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samedi, 12 janvier 2013

W.M. 54

Je suis féru de propithèques

Mais pas friand de leurs bifthèques.

— Avec leurs masques moussakas

Je préfère les Sifakas

Aux rats de bibliothèque.

vendredi, 11 janvier 2013

Quintil pétronien, 3

Dans la salle d'attente,

Faire tapisserie.

Sans le gosier en pente

Et sans hystérie,

Quelle vacherie.

Mademoiselle Confiture

 (Pierre-Alain Goualch, 2004)

le temps qu'infuse le thé russe je ne pourrai jamais écrire aussi vite que ça que le piano pianote jamais aussi vite à peine 130 secondes pour écrire quoi d'ailleurs

ça ne s'emballe pas tout de suite

la toile de jute prend un peu le temps mais pas trop ça y est ça s'emballe

s'accrocher à quoi aux trous dans la toile

s'accrocher à ces mots dits par le sieur Dudot le ciel est amoureux amoureux de ses yeux

du plat de la main du bout des index des majeurs tapoter tandis que ça pianote gratte frotte et le balai passe repasse c'était plus facile plus posé de prendre le temps d'écrire ce tanka tout à l'heure

tant qu'à faire un peu de piano

tant qu'à s'accrocher

tant qu'à avoir mal au dos aux doigts ravauder quoi quel texte oui j'étais pris

surpris les doigts dans la confiture écrivais-je écrivis-je la main sous la ceinture

bientôt le terme sans doute fin de la joute le tournoi a noyé le chagrin la toile de jute on n'en viendra pas à bout

ça s'effondre à peine 130 secondes cette amante religieuse écrire quoi

 

jeudi, 10 janvier 2013

2888 — La Saint Guillaume

Pas comprendu-je le saint du jour est la tare

S'il partut croisader et émir du cathare.

mercredi, 09 janvier 2013

Nine Days Into

Bonne Année 2013 !

mardi, 08 janvier 2013

Le Héron dérobé

From that day when they rode together to the slaying of the heron by the stream in the meadow, there was a new bond between the Countess Erna and the Baron Albrecht. Au milieu de ces mouvements des eaux, le grand fleuve conserve une admirable transparence et une pureté d'eau de roche continuée jusqu'à la mer. So daß die mutterlose Berta eine traurige und liebeleere Kindheit verträumte. 

Am Abend, wenn wir auf dunklen Pfaden gehn

Erscheinen unsere bleichen Gestalten vor uns.

Ye glaiket, gleesome, dainty damies...

Des pigeons familiers y buvaient à nos pieds, et, sous la petite arcade par laquelle l'eau rentrait, des moineaux hardis venaient se baigner et dérober quelques graines.

(PaperPestPaste, xiii)

D'un planisphère entrevu plus qu'observé

3282117000938.jpgCe planisphère (dont on ne voit, sur un autoportrait pris ce matin, qu'un fragment océanien, et dont je n'ai trouvé, sur Google Images, que des versions de petite taille (y compris, donc, celle copiée ci-contre)) est très curieux. Ce matin, dans le vestibule du nouveau Service des Relations Internationales de mon université (nouveau au sens où le Service a investi de nouveaux locaux depuis quelques mois), j'ai passé plusieurs minutes à l'inspecter. Il a été édité par l'IGN en 1994, et le principe de nomenclature est que les noms de pays figurent dans la langue du pays. Evidemment, c'est un pari intenable, puisque le recours strict à l'alphabet latin, garant de la lisibilité de la carte, interdit toute littéralité originaire, par-delà le fait même que cette littéralité est un pur fantasme.

La Russie est donc "Russika", ou quelque chose comme ça, tandis que l'Inde est signalée par un BHARAT très idéologiquement discutable. En effet, l'Inde a deux langues nationales officielles, et le nom officiel du pays en hindi est Bhārat Gaṇarājya. Donc, soit on respecte la formule complète (avec les diacritiques), soit on a recours au nom anglais, "Republic of India".

De même pour les noms de villes : Le Cap y figure sous son nom afrikaans, alors que la version anglaise "Cape Town" est tout de même plus répandue, y compris dans le pays même. Y a-t-il dans ces choix une volonté de mettre à mal l'hégémonie de l'anglais, comme on dit ? Si tel est le cas, ce planisphère mériterait des recherches plus poussées, et semble démontrer que la géographie est une pratique scientifique éminemment subjective, ou soumise à des idéologèmes.

Il y a aussi des cas intermédiaires, comme les Îles Mascareignes, dont le nom anglais est donné entre parenthèses.

Tout cela est assez étrange.

À défaut d'en avoir trouvé une saisie suffisamment précise sur le Web, je retournerai prendre des photographies avec mon Lumix (pas le smartphone), au Service des Relations Internationales.
 

