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mardi, 13 novembre 2012

25 ans du Petit Faucheux, 10 novembre 2012 - Groove Catchers

J'ai bien et beaucoup dormi la nuit dernière, et me sens épuisé, n'arrive pas à m'y mettre. La nuit précédente avait été mauvaise, fragmentée, lundi a été lourd, crevé à toutes les coutures, donc je ne comprends pas. Comme je viens de dépanner, de deux clics, une collègue et amie, je peux même avoir l'illusion d'avoir commencé ma journée de travail. En écoutant le classique Free Jazz d'Ornette Coleman (cadeau d'anniversaire de ma mère - Freddie Hubbard figure aussi sur Maiden Voyage de Herbie Hancock), je décide de noter au moins quelques bribes sur le concert de samedi soir. Ce sont surtout des notes pour moi-même, mais si qui que ce soit, au Petit Faucheux, tombe sur ce billet : par pitié, arrêtez de mettre le son aussi fort ! c'est casse-pieds, ça bousille les oreilles, et ça ne met pas du tout la musique en valeur.

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Commencé — comment c'est. Dès les premiers tchatchages, on a subodoré que Bernard Lubat serait, encore une fois, pénible, ce samedi soir au Petit Faucheux. Heureusement, ça n'a pas trop tchatché, finalement, mais ce qui était joué, très free et décomposé, n'était pas enthousiasmant. Sentiment que les musiciens ne se livraient pas, déroulaient leur petit truc, informe par définition et donc sans souci formel. L'échange avec le public, suite à l'intervention d'un voisin (il a lancé "en force" à la fin de la première longue improvisation, ce que Lubat a compris, à juste titre, comme une critique), a bien montré qu'il y avait une doxa de gauche, et rien n'est plus ennuyeux que la doxa de gauche, la doxa du pseudo-chaos. Comment se fait-il qu'une esthétique qui prône la forgerie, le mouvement perpétuel, n'ait que des admirateurs figés ?

Donc, j'étais venu pour les Groove Catchers, et c'est bien eux qu'il fallait venir entendre/écouter, d'autant plus qu'ils avaient invité, sur trois morceaux (dont un quelque peu théâtral), un terrible clarinettiste et beat-boxer, Julien Stella. Ils ont donné à entendre, tous les quatre ensemble, une version de Caravan absolument renversante, bouleversante. C'était une heure très belle, très prenante, et je ne saurais assez conseiller à tous mes (hypothétiques) lecteurs d'aller écouter les Groove Catchers s'ils passent près de chez eux — et aussi sur le profil MySpace du bassiste.

lundi, 12 novembre 2012

Pont Mirabeau, lundi matin.

Mirabeau dans la brume II

dimanche, 11 novembre 2012

38, rue du Colombier

38, rue du Colombier

samedi, 10 novembre 2012

« Mickey Mantle est en train de me parler de Marcel Proust »

Le lundi soir, enfin, on a regardé Wanda – avec Alpha – le cinéma dit « d'auteur » (il vaudrait mieux dire : le cinéma alternatif, ou le cinéma à narration implicite), à onze ans, ce n'est pas commode. Magnifique film, qui résonne d'énigmes, de gestes marquants, de regards, de grains. Quelques facilités, « d'auteur », justement. Puis, le mercredi soir, dans le train, j'ai lu le petit livre de Nathalie Léger, Supplément à la vie de Barbara Loden.

 

À La Couronne : « un point aveugle sur le paysage détruit ».

À Xandeville : « d'où vient la pose, en quel lointain boudoir néandertalien a-t-elle été inventée ? »

À Laruscade : « Et sans doute, par un jour de vive lumière, un de ces jours immobiles et radieux, elle s'était tenue comme Clarissa Dalloway à quinze ans, songeuse au milieu des légumes, espérant sous le ciel, observant les oiseaux dans l'air vif d'un glorieux matin de printemps, confondant ce court instant d'effusion avec la promesse du bonheur définitif. »

À Saint-Agulin : « quand on n'a rien, dit-il, on est zéro, mieux vaut être mort ».

