-être n'avait-il pas été dirigé... On laissera, à l'acteur, le bénéfice du doute.

Par ailleurs, si les choix de mise en scène étaient souvent astucieux, ils ne semblaient pas tellement relayés par les acteurs. Manque de direction, une fois encore ? Peut-être. Il n'est pas très novateur de faire de Célimène une sorte de semi-mondaine entourée de semi-maffiosos, mais l'idée d'utiliser alternativement, dans deux ou trois scènes très précises (dont la scène du sonnet), la voix nue et un micro, était tout à fait bien venue et donnait du relief aux relations entre personnages. Benoît Lambert ne nous épargne pas ce qui est, à mon avis, la malédiction du théâtre contemporain : les rideaux coulissants. Ici, ils sont là pour la parade, ou pour amuser le spectateur qui ne goûte pas les vers de Molière. De fonction dramaturgique, apparemment, pas l'ombre. On se serait bien passé aussi des riffs de guitare en musique de fond qui agrémentaient certaines scènes.

Ces quelques exemples montrent que ce spectacle était, sinon farci, du moins largement composé de petits gimmicks scénographiques qui sont la marque d'un metteur en scène dont l'un des desseins est d'impressionner ou de scandaliser le public peu habitué à aller au théâtre : lycéens, notamment, et toute la cohorte de ces messieurs dames qui voient un ou deux spectacles l'an et s'offusquent de ce qui a été calculé pour les choquer. Dans ces gimmicks, certains éclairent le texte de Molière, ce qui n'est déjà pas si mal, et d'autres n'apportent rien.

Que reste-t-il ? Eh bien, à l'exception de Philinte et de l'épouvantable Célimène, le texte est porté par de bons acteurs, qui font entendre de vrais alexandrins, et les disent dans le respect des règles prosodiques et des diérèses, sans oublier non plus les enjambements. Je retiens aussi un retour à des mises en scène qui mettent en avant les éléments comiques de la pièce, après des charretées de mises en scène à la limite du tragique existentiel (dans les années 1990 notamment). À cet égard, Oronte servait de contrepoint constant et parfait, avec un Guillaume Hincky cabotin juste à point. L'idée du remploi d'une même séquence de quatre vers dans plusieurs scènes, et entre des personnages différents, se prêtait tout à fait à l'oscillation entre comédie et nuances plus noires.

16:55 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne

vendredi, 06 octobre 2006

Scène

Devant l'amphi Thélème, appuyés contre une table toute simple, deux étudiants et une étudiante. Le garçon qui est à gauche mange un sandwich Panini. Le garçon du milieu (cheveux bouclés noirs) mord à belles dents dans un sandwich au salami. La jeune fille déguste, à l'aide d'une petite cuillère en plastique blanc, une salade de betteraves à même une boîte en plastique transparent.

Reste à inventer le dialogue. (Penser à demander à François Bon...)

(Et le spectateur ? Ce spectateur en mouvement qui revient de déjeuner au Cap Ouest, bavette salade haricots verts mange-tout ? Devient-il acteur de la scène ? A-t-il un texte ? Ne fait-il que passer ? Hmmm...)

12:20 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne

Verdures d'aurore

Il fait froid ce matin dans le bureau. Cette période de l'année où on ne lance pas encore le chauffage parce qu'il ferait tout de suite trop chaud mais où l'impression ressentie, à certains moments de la journée, rappelle ces moments de l'hiver ou de l'automne avancé où l'on ouvre la porte de métal vert pour tourner, vers la droite, le curseur de la chaudière. Face à moi, accrochée à la poignée de la porte coulissante qui sépare cette pièce de la bibliothèque, et suspendue sur un cintre vert, la chemisette noire à fins carreaux blancs que j'enfilerai tout à l'heure avant de descendre engloutir mon petit déjeuner. Plusieurs des livres dont je distingue, dans la pénombre de l'autre côté de ces battants ouverts, les formes et les figures, ont des couvertures blanches ou orangées, une couleur ue les éditeurs des pays anglophones affectionnent particulièrement. Je n'arrive pas à m'habituer à ce clavier, multiplie les coquilles. J'espère qu'en me levant bien avant à l'aurore (à six heures moins le quart, et j'étais réveillé depuis belle lurette), je n'ai pas dérangé mes parents, qui sont arrivés hier et couchent à la chambre d'amis. Je vois danser au loin les lettres vert clair : Leaves of the  Banyan Tree. D'un vert plus soutenu, sur fond brun : Albert Wendt.

mercredi, 04 octobre 2006

Exposition Philippe Pradier aux Bons Enfants

Nous avons découvert quelques toiles de Philippe Pradier lors de l'exposition d'hiver Petits formats aux Bons Enfants, en décembre dernier. Cette fois-ci, le peintre amateur de citations picturales est de retour pour une exposition personnelle, en ce même lieu, ce que l'on peut vérifier sur le blog du galeriste.

