mercredi, 11 mars 2020
Partage des eaux
Matin : cours de trois heures très vivant avec 5 étudiant-es de M1 (seulement). De toute évidence, tout le monde commence à comprendre ce que je dis depuis plus d'une semaine : la fermeture des écoles et universités est proche, et la situation est très grave.
Soir : pour la première fois depuis la rentrée de février, c'est C* qui se charge d'emmener O*** au conservatoire. J'y suis allé 6 fois entre lundi 2 et mardi 10 ! Elle a été malade et accaparée par le travail. Et de toute façon tout ceci risque d'être très perturbé si la France se retrouve dans la même situation que l'Italie.
18:30 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 10 mars 2020
*1003*
Parmi les très nombreuses choses que je devais organiser pour avril et même pour plus tard, et dont j'ignore si elles pourront avoir lieu, il y a la rencontre avec Corinna Gepner, que j'ai commencé à préparer avec les étudiant-es d'échange mais aussi avec les étudiant-es de M1. Quel dommage de ne pouvoir réellement lancer cela.
Déjà, le 29 janvier dernier, mais pour d'autres raisons (à l'époque, c'était la fermeture du site Tanneurs, pas la crise sanitaire du Covid19), j'ai dû annuler la rencontre avec l'éditeur Benoît Verhille et la directrice de collection Anna Rizzello.
Il y a aussi le tour de France de l'écrivain Charles Yu, vers juin. Je ne vois plus très bien comment articuler cela avec l'année universitaire, qui risque d'être très perturbée. De manière inimaginable, même.
08:19 Publié dans *2020*, Lect(o)ures, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 09 mars 2020
Début de la fin ?
Aujourd'hui, c'était peut-être le dernier cours de traduction pour étudiant-es d'échange avant longtemps. Certains fuient la France, m'écrivent pour dire qu'ils rentrent en Chine, au Canada, me saluent pour mon sérieux, ma disponibilité et mon humour. Cela fait plaisir, tout en ressemblant aux formules des rubriques nécrologiques.
Speaking of which, je ne suis pas allé aux obsèques de mon ancien collègue E***, pour plusieurs raisons mais notamment parce qu'il faut commencer à éviter absolument tous les lieux de rassemblement. Le gouvernement est irresponsable de ne pas avoir encore fermé les écoles et les universités, mais on y viendra certainement, au confinement total, comme en Italie.
17:01 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 08 mars 2020
Droits des femmes, sexisme
Aujourd'hui, il faut absolument que je relance le projet des 29 contemporaines : il ne reste que huit capsules à enregistrer, et j'ai interrompu cela depuis deux semaines.
C'est ridicule. Comme l'est, généralement, ma tendance, à ne pas achever de tels projets alors que le but n'est plus si loin.
L'enquête de l'ONU sur le sexisme, qui se fonde sur des données collectées dans 75 pays, m'a effaré. Que 28% des personnes interrogées trouvent normal qu'un époux batte sa femme, ou que 40% des sondé·es soient convaincu·es que les hommes soient de meilleurs dirigeants politiques, ça montre que le chemin est encore trèèèèès long.
06:48 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 07 mars 2020
Ce qui m'advient encore
Aujourd'hui, chose rare, O*** avait une répétition au conservatoire en début d'après-midi. Je serai donc allé quatre fois cette semaine dans le quartier de la cathédrale. Aujourd'hui, nous avons déjeuné à la Grange des Celtes, puis, après un petit tour place François-Sicard (O*** ne se rappelait pas la statue de Michel Colombe), je suis allé – O*** déposé à sa répétition – acheter des disques à la FNAC, puis lire sans manteau, au soleil, sur un banc des jardins de l'archevêché.
Je me suis rappelé que cela fait cinq ans et demi qu'O*** a commencé à suivre les cours du conservatoire : actuellement, avec l'inscription en Hors Temps Scolaire, cela représente 2 heures de formation musicale (le mardi de 18 à 20), deux leçons individuelles de hautbois de 25 minutes chacune (le lundi à 17 h 20 et le mercredi à 18 h 15), une séance d'orchestre (le mercredi de 18 h 45 à 20 h).
Il ya cinq ans et demi, après les deux années d'initiation dans l'ancienne école désaffectée proche de l'avenue de l'Europe (je me suis rappelé hier que c'est le dernier endroit où j'ai vu les pains ovoïdes de savon senteur citron dont quelqu'un a publié sur Twitter une photographie à intention humoristique dans le contexte du Covid19), il y a cinq ans et demi, donc, j'avais commencé à publier dans la rubrique Ce qui m'advient les textes que j'écrivais le lundi soir de cinq à sept, pendant que j'attendais O***, lui alors à sa leçon de formation musicale + chant choral (si mes souvenirs sont bons).
L'objectif de cette rubrique était de travailler, chaque semaine, à partir d'un chronotope : le lundi de 5 à 7 + les lieux où l'on attend pendant qu'un enfant suit ses cours du conservatoire rue Jules-Simon. Les années suivantes le chronotope a bougé un peu, puis la rubrique elle-même, fatalement, s'est effilochée.
Je me suis rendu compte, aussi, qu'A***, notre fils aîné, avait alors le même âge qu'O*** aujourd'hui.
Après la lecture dans le jardin du Musée des Beaux-Arts, j'ai un peu déambulé, trouvé non sans mal un café ouvert, continué ma lecture (Les Porteurs d'eau d'Atiq Rahimi) sur la grosse bûche entre le pavillon principal du site Jules-Simon et la salle du Pré.
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Soir : Angleterre/Galles. J'avais pronostiqué, quand O*** m'a questionné lors du déjeuner, 32-22 : au début des arrêts de jeu, le score était de 33-23. Un bel essai gallois de dernière minute a pulvérisé mon pronostic.