À Vayres, je note : Miss None - Miss Néant (((d'elle la traduction ?))). Nonne. Page 69.

À Canéjan : « le sirop grésillant des chœurs enregistrés ».

À Biganos: « ici le réel est si distordu qu'on ne plaisante pas avec le vrai, dit-il ».

À Sanguinet : « une manière de mains moites ».

À Labouheyre : « Mickey Mantle est en train de me parler de Marcel Proust ».

À Morcenx : « L'image se fige, granuleuse, imparfaite. » —— Le dos, qu'il ne faut nommer tranche, paraît-il, a jauni un peu, sous l'effet, sans doute, du soleil baignant les étagères du salon, depuis janvier.

À Rion-des-Landes : Les 138 mots de la dernière page, qui composent aussi la dernière phrase, se sont imprimés très faiblement, en regard, sur le blanc à peine grisé de la page 151.


[ Antonio Lobo Antunes n'écrira plus de roman, ce qui nous permettra de lire la poignée d'indéfrichés, ou de relire les plus beaux. ]

Angoulême

La colline d'Angoulême 
Offre au regard
La noirceur blême
D'un novembre gris blafard.

vendredi, 09 novembre 2012

Le Temps immobile — à ma manière

9 novembre 2001. Le soir, sous la neige, à Dijon, nous fêtions mon doctorat.

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Hier, trois heures de l'après-midi. ——— Après que l'urne eut été scellée sur le tombeau, Anaïs se fit un bouquet de feuilles de liquidambar — jaunes, carmin, pourpres, lie-de-vin. La journée, en quelque sorte idéale (en un sens fort), était empreinte de tendresse et de tristesse. Sur le chemin du retour, dans un wagon bondé, je trouvai, à la première page du livre, une troupe de perroquets bruyants dans un liquidambar.

 

║▒║

8 novembre 1914. Naissance de ma grand-mère paternelle.

jeudi, 08 novembre 2012

Rideau à ombres

The Closing of the Curtain

mercredi, 07 novembre 2012

Arche de septembre

Sans titre Une arche, près d'un terrain vague. Restes d'un siècle dont il n'y aura bientôt plus trace, à Tours-Nord.

La force d'un tramway fonce plus vite, hélas, que les pâles mortels.

mardi, 06 novembre 2012

1974-2012

ton souffle lourd court sur le

drap souriait fort dans

ces adieux - oh - lumineuses retrouvailles

°

j'ai conduit bouleversé

ma vie depuis le temps

lointain infini des feux dans le jardin

°

cette chambre n'est pas tout

que mon crâne te retrouve

au feu vif chronomètre métromane

lundi, 05 novembre 2012

Nez d'Apollo pap

 La proposition de M. de Boissy, combattue par M. Dumon, le ministre des travaux publics et par M. Tupinier, rapporteur de la commission qui avait examiné les projets de loi, fut rejetée apres ce discours de M. Victor Hugo.

Actes et Paroles, vol. 1. Consolidation du littoral.


       « — Qu'est-ce qu'un tupinier ? »

Pérouges (Ain), 28 août 2012. Ainsi s'interrogeait-il, avec des tirets cadratins pas possibles, invraisemblables, pas permis.

Il arborait cravate, portait faux-col, bref était plus que démodé : amidonné.

 

Oh, et quand t'auras fini de mitonner, toi ?

Heu, ça s'écrit mythonner.

Ça ne s'écrit pas, ça se dit.

Euh, ça ne se dit même plus en fait. La banlieue a évolué depuis la dernière décennie.

 

(Et par « dernière décennie », elle entendait sans doute années 90, autant dire que les à-peu-près, les glissements, les ambiguïtés étaient innombrables.)

 

Il se demandait ce qu'était un tupinier.