Finalement, nous n'avons pas acheté ce 60x60 de Salaün que j'aimais beaucoup, parce que C. était moyennement emballée. (Or, pour transporter (être transporté(e)?), il faut un emballage.)

10:15 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne

mardi, 03 octobre 2006

Sans sel d'enduit

medium_Regime_Boisseau.JPG
Arrivée annoncée de George W. Bushel, président des Poids & Mesures.


(Tours, 2 octobre 2005.)

Château de Montpoupon ~ Extérieurs

Malheureusement, la visite a été irrémédiablement gâchée

medium_Montpoupon_Oct._1_010.jpg

par la hargne, la pugnacité et la crétinerie de la guichetière, préposée à débiter la même propagande à tout le monde sans même écouter les rares mots qu'essaie de placer son interlocuteur. Bien entendu, il m'est impossible, en raison de cette espèce de harpie grotesque et sans cervelle, de recommander la visite du château.

C'est dommage, vraiment dommage.

Château de Montpoupon * Extérieurs

medium_Montpoupon_Oct._1_006.jpg

 

 Comme je ne compte pas vous recopier l'historique de ce très joli château Renaissance (il ne reste rien de la maison forte du XIIIème), vous pouvez consulter la notice du site 37online.

Dimanche matin, il devait pleuvoir, alors nous avons renoncé à visiter les jardins du château de Nitray. Le château de Montpoupon est tout à fait digne d'intérêt, avec plusieurs salles remarquablement meublées (mention particulière pour une série de tapisseries de Beauvais dans un état remarquable de conservation).

Le Musée de la Vénerie est une simple curiosité, sans plus.

Château de Montpoupon : extérieurs

medium_Montpoupon_Oct._1_005.jpg

 

 

Comme, dans ce château, toute photographie est interdite une fois que l'on est entré dans l'enceinte, et comme je respecte la loi (ou, à tout le moins, les instructions et prohibitions indiquées à l'entrée), vous ne verrez que ce que tout un chacun, même sans entrer, peut observer, le long de la très jolie route départementale, entre Le Liège et Montrichard.

59

Un bacchus de Céré-la-Ronde

Voulait toujours "serrer la ronde".

Obésophile baisottant :

tel était son passe-temps,

du volant de sa vieille Aronde.

 

lundi, 02 octobre 2006

58

La guichetière, à Montpoupon,

En connerie a le pompon.

J'essaie d'échapper, quelle guigne,

À son ineptie consanguine :

Quel poulpe crampon nous palpons !

Po(i)nt du (re)Gard

medium_HPIM3079.JPG

 

 

Le 2 octobre 2005,

sous un ciel changeant,

medium_HPIM3078.JPG

 

 

nous avions promené d'atelier en atelier,

mais

l'art

 

medium_HPIM3075.JPG
L'ART
medium_HPIM3077.JPG
se situe
où il faut : dans
medium_HPIM3076.JPG
LE REGARD.......

dimanche, 01 octobre 2006

57

Un vieux monsieur du Val d'Indrois

Avait toujours le boudin droit.

Même un bain d'eau glacée

Ne pouvait affaisser

Son boudin droit du Val d'Indrois.

 

Enigme facile

medium_Rue_des_Halles.JPG

 

 

Où, à Tours ?

 

 

 

... 2 octobre 2005 ...

samedi, 30 septembre 2006

Pluie au soleil

Hallebardes sur Tours.

Monde, si beau, qui vacille.

Ce sont même de très gros grêlons qui cognent contre les vitres, rebondissent sur les voitures.

Torrents au bas des trottoirs.

La nacelle, je n'avais qu'à l'enlever, depuis le temps que je dis que je devrais l'enlever.

Soleil qui reparaît et l'averse qui reprend.

Longue litanie langoureuse, la pluie nourrit les yeux.

jeudi, 28 septembre 2006

Tanneurs 131 et 132

Outre que, repeintes une semaine avant la rentrée, les nouvelles salles du site Tanneurs (au premier étage) offrent aux narines & naseaux souffreteux un mélange d'odeurs plutôt capiteux et même franchement désagréable (peinture + tableau à marqueurs + soleil tapant, à travers les vitres, sur les corps progressivement dégoulinants), elles ne présentent pas toutes les garanties en matière de respect des normes de sécurité, ce qui est plus inquiétant encore.

Aux Joulins, à une heure, j'ai mangé mon sandwich fade et bu un Schweppes, avant de repartir turbiner.

C'était sportif aujourd'hui, avec un cartable prêt à éclater et trajets en bus + trottoirs, sans compter l'habituelle dizaine d'étudiants qui m'ont attrapé au rebond, entre deux portes, deux couloirs, qui pour une demande de changement de T.D., qui pour l'organisation d'un emploi du temps Erasmus, qui pour une information sur les U.E. libres, qui pour la remise (tardive pour cause d'inscription tardive) d'un emploi du temps de L3... bref, lundi et mardi se prolongeant sur le jeudi. (3 Glorieuses... non, c'est plutôt en semaines.)