Cherchez l'erreur

Deux pour surveiller six étudiants, le 7 janvier.

Le 17 décembre, j'étais tout seul pour placer, surveiller et faire émarger – lors de trois examens successifs – respectivement 137, 91 et 138 étudiants.

2013-01-07 16.53.48.jpg

06:36 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (1)

lundi, 07 janvier 2013

Pluie battante, depuis octobre

M'expliquer ici de ces séries de photographies que je prends, par temps de pluie, sur de petits trajets urbains. Aujourd'hui, il ne pleut pas, il fait gris, on nous rannonce le froid, on annonce le retour de froid. Ce que je vole avec mon regard, je peux aussi le voler avec ma mémoire, ou la mise en mots, qu'importe. Tous les flacons ont leur revers.

 

Donc, depuis trois ou quatre ans, je prends, à intervalles (très) irréguliers, et en conduisant, des photographies du paysage urbain traversé. Les photos sont toujours prises à travers le pare-brise, après avoir pris soin de déconnecter les essuie-glaces. (Je crois qu'il ne faut jamais de s à “pare-brise”, et un s au pluriel d'“essuie-glace”. Laissons les puristes vérifier, et trancher.) Double infraction au code de la route : une main ne tient pas (ou pas toujours – on peut commander un appareil photo ou un smartphone et le volant d'une même main) le volant, et la pluie bat la vitre sans que l'essuie-glace n'intervienne. Pourtant, je croise pas mal d'automobilistes qui n'ont pas du tout leurs lumières, ce qui ne fait jamais l'objet d'une contravention et est pourtant très dangereux.

 

 

J'ai dû prendre les premières photos de ce genre début 2008, et je me rappelle que quelqu'un (Eric ?) m'avait appris que j'imitais Abbas Kiarostami. Du coup, il m'arrive d'employer le tag « Kiarostami » quand je mets ces images en ligne sur Flickr, afin de brouiller les pistes du plagiat par anticipation.

En décembre, j'ai pris souvent de telles séries, on peut dire que j'ai renoué avec ce genre. C'est, pour moi, une manière de garder une trace, bien sûr, de telle journée particulièrement pourrie, de marquer tel trajet particulièrement anodin ici transfiguré par la grisaille, mais aussi d'effacer – ever so briefly – la mocheté de ces zones périurbaines qui entourent le quartier où je réside, et que je nomme, avec une bonne dose d'affèterie, « le quartier des sçavans ».

 

Three Red Dots A Rainy Rayless Day, Feb 1st, 2008 #19 Images sous la pluie, 14 février 2011 : les spectres menaçants Tours sous la pluie / jeudi & pare-brise 4

Effacer la mocheté en la soulignant, en la rendant plus coulante, plus morne, plus grise et déprimante encore – c'est en partie ce que j'avais commencé à essayer de faire en créant cette rubrique des Kleptomanies überurbaines, il y a six ans. À l'époque, nous habitions rue Guillaume-Apollinaire. Si je veux renouer avec ces pages, il va falloir autre chose que des clichés.

Hautes résolutions

“La liberté de l'art est un mythe. Certes il est permis à l'artiste de chercher, comme idéal, à donner l'impression de cette liberté, comme Nijinsky, à la fin du Spectre de la rose, donnait au public l'impression de s'envoler librement dans l'espace tandis que dans la coulisse ses deux soigneurs le recevaient sans bruit, l'entouraient d'une couverture et l'aidaient à reprendre haleine. Dans tous les arts, le triomphe est de forcer la matière à témoigner pour l'esprit. Mais la matière, violentée spirituellement, ne l'est pas physiquement. Et les contraintes combinatoires sont tout aussi inviolables. Quel que soit le purisme esthétique dont on veut construire le mythe, l'art n'est pas de chercher l'impossible, mais d'user des lois du possible.” (Etienne Souriau. Clefs pour l'esthétique. Seghers, 1970, p. 165)

dimanche, 06 janvier 2013

De Rome et de canicule

À ma lyre aujourd'hui j'exulte,

Desdichado inconsolable.

« Le lionceau appendra adulte

Que ces marques sont inviolables.»



Je vous aime, ô chastes vestales,

Du grand Amour les vraies aïeules.

« La mère crocodile installe

Les bébés au fond de sa gueule.»

 

Toi que l'amour fou innerve,

Je chante ton feu de glace. 

« Le guetteur mangouste observe

L'attitude du rapace. »

 

Vesta, bien sûr, n'est pas Eros,

Ce garnement au profil morne.

« Karanja le rhinocéros

Est reconnaissable à sa corne. »

 

Souvent, si je fais fomec,

Terré au sol, c'est en rampant. 

« Le vervet lance un cri sec

Pour se prémunir des serpents. »

 

La vestale est sans remords

Au souffle du dieu moqueur. 