Il se demandait quel éditeur voudrait, un jour, un improbable jour, de son livre sur les proses de Tagore et les poèmes de Marc Lévy.

Un tupinier frappe à ma porte ; je dois aller ouvrir.

 

Gertrude, maintenant, déteste le point-virgule.

On est mal barrés.

 

dimanche, 04 novembre 2012

Savoir

Des temps que l'on embrassera,

Notre cadavre

Tendre, ce rat,

Sait qu'ils ne sont pas un havre.


samedi, 03 novembre 2012

Car,publicitaire

Des moments comme ça, vieil or et sang-de-boeuf, en est-il ailleurs?

tommy.com   Oui, et c'est pour cela qu'on va y voir.

(Je m'en avise, Messaline est une mine cachée, une mine enflée, une mine d'écriture où le sale côtoie le sel des rocs où vont brouter les animaux des hautes pâtures.)

Messaline te dévisage, dans un loden Hilfiger.

Time to go to bed.

vendredi, 02 novembre 2012

Collectif Capsul au Petit Faucheux, vendredi 26 octobre.

Vendredi soir, on s'éclate.

Arrivés à l'avance (parfois, ça bouchonne pont Mirabeau, des fois non – la prévision est difficile), avec Alpha, on va boire un chocolat chaud – nettement moins bon que celui dont je fis la découverte, rue Bernard-Palissy, l'après-midi même, avec Chandani et Isabelle – place Gaston-Pailhou, puis s'engouffre parmi les rares fidèles venus pour la deuxième soirée du collectif Capsul.

1ère partie : Omar (sous la direction du sax ténor compositeur ). Très beau, des moments très forts (plus côté Archie Shepp, voire Braxton, que côté Ornette et Steve, dont pourtant le descriptif se réclame), avant malheureusement qu'Alpha ne souffre des oreilles : final trop appuyé côté sono, batterie très chouette mais violente – entr'acte dans la rue, douleurs, fatigue. Comme il était inquiet, on est même allés aux urgences le lendemain matin (d'où le poème en textos publié avant-hier).

Omar au Petit Faucheux

On n'a pas entendu la 2ème partie, Vocuhila.

Mais on va suivre ce collectif... et ne plus aller au concert sans provision de bouchons d'oreilles.

All One Page

Autoportrait caméléon 9   Depuis la nuit de samedi à dimanche, j'ai trouvé l'axe, et je sais que je travaillerai, pour le colloque africaniste de juin, sur le recueil d'essais de Breyten Breytenbach, Notes from the Middle World. Tout en le lisant assidûment, le traduisant même pour moi-même (histoire de tenter de faire oublier les derniers massacres commis par Jean Guiloineau), je n'ai pas écrit sur B.B. depuis douze ans, je pense, depuis cet article sur All One Horse.

La page sur la traitorousness m'avait mis, vendredi, la puce à l'oreille. Le chapitre splendide sur "l'Afrikaner en tant qu'Africain" a achevé de me convaincre.

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Et ne m'ont pas empêché, l'une ou l'autre, de commettre une de ces bizarres séries d'autoportraits agités (= en agitant le smartphone).

jeudi, 01 novembre 2012

Valaoritides

(écrit le 27 octobre à 18 h 40, pour publication à la Toussaint)

 

Hier, 31 octobre, a été publié, dans ces carnets, le premier d'une nouvelle série de poèmes, les Valaoritides. Ce premier poème, "Une otalgie aux urgences", a été composé en direct à la Clinique de l'Alliance, et envoyé sous forme de textos, entre 9 h 50 et 10 h 29.

La forme en est régulière : tercets de 24 syllabes avec un découpage 7-6-11, 6-7-11, plus rarement 5-9-10 ou 6-6-12.

La composition sous forme de textos est optionnelle.


mercredi, 31 octobre 2012

Point sur les "i", botanique

Sans titre   Et le sequoïa passa.

Pas la force de chercher 12 mots à tréma.