J'étais quand même à l'heure pour apporter à A., à la sortie de l'école, le crocodile gélatineux vert fluo qui m'avait été, de façon plutôt décadente, offert avec le café, et que j'avais soigneusement "troussé" dans un mouchoir en papier en vue du goûter filial.

18:50 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne

À plat, tope là...

Ce n'est pas le calme plat sur la Touraine. C'est juste et seulement le calme plat dans ces parages. Faire du plat... à  personne. Passer le plat aux invités. Se prendre un plat dans la piscine (ah, ce sont les mots bleus, au fond, tout au fond, contre les carreaux minuscules, de l'autre côté de la vase). Pour le travail, j'en ai  eu ma (belle ou parfois lourde) dose en septembre, et c'est normal, me  direz-vous. Peu de photos, peu de sorties, peu de poèmes. On fait ce qu'on peut, étant (ou pas) à plat, débitant des fadaises ou encore des platitudes, ou même encore à cette aune oserait-on (citant une chanson) écrire platités ? Non, faire du plat, très peu pour moi, je n'y goûte pas, ne mange pas de ce pain-là. Sauçons, tiounquons. La vie est belle. La vie est-elle belle ? Reprenons. Le plan, l'espace plan, la mappemonde, et quoi encore ?
(La barre d'espace réagit plus que celle de mon ordinateur portable, d'où de grands blancs entre certains mots.)

07:08 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

mardi, 19 septembre 2006

Journée d'études

Le Peintre et les Lettres :

 

Figures de l’artiste dans la littérature italienne

 

 des XIXe et XXe siècles

 

vendredi 13 octobre 2006

 

 

salle 5e étage, Bibliothèque universitaire

 

3, rue des Tanneurs (Tours)

 

 

 

Le programme est téléchargeable ici: Peintre_Lettres.doc.

16:04 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

lundi, 18 septembre 2006

Du Niger au golfe de Guinée, 18 septembre 1888

Il y a deux ans bientôt, une correspondante (que j'ai rencontrée depuis) m’avait offert, pour mes trente ans et à mon immense émotion, le récit de voyage du capitaine Binger, Du Niger au golfe de Guinée par le pays de Kong et le Mossi. Il s’agissait de la réédition en un seul volume (Société des Africanistes, 1980) des deux tomes parus à l’origine en 1892, et marquée d'une longue dédicace à l'encre rouge sombre. Je me suis plongé illico, mais en plusieurs séances, dans cet ouvrage finalement savoureux et passionnant, malgré un très grand nombre de réticences que, pour faire bref, je qualifierai d’idéologiques et qui, loin d’être formulées a priori dans ma petite tête, naissaient surtout au fur et à mesure de la lecture. Toutefois, il faut reconnaître que, pour un militaire entreprenant un voyage d’exploration dans le contexte de la France coloniale de la fin du 19ème siècle, Binger est relativement subtil, et même qu’il parvient souvent à une étonnante neutralité.

Alain Ricard m’avait dit un jour que les récits de voyage écrits par les premiers explorateurs, et, dirons-nous, singulièrement au 18ème siècle, étaient nettement plus justeset moins obscurantistes, à l’égard des peuples visités, que ceux du 19ème siècle.

 

Aujourd’hui, c’est sans doute l’heure de citer – car il n’est jamais trop tard, et les chiffres ronds pèsent trop lourd – le premier paragraphe de l’entrée du 18 septembre 1888, qui témoigne d’un désir d’observation aussi neutre que possible, et sur un point très intéressant :

 

Ce matin de bonne heure nous sommes réveillés par une violente tornade, la première de cette année ; elle fut accueillie avec joie par tout mon personnel, car c’est un indice certain de la prochaine fin des pluies d’hivernage. (Chapitre XI, tome 2, p. 61)

 

À Tours, pourtant, nulle tornade.

dimanche, 17 septembre 2006

56

Une naïve de Saint-Âvre

Voudrait naviguer jusqu'au Havre :

Seulement, par le Cher,

On n'atteint pas la mer,

Et c'est bien là ce qui la navre.

 

samedi, 16 septembre 2006

Nouvelle énigme tourangelle

medium_Angelot.jpg

 

Comme Guillaume Lapaque ne trouve rien de plus drôle que de trouver illico la réponse à mes énigmes, en voici une, plus corsée je l'espère, et qui vaudra, au vainqueur (à condition qu'il ne s'appelle pas Guillaume Lapaque!), un pot offert lors du prochain apéro-blog tourangeau.

(En cas d'absence lors du prochain apéro-blog, le cadeau est un exemplaire dédicacé d'un choix de textes...)

 

Donc : Question : Où ?

(Indice : pas à Tours.)