mercredi, 26 décembre 2012
Quatrain sur le couple d'agames
17:46 Publié dans Mirlitonneries métaphotographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 25 décembre 2012
Distique de Noël
Je n'a pas comprésu comme l'enfant Jésus
Couché la paille on a doit lui pique le cul.
00:44 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 24 décembre 2012
Romans numérisés
« Si donc il faut en croire le calendrier Maya, la fin du monde se produira dans quatre jours. Personnellement, je m’en fiche, tous mes romans sont maintenant numérisés. »
(L'Autofictif, #1770)
Ce n'est pas très grave en effet. De plus, nous savons depuis longtemps que Chevillard finira centenaire.
Sur le clavier, Oméga joue les Charly Olleg.
09:06 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 23 décembre 2012
Quintil pétronien, 1
Graisserons périmés
Lucques oxydées
Vieux poulet castamé
Potage avarié
— Vais-je dégueuler ?
...........................................................................................................................
(Encore une énième forme poétique, le quintil pétronien. Il compte 27 syllabes, selon une alternance ABABB, que miroite l’alternance métrique 6-5-6-5-5. Son sujet n’est pas obligatoirement alimentaire. Le recours à la police Old English Text MT est optionnelle.)
20:35 Publié dans Quintils pétroniens | Lien permanent | Commentaires (0)
« Elle me vend du saucisson »
Ce matin, dimanche, le fromager du marché n’était pas là. J’ai composé un haïku en son honneur.
Le caissier de la station-service du Leclerc m’a demandé si, « à tout hasard », je ne connaîtrais pas quelqu’un qui recherche « un monospace Toyota essence ». Non. J’ai payé 59,95 € pour 42,25 litres, palindromes qui me ravissent.
Pris une photographie d’Oméga dans l’embrasure d’une sorte de fausse porte, paroi de béton rouge – qui paraît rose, sur l’image. Anorak orange. Les alentours de la benne destinée au verre à recycler, sur le parking d’Auchan, étaient très propres, à l’exception d’une assiette (en faïence) brisée.
Toujours pas arrêté dans le « bois » du Mortier. Mon regard happait tout – lisérés des portillons EDF, griffures sur les boîtes à lettres, arabesques des merdes de chien sur le trottoir de la rue de Jemmapes. Oui.
Such is the stuff days are made of.
11:21 Publié dans Kleptomanies überurbaines, Moments de Tours, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
Conclure provisoirement
« All conclusions and confusions are mine alone »
(Jamal Mahjoub, Travelling with Djinns)
Se replonger dans un grand livre qui vous accompagne, bon an mal an. Là, pour le travail, malgré les 600 copies en souffrance.
(Autre parenthèse : à quoi sert le crochet ?) —— D'ailleurs, cette citation ira aussi dans le Livre.
08:10 Publié dans Aphorismes (Ex-exabrupto), Le Livre des mines, Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (0)
Being E(a)rnest
“ Papa, t’es un chausson, parce que Papa ça fait 2 syllabes et chausson ça fait 2 syllabes.”
04:38 Publié dans ... de mon fils | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 22 décembre 2012
Le Feu & les mots
De hautes collines formées à rien
S’échappant, interminables, offraient le spectacle éteint de leur déroute
Face au feu du soleil serpent.
Même soleil féroce
Prend la défense du brouillard carton plein dans la fougère
Pour rien dire
Toutefois, ce rien n’est pas rien
Si j’estime qu’on a sacrifié la parole (du vent), que l’essor l’envol des collines
Est tout pour le poème
Tout et rien, ça nous fatigue
On préfère toujours poser l’œil sur le ciel et sur les collines, les beautés
Du langage riches fécondes.
18:42 Publié dans Sonnets doucement internationaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Distiques épars de Guillaume-Franck Ribergal
J'ai apprendu ce soir étalant la confiote
Qu'habitants de Corfou les-on nommu Corfiotes.
(18 décembre)
Golri qu'on a ventre et trop mal que l'autre fiotte
Qui fesit robes s'appellont Nico Fafiotte.
(même jour, 21 h 18)
"Hollande entame sa visite en Algérie"
Que franckement ç'a rime on a bien Ribéry.
(19 décembre)
Vu comme que ç'a plantu complet l'E.N.T.
On a obligé de sur Facebook aller.
(20 décembre)
Golri-je qu'entendu que le groupe Davoine
Installu son cinéma dans un champ d'avoine.