« Sur le tronc d'un arbre mort,

Liaram dépose son odeur. »

.

Pot-pourri de distiques divers

Que je ne pas savoir pourquoi que Apollon

Il ont la jupe courte et la lyre un peu long.

 

Tu veux ou tu veux pas que Marcel Zanini

Echanger avec moi images Panini.


Que restau italien prier Sainte Rita

Mangir le top du top : une margherita.


Cingal que fesit quintils inspirés Pétrone :

Mary s'en foutre (étions-elle de sur le trône ?).


Hugo que lisut Aïgui poète tchouvache

Et je que faire train meuh meuh et tchou-tchou vache. 


On a triste d'avir hiver envie de fraises 

Et que Sylvestre ç'a déjà 2013.


À force de jeter mon coeur dans un micro

On a dur oublier manger qu'on a les crocs.


Je croive envier Gazza hôtel d'avoir vécu

Sautir piscine emmaillotté de papier Q.


Disant vestiaires que Hugo trop golri 

Le 7 de sur mon maillot ç'avait mon Q.I.


Golri-je que de vu femelle phacochère

Sur ses marcassins on a mou qu'elle chière.


samedi, 05 janvier 2013

Difficile journée

Ô le temps qui nous fuit,

Vieillir force la dèche.

« Ta chemise de nuit

N'est pas tout à fait sèche. »

.

vendredi, 04 janvier 2013

Dix quatrains conversationnels

Je jouais au Monopoly avec les garçons. Ma femme lisait Que Choisir ?, parfois à voix haute. J’ai donc composé quelques quatrains conversationnels, dont le principe – déjà mis en œuvre sur Facebook lors de visionnages de documentaires animaliers – est d’utiliser la citation pour les vers 3 et 4, et de composer les vers 1 et 2 à partir de cette deuxième moitié.

 

Pour emballer lors d’un rencard,

Je déconseille l’orgelet.

« Encore une fois, c’est Picard

Qui a les meilleurs surgelés. »

 

Hollande, le chef de l’Etat,

N’est pas vraiment un héros.

« La nouvelle Prius est à

38.200 €. »

 

Le danseur soufi est en transe

Et fait des cercles exaltés.

« La petite Yaris made in France

Est tout à fait bien notée. »

 

Le chien montrant sa lippe

Dardait des yeux de fou.

« Les bulbes de tulipes,

Mais qu’est-ce qu’on s’en fout ! »

 

L’attente du printemps

A tout instant me hante.

« Marque ‘lait hydratant’

De Carrefour Discount ! »

 

Soleil, que ta splendeur éclate

Au zénith écarlaté !

« Sardines à la tomate…

On n’en a pas acheté. »

 

En relisant L’Astrée

J’éprouve la frénésie.

« Les bébés porcs sont castrés

Mais sans anesthésie. »

 

Ma plainte monte au ciel

En accents empruntés.

« Le miel Lune de Miel

Est vraiment bien noté. »

 

Sous les ors du jour finissant

Les chênes se noient de rousseur.

« Le meilleur adoucissant

Est Le Chat Lait de Douceur. »

 

L’aurore imperturbablement

Déroule ses nuées entre orange et turquoise.

« Dix mille écoliers allemands

Se sont intoxiqués grâce aux fraises chinoises. »

jeudi, 03 janvier 2013

Quintil pétronien, 2

De retour de Saubusse
(Chevaux et hérons
A nos regards robustes
Se déroberont)
Je suis Obéron.

Quelques recherches de rimes...

Qu'on doivent avoir dur pour jouir au tennis

Comme le varan de l'avoir hémipénis.

 

Un jour je suis été au carré VIP à Nice,

Endroit que j'aime aller mais sans hémipénis.

 

Aux sondages d'avoir Marine Le Pen hisse

Aussi Gilbert Collard tronche d'hémipénis.

mercredi, 02 janvier 2013

L'iguane nous regarde

Muséum d'Histoire naturelle (Tours), 23.12.2012.

 

Gourgandines : la ruée.

Un râle goguenardise.

Dénigrerons auge alu.

Enroulerais dune gag.

Ouïr grand-angle usé.

Nid, rage langoureuse.

Dangereuse a lu groin.

Dérangeais nul orgue.

Douanières, leur gang.

Un do — lune gargarisée

Nageur en gaudrioles.

mardi, 01 janvier 2013

Pour bien commencer l'année

On a dur au Musée dimanche qu'on s'amuse

Où que golri-je beaucoup la péloméduse.

 

Vomir presque et que blanc autant que de la couenne 

Cage que j'aime pas voir et caguer l'iguane.


Golri dinde aux marrons on a lourd que digère

Promenadons Musée et ara d'Illiger.

lundi, 31 décembre 2012

Carillons, vrais sauniers

Pour l'intelligence de ce qui va suivre, quelques explications au sujet de la Saunerie sont nécessaires sur ce qu'on appelait la gabelle et les faux-sauniers.