Par la trémie d'une mangeoire, j'aurai vécu ma vie d'encre.

Une otalgie aux urgences

Tout seuls à notre arrivée

nous n'avons toutefois

pas encore vu le moindre médecin

°

On est debout dans la

salle de consultation

Cet hôpital est vraiment désespérant

°

Les chaussures bicolores

du médecin barbu

sont une goutte d'eau dans la mer absurde

°

Le docteur ausculte

se veut a priori rassurant

Ouf — symptômes ne sont pas inquiétants

°

Bon ça va rien de grave

Tests d'équilibre positifs

Probablement à gauche une hyperhémie

°

Otalgie bilatérale

à surveiller mais ce

n'est rien Les tympans, semble-t-il, sont intègres

Lézard 2

Robe inconnue.

Inconnu obéré.

Buriné, on noce. Or, bien connue. Courbe ni néon.

Bon écorné uni.

Un broc ennuie.

Encore bon uni.

Un brio énoncé. Corné ou bénin. On berce union. Benne cou noir.

Born, icône nue.

On brune icône. 

Cuire bon néon. Nonce, obier nu.

Union bec-en-or.

 

Bon coeur inné.

mardi, 30 octobre 2012

Distiques épars (de Guillaume-Franck Ribergal)

A-je t-il pas comprendu, l'Olivier j'a pense

Que pas distiques firent si j'ai en vacances.

Endroit que j'aime bien va famille nombreuse

J'a déprimu bien fort au fin fond de la Creuse.


Hugo m'est dit Didier Deschamps mal embouchure

Que j'überdégueu confiture d'épluchures.


Comme Zahia pompit moi façon Canada

Alla-je dire à Olivier M. "de nada".

 

Je pas comprire si Goscinny Uderzo

Romains c'être l'AS ou qu'alors la Lazio.

 

Maast à la crinière

 

Tout de même, imaginez-vous, la crinière pour désigner le bas-ventre, les parties génitales, le zizi quoi, la biroute. Et c’est au pays de cocagne, dessiné Guillaume Apollinaire qu’on apprend à énoncer ce genre de choses, bien le bravo. Les bovidés regardent passer les wagons. Paisiblement. En mâchonnements. Pas même estomaqués.

Qu’on les suspende en bidoche. Ça leur apprendra à écrire que la nourriture des fast food est gras double, ou qu’on se balade en forêt au milieu des amygdales.

Journée brioche, tous à vos pinceaux !


lundi, 29 octobre 2012

Le soi-disant poète du taxi, dans la neige barcelonaise

 

L'Effacement. Série, en hommage à "La Place du mort" de M. Renaud Camus.Il a tout à coup ralenti pendant quelques secondes le rythme de ses questions, mais uniquement pour faire un retour encore plus en force et me dire que l'art avait un peu à voir avec l'acquisition de la quiétude au sein du chaos. La quiétude intrinsèque aussi bien de la prière que de l'œil de l'ouragan, a-t-il rondement conclu. Puis il s'est tu complètement. Un moment poétique digne des applaudissements d'un théâtre bondé parce qu'il m'a permis de me concentrer et de penser à l'œil même de cette tempête de neige qui dévastait Barcelone. Mais il est vrai que je n'ai connu la véritable quiétude que lorsqu'il est enfin descendu du taxi.

Enrique Vila-Matas. Air de Dylan (traduction A. Gabastou). Bourgois, 2012, p. 305.

dimanche, 28 octobre 2012

Lézard 1

Pour Olivier M.

 

 

Sou libérable.

 

Se barbouille. Ou se babiller.

Brou : abeilles.

Barioles bleu.

Relu babioles. Blé à bouliers. A relu lobbies.

Brouille base. Résille boa bu.

Sole bulbaire. 

Laboures bile. Bulbe solaire.

Souiller abbé. Brûle abolies. Baliser boule. Lis ou barbelé. Oublier sable.

Réalise bol bu.