(21 décembre)
09:30 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 21 décembre 2012
Syntaxe, épisode 999
Il y a encore des relecteurs dans le personnel des journaux, ou alors des internautes serviables, je ne sais. Ce matin, sur Libération, un article arborait fièrement, en grands caractères, le titre suivant
Hollande ne répondra pas à Depardieu, ni Torreton, ni Deneuve
Je me suis ausitôt fait la remarque que cette phrase voulait dire tout à fait l'inverse, ou tout à fait autre chose que ce qu'elle était censée dire. L'absence de répétition de la préposition "à" n'est pas une question de style, ici : elle implique que Torreton et Deneuve sont sur le même plan (syntaxique, et donc sémantique) que Hollande, et qu'ils ne répondront pas non plus à Depardieu. Or, cela va de soi (enfin, cela va de soi si on a suivi la tempête dans un bocal parisien), ce que veut dire le titre de l'article, c'est
Hollande ne répondra pas à Depardieu, ni à Torreton, ni à Deneuve
Quelques heures plus tard, à la faveur, donc, d'un relecteur attentif ou de quelques mails bien sentis d'internautes (ou de commentaires d'internautes placés directement sous l'article, je n'ai pas le courage de vérifier), le titre a été corrigé. Il est amusant de constater, toutefois, que l'URL, elle, conserve, évidemment, la faute initiale !
15:07 Publié dans Indignations | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 20 décembre 2012
99
Un motocycliste, à Lublé,
D'un béret s'était affublé.
T'es con ou t'es basque ?
Remets donc ton casque !
Lui lança sa mère, fan de Michael Bublé.
(99ème limerick ligérien pour célébrer le 20.12.2012 à 20:12.)
20:12 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)
98
Un vieux paysan d'Ambillou
Sur son tracteur chante Only You
— Mais version, à se faire hara-kiri,
Chevauchée des Vaches-Qui-Rit
Et il n'a rien sur le caillou.
18:58 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 19 décembre 2012
Distiques ribéryens zoologico-munichois
On a vraiment véner que Gérard Depardieu
Allont vis à Néchin et pas à La-Part-Dieu.
On a crevé du carré enfant à l'arrache
Où que Mary Léza ne s'arrête à Perrache.
Venant de Tours elle serait passir Roanne,
Là où que l'on ne voit jamais une seule âme.
Golri je que passu autrefois par Nevers
Michael Beard on a dur d'il avoir le noeud vert.
Endroit que j'aime bien être à de quand ça caille
Je m'ai emmerdé bien en gare de Chauffailles.
Golri je que frimas et rigueurs de l'hiver
Beard de s'avoir coincé teub fermeture éclair.
Hugo que polyglotte et me dire "zipper"
Où que coincer la teub moi j'en suis vraiment peur.
Que neige et froid d'hiver à Paray-le-Monial
Tabernak on a voir un troupeau d'orignals.
Je suis raté de voir dehors les caribous
Rentrer éteindir sous le café (car i bout).
Hugo qu'encore lui est dit ç'a dit "moose"
Et que je m'a lavé les mains au pouss'mouss'.
Bayern que je savoir orignal ç'a dit "Elch"
Zahia qu'elle plus mieux vulgos que Raquel Welch.
On a mou que de sentir coulir la réglisse
ET je m'ai éclaté sur "Alice, ça glisse".
Que Barça catalan élan ç'a traduire "Ant"
Golri grosse fourmi quand je pense à Fernante.
En finnois qu'on a dur à prononcir "Hirvi"
Et qu'Hugo son dico commence à m'énervi.
En malais grandes cornes et ç'a "Rusa besar"
Migraine et tant de mots que golri fait bizarre.
En inuit qu'orignal se dire Tuttuvak,
Si j'y mette tutu ça n'a pas Kim Novak.
Tchèque où que ç'a traduit par que "Los evropský"
Et qu'est-ce rugby ou de marquu un drop — ski ?
——————
Quelques précisions s'imposent.
La première série, d'inspiration ferroviaire, a bénéficié d'une contribution (en vert) de Corinne B., experte de la ligne Tours-Lyon. Par ailleurs, les liens intertextuels avec le roman d'Ian McEwan sont indéniables.
La deuxième série, d'nspiration plurilingue et zoologique, a bénéficié de la fonction Autres langues de la Wikipédia.