Ce nom de gabelle fut d'abord commun à plusieurs taxes. Plus tard, il fut uniquement appliqué à la taxe du sel, dont le monopole constituait un des plus gros revenus de la monarchie. «Autrefois, dit Boullet, qui nous fournit ces renseignements, le roi avait seul le droit de fabriquer et de vendre le sel, ainsi que d'en fixer le prix. On était, en outre, obligé d'acheter au roi une quantité déterminée de sel, avec défense de revendre ce qu'on avait de trop; de là l'impopularité qui, tant qu'elle dura, s'était attachée à cette taxe inique et vexatoire.

Et il tenait ferme à son monopole, ce bon roi de France, tant et si bien qu'il faisait pendre tout pauvre diable qui se laissait pincer en contrebande de sel. C'était le procédé dont usait la monarchie pour attaquer son monde en concurrence déloyale.

Voilà pourquoi le grand-père de Pancrace, faux-saunier qui était jadis tombé entre les mains des gens du roi, avait été accroché à la maîtresse branche de l'arbre qui abritait la maisonnette où il cachait son sel de contrebande.

En 1800, époque du présent récit, il y avait dix ans déjà que le monstrueux impôt avait été aboli.

Tout en parlant de la mort du grand-père de Pancrace, le policier n'avait pas quitté des yeux la branche qui avait jadis servi de potence à l'infortuné faux-saunier. Que voyait-il?

 

(Eugène Chavette. Le saucisson à pattes, 1884)

dimanche, 30 décembre 2012

Décembre finissant

Décembre finissant

Prend la couleur des chimères

Et notre âme à tous rayons se soulève

 

samedi, 29 décembre 2012

Aux sources du Nil

Des enfants jouent à la pala

Et les jours encor rétrécissent.

La panthère hisse un impala 

Tout en haut de l'arbre à saucisses.



Mes lacets me lassent. J'espère 

En revenir aux velcros.

L'araignée loup couleur terre 

En tue une autre avec ses crocs.

 

Quand je me sens vaseux,

En bâillant je feule.

Des buffles, cul bouseux,

Se foutent sur la gueule.


Je picole à mon hanap

Un pion de gueuse lambic.

Souvent les élands du Cap 

Font route avec les dik-diks.

 

Je suis féru d'odalisques

Taillées dans le zirconium.

Mettant bas, la damalisque

Bouffe aussi le myconium.

 

Je suis de ces esprits que mord

D'Apollon le souffle aérien.

Du jeune damalisque mort

Le lion ne laissera rien.


Clairs comme de l'eau de roche,

Mes quatrains plaisent aux enfants.

Le daman est le plus proche

Parent de l'éléphant.

Bongo de l'Île

Man darf sagen, dass die deutsche Leistungsfähigkeit in Barzahlung direkt ihr Mass findet in der Bewertung des Dollars an der Berliner Börse. It piqued Oleron a little that his friend, Miss Bengough, should dismiss with a glance the place he himself had found so singularly winning. Après avoir quitté mon « voleur », j'allai retrouver Zanzibar et me mis à confectionner le banjo que je lui avais promis. Bartolomeo : circa cinquant'anni, ex maestro di ballo : tipo comico : porta delle scarpine senza tacco e in testa un berretto ben ricamato.

(PaperPestPaste, xi)

 

vendredi, 28 décembre 2012

La Tanzanie, toujours

Je ne danse pas la samba 
À la porte cochère.
« Kigori, la soeur de Wamba,
Repère un phacochère.»


J'ai bousillé les essieux 
De la caravane.
« Le petit autruchon gracieux 
Explore la savane.»


Je trouve que ça sent bon,
Le vin de Bourgogne.
« L'hyène emporte le jambon
Du lion en charogne.»


J'espère qu'on ne dira mot
De ma métrique fluette.
« La girafe arrache un rameau
De sa langue violette.»

Six Days Ago

Le bacon du samedi soir

jeudi, 27 décembre 2012

Les Formidables aventures de l'Ara d'Alliger

ara.JPG

 

Girl aéra lad.

 

Il la regarda.

Grade railla.

Grêla, la rida.

Il gela radar.

 

Dallage rira.

Le lard agira.

 

La garer laid ?

La dira large.

La dira régal.

Il la gardera.

À la bourre

"Le délégué interministériel à la Sécurité routière affirme dans le JDD que l'interdiction de l'alcool au volant pourrait être discutée, notamment pour les jeunes." (Libération)

Ainsi, un des plus hauts responsables travaillant sur cette question tient des propos qui tendent à confirmer la sagesse populaire : rouler bourré, hein, c'est une question d'habitude... Quand on est jeune, zéro gramme, après — quand on l'habitude — on verra.

Pa-thé-tique.