Brie : louables.

Râble éboulis.

Reboisa bulle. Elu, il absorbe. Baîller bouse. 

 

Absolue libre.


Cravate ciguë

La coiffe d'Indien est là pour faire oublier la cravate, je pense. La muralla, por la parte interior que da a las huertas, tiene un camino formado por grandes losas, especie de acera de un metro de ancho con su barandado de hierro. Chanvre d'Asie. We come to that hidden glade, under the beeches, under the hemlocks.

samedi, 27 octobre 2012

Autoportrait

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Dans cet autoportrait de 1936, Dubuffet a capturé ce regard de côté qui, durablement, ultérieurement, deviendra un regard gourmand. Et, dans les coulisses, j’ai pérennisé un système transitoire. Alors, est-ce à dire qu’un seau de cendres peut devenir un livre ?

Tout le sens me semble résider dans le contraste feutré entre le fond gris-bleu et le tissu du veston (bleu-gris ?).


vendredi, 26 octobre 2012

Petit Faucheux, 25 octobre 2012 : Air Brigitte (Capsul)

 Hier soir, c’était donc, au Petit Faucheux, le lancement du collectif Capsul.


 Etaient programmés un quartet qui a déjà tourné en Europe, Watsun, et un quintette plus local, apparemment, et qui se nomme – assez étrangement – Air Brigitte. La formation est dirigée par la claviériste (orgue Hammond et Moog, si je ne m’abuse) Emma Hocquellet, et, selon une orchestration tout aussi innovante que passionnante, du batteur Alexandre Berton, du bassiste Julien-Baptiste Rascagnères, du tromboniste Alexis Persigan et du flûtiste Thomas Quinart.

 Première chose à souligner : les compositions d’Emma Hocquellet sont excellentes, à la fois complexes et dansantes. Deuxième point, non des moindres : les cinq jouent absolument ensemble, avec une jouissance communicative. Il s’agit là d’un répertoire que l’ensemble du groupe s’approprie et fait fructifier, dans des échanges qui alternent mélodismes, noisy pop, free jazz – avec, toutefois, un sens du swing rarement maintenu à ce niveau d’évidente beauté.

 

On l’aura compris, j’ai été totalement séduit par Air Brigitte ; je suis même prêt à ne pas trouver trop ridicule le nom, qui a, au moins, le mérite d’une certaine – quoique énigmatique – recherche. (Il suffit de donner quelques rapides coups de sonde dans les noms de groupes de jazz contemporain ou de rock pour se rendre compte que cela n’a rien d’évident.) Le tromboniste – on se souvient peut-être que l’os à coulisse est un de mes instruments fétiches – est remarquable, son camarade traversier se fait entendre sans avoir à se pousser du souffle, même face aux élucubrations, toujours riches, du bassiste. (C’est sans doute Julien-Baptiste Rascagnères qui est le plus évidemment noisy : usinage et butinage sont les mamelles de la basse électrique, quand elle est comme ici à son meilleur.)

Cerise sur le gâteau, j’avais achevé, à l’entracte, la lecture du dernier livre de Nathalie Quintane – Crâne chaud –, lequel est constitué, en grande partie, de conversations imaginaires avec Brigitte Lahaie. Aussi, avec mon crâne chauve, ma gorge catarrheuse, étais-je tout ouïe pour Air Brigitte.


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On s'offusquera peut-être de l'absence de tout commentaire sur Watsun. Qu'on ne se méprenne : j'ai bien aimé la première partie de soirée, notamment le saxophoniste, Romain Mercier (excellent), et la section rythmique. Mais la guitare électrique, instrument qui m'ennuie rapidement en jazz, penchait du côté non rythmique, chaloupé, et (pour tout dire) interminable.

Par ailleurs, note to self, je suis allé aussi au Petit Faucheux les deux derniers vendredis, et n'en ai (encore ?) rien écrit.


jeudi, 25 octobre 2012

La Journée du babouin

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