16:56 Publié dans Chèvre, aucun risque, Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 18 décembre 2012
W.M. 53 : Véronique Filozof
Mes souvenirs d'enfant étant plus Dino Zoff,
Je ne sais rien de Véronique Filozof.
Peut-être, à Sarlat,
Traversai-je la
Cour portant son nom (Véronique Filozof).
03:24 Publié dans Wikimericks | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 17 décembre 2012
#33
Un vieux sportif de Buxières-d’Aillac
Voulait s’essayer au kayak.
Mais, sur la Bouzanne, ohé !
Pas l’ombre d’un canoë...
Se plaignit-il en distikélégyak.
09:02 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 16 décembre 2012
Onze distiques ribéryens — Toulon / Sale
On a dur les yeux que cillant déboulonnés
Charles Berling fesit le haka toulonnais.
Je golri que bogoss et Fredo Michalak
N'a trouvu à rima que Spasfon Dufalac.
Toulon qu'avoir fonçu et moteur bien tigré
Mais de ne marque pas : ça golri Richie Gray.
(Cingal que d'avoir dit sirotant son earl gray
Que Michalak chez lui il a deviendront gay.)
Qu'après de l'antijeu on a froid au frigo,
Toulon qu'aimont mener 31 à 0.
Qu'après Hugo est dit Sharks traduire Requins,
Y restu la danette à fond de ramequin.
De force de regarde rugby toulonnais
Plateau repas j'avoir du Capitoul au nez.
Frères que j'aime alla visitir l'ermitage
Ont été marquu deux essais les Armitage.
Aucun joueur sur le gazon n'ont la bacchante
Où que n'empêchu point de marque points 50.
Les Requins de répit de sont demandés please
Où reparti avec une belle valise.
De neuf essais Toulon prendu le point bonus
Et sifflet final les rosbifs l'ont DL'A.
21:15 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
#32
Je connais un homme, près de l’étang Purais,
Qui agit drôlement en faisant la purée.
— Patate en friture,
Subis ma torture ! —
Se prend-il pour Gilles de Rais ?
09:01 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 15 décembre 2012
#31
Un pêcheur qui pêchait étang du Bignotoi
Lança à un poisson : « hé, tu m’esbign’s, oh, toi ! » *
Le poisson maigrichon,
Sourd à son berrichon,
Continua d’arpenter l’étang du Bignotoi.
* C'est du faux berrichon, juste pour agacer Anne-Gaëlle.
10:10 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 14 décembre 2012
#30
Près de l’étang noir des Grandes Fourdines
Vit une traînée assez gourgandine.
Pour le dîner elle s’affaire
À vous donner un somnifère
En lançant ces mots fatals – qui dort dîne.
10:05 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 13 décembre 2012
Sept distiques mythologiques
Me voici contraint de créer encore une nouvelle rubrique, D'autres distiques, afin de permettre un archivage plus efficace.
En effet, j'ai écrit, ce matin, en gardant Oméga (qui en est à sa vingt-troisième otite, ou peu s'en faut), une série de sept distiques mythologiques inspirés par son jeu préféré du jour, le jeu des 7 familles offert naguère par Carrefour Drive. Bon, ça me change des Triominos et autres Croque-Carotte.
Moi, qui crains désormais de passer à la postérité post-maya pour mes infâmes ribérysmes, me lance dans d'autres aventures doublonnantes. Pour ce faire, et redonner un peu de lustre à ces carnets, dont tous s'imaginent qu'ils sont le fait d'un universitaire qui écrit vraiment « on a dur » et « comprendu », je donne ci-dessous les distiques en version « normale », puis sous forme de sonnet (avec légères retouches).
Je me demande si Enée, portant Anchise,
Lui demandait le 3 famille "La Banquise".
Iphigénie, à son père, au rivage amer,
Quérait-elle le 6 de la famille "Mer" ?
Allez savoir aussi si le bouillant Ascagne
Exigeait d'Enée le 4 de "La Montagne".
Astyanax, caressant de Hector l'épiderme,
Mandait-il le 1 dans la famille "La Ferme" ?
Avant d'incarner la Paix, la fière Eïréné
Piochait-elle le 2, famille "La Forêt" ?
Et si Zeus, dont on sait qu'il fume le havane,
Fut excédé par la famille "La Savane" ?
Il devint fou, le fils d'Evémon, Eurypyle,
D'avoir perdu toute la famille "La Ville".
**************
Mythiques familles — Sonnet
Je me demande si Enée, portant Anchise,
Exigeait de lui le 4 de "La Montagne".