Outlander, deux épisodes. Ce con de Jamie a latté ce con de Robert en lui défonçant la gueule : la masculinité en prend pour son grade, en un sens, dans cette série.
Écouté les disques achetés : Suzane, le dernier Murat, le dernier Agnès Obel, le disque de Sophie Alour avec Mohamed Abozekry, un jeune oudiste fort talentueux. [Je ne comprends pas pourquoi S. Alour, après ou comme tant d'autres saxophonistes, s'évertue à jouer de la flûte traversière. Le spectre bifrons de Coltrane et Dolphy ?]
23:30 Publié dans *2020*, Autoportraiture, Autres gammes, Ce qui m'advient, Jazeur méridional, Moments de Tours, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (2)
vendredi, 06 mars 2020
Voyages dans le temps
Pas le courage d'attendre les 2 semaines au terme desquelles les infiltrations de mardi feront peut-être de l'effet : je commence ce soir le traitement anti-inflammatoire prescrit par la rhumatologue le 29 janvier (oui, je sais, je ne suis “pas très médicaments”).
Outlander, saison 4, épisode dans lequel Brianna et Roger traversent les pierres. Coïncidemment, reçu de l'éditeur Aux Forges de Vulcain (merciii !) les quatre livres traduits à ce jour de Charles Yu, dont son premier, qui tourne autour des voyages dans le temps.
18:48 Publié dans *2020*, La Marquise marquée, Ping-pong | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 05 mars 2020
*0503*
Journée de repos à lire, à préparer des cours.
La pandémie de Covid19 est d'ores et déjà là. L'incompétence du gouvernement se manifeste dans toute sa splendeur. L'abandon de l'hôpital public, sacrifié sur l'autel des profits économiques, que dénoncent les grévistes et soignant·es en lutte depuis plus d'un an, va sauter aux yeux de tout un chacun.
Blanquer dit simultanément que les enfants sont les vecteurs les plus efficaces du virus mais qu'il est hors de question de fermer les établissements scolaires. Ce type préférera voir crever deux millions de gens plutôt que de paraître faire un cadeau aux profs.
Sur France Info un épidémiologue confirme qu'il est impossible de savoir s'il n'y aura pas des milliers de nouveaux cas en quelques jours. il prenait l'exemple des transports publics parisiens, et ses suggestions étaient tout bonnement apocalyptiques.
13:13 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 04 mars 2020
Caloniz Herminia, Cristina
Fini de lire, ce soir dans la salle d'attente du conservatoire, un livre aussi ébouriffant qu'éblouissant, dont je reparlerai prochainement en vidéo, Cristina de Caloniz Herminia, publié aux éditions du Réalgar.
En quatre parties, de 12, 14, 13 et 11 pages respectivement le texte suit les méandres d'une figure / personnalité / personnage / femme de sa “petite enfance” à sa “jeunesse”. Ce poème en prose, ni narratif ni lyrique au sens strict, réussit donc à retravailler le matériau du Bildungsroman d'une façon radicalement singulière.
Très entre autres, il y a, dans ce livre, une attention aux plantes, notamment aux arbres, qui passe certes par le langage (je veux dire : qui est avant tout expressive), mais qui est puissamment évocatrice. Et puis, ce n'est pas si souvent que je lis un livre qui évoque nèfles et néfliers !
*** Brève recension par J.-P. Gavard-Perret ***
* Analyse approfondie de Lionel-Édouard Martin *
20:24 Publié dans *2020*, Chèvre, aucun risque, Flèche inversée vers les carnétoiles, Lect(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 03 mars 2020
Infiltré
Ce matin, infiltrations dans un cabinet de radiologie sis derrière le cinéma CGR Centre.
La secrétaire qui m'a reçu n'était autre que la mère de B., camarade de classe d'A*** de la maternelle à la sixième puis élève de C* en classe de première.
Il est rare que je me promène dans ce coin-là de Tours, et c'est à tort. D'ailleurs, je ne me promène plus guère, et c'est à tort : pourvu que les infiltrations me débarrassent des effets les plus aigus de cette foutue lombalgie/tendinite qui me casse les pieds depuis avril.
10:10 Publié dans *2020*, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 02 mars 2020
Tout oublier
Aujourd'hui, maussade, triste, pas inspiré.
En cours de traduction pour étudiant·es d'échange, on traduisait un article sur le réchauffement climatique et les stations de ski françaises. En guise de prolongement culturel, comme j'essaie toujours de m'y contraindre, je n'ai pas trouvé mieux que le clip de Tout oublier*.
Si j'en crois le rapide tour de classe, seule une minorité de mes soixante étudiant·es avait entendu parler d'Angèle, ce qui semble démontrer qu'ils/elles ne fréquentent pas tant que ça les étudiant·es français·es, ou que ce n'est pas sur les goûts musicaux que roule alors la conversation, ou qu'Angèle n'est pas si populaire qu'on pourrait le croire (gare aux filter bubbles).
* Pas mieux, car je préfère faire découvrir des choses à ces étudiant·es qui ne passent qu'un ou deux semestres en France, mais apparemment c'était une découverte. Sinon, je suis convaincu que le clip parle bel et bien, de façon détournée certes, du réchauffement climatique et de la consommation de masse.
17:00 Publié dans *2020*, Autres gammes, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 01 mars 2020
Mort d'un ami
1er mars, oui, mais dernier jour de vacances.
Ultime en tant de sens. Juste avant d'éteindre la lampe j'ai appris la mort d'un ex-collègue dont je fus assez proche, à mes débuts tourangeaux