Allez savoir aussi si le bouillant Ascagne
Lui demandait le 3 famille "La Banquise".
Et si, avant d'incarner la Paix, Eïréné,
Caressant de Hector le viril épiderme,
Lui tendait le 1 dans la famille "La Ferme" ?
Ou piochait le 2 de la famille "Forêt" ?
Iphigénie, à son père, au rivage amer,
Quérait-elle le 6 de la famille "Mer" ?
Et Zeus, lui dont on sait qu'il fume le havane,
D'avoir perdu toute la famille "La Ville",
Fut-il excédé par la famille "Savane"
Au point de dire Oï, que ce jeu m'eurypyle ! ?
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Je garde pour la bonne bouche, et en guise de bonus, un distique proposé par Corinne B., qui se reconnaîtra, et d'inspiration tout à fait églogalo-écocritico-fenimoro-philiprothienne :
Enée, qui partit s'installer en Hespérie,
Avait-il l'1 dans la famille "La Prairie" ?
21:22 Publié dans D'autres distiques | Lien permanent | Commentaires (3)
#29
Un poète de Sainte-Gemme
Ecrivant Ô tes seins que j’aime
À sa chère Armande
– Très plate limande –
Fut accusé de stratagème.
10:33 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 12 décembre 2012
12:12:12
Parfois, enfant, j'allais au bord de la Midouze
Pour compter les fenêtres du vieux moulin (douze !),
Ce qui me revient en ce jour de deux mil douze.
12:12 Publié dans Blême mêmoire | Lien permanent | Commentaires (1)
#28
Un brave écrivain de Morogues
– Ignare de tout Zaporogue –
Pense (il est exquis !)
Qu’on adoube un ski
Mieux qu’on n’anoblit la pirogue.
09:50 Publié dans Album de limericks berrichons, Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (1)
Y en a qui doodlent
Sans penser à mal ni être certain d'avoir raison, je me demande ici (après tout, le blog sert aussi à cela – archivage des incompréhensions) ce qui peut motiver certains collègues, sollicités pour un sondage Doodle en vue d'une réunion, à répondre, presque immédiatement pour certains, en indiquant qu'ils ne sont disponibles pour aucun des 18 créneaux horaires proposés (sur 5 jours différents, sur 2 semaines distinctes). Comme les deux semaines choisies se trouvent en dehors des semaines d'enseignement, il est donc tentant d'imaginer, les surveillances d'examen n'occupant jamais 18 créneaux horaires, que ces collègues, qui, peut-être, ne veulent pas assister aux réunions quoi qu'il advienne, marquent ainsi leur refus de toute réunion, mais la participation au vote ne laisse pas de m'intriguer : s'ils veulent montrer leur sérieux, leur professionnalisme, leur réactivité électronique, ne s'aperçoivent-ils pas que s'étale là, en face de leur nom, en dix-huit cases rouges visibles de tous, leur totale absence d'investissement, ou, à tout le moins, leur refus de se déplacer sur ces jours-là ? Même s'ils ont d'excellentes raisons de ne pouvoir être présents (et l'une, au moins, n'est pas du tout absentéiste, en général), pourquoi ne le signalent-ils pas en commentaire ? ne peuvent-ils imaginer qu'ils prêtent le flanc à la moquerie ?
)))))))))))))((((((((((((
(sans aucun rapport) Moi qui croyais qu'avec le raccourci clavier alt+0151 on pouvait, en tous espaces électroniques, obtenir mon cher tiret semi-cadratin, je suis bien attrapé : avec ce netbook, dont le clavier, réduit à l'essentiel, n'a pas de pavé numérique, je ne parviens pas, même en utilisant les chiffres majuscules, à obtenir le foutu caractère. Donc recours à la bonne vieille méthode DIY du copier-coller.
02:50 Publié dans Questions, parenthèses, omissions, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 11 décembre 2012
#27
Un boxeur fantasque de Coust
À sa fiancée flanquait des roust’
Jusqu’à ce que, lasse,
Elle le remplace
Par un sosie geisha de Doust’.
09:46 Publié dans Album de limericks berrichons | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 décembre 2012
W.M. 52 : Nicolas Krick
Le bienheureux Nicolas Krick
Etait un drôle de loustick.
Avant d'atteindre Lhassa,
En chemin il trépassa
En n'y entravant que couick.
18:40 Publié dans Wikimericks | Lien permanent | Commentaires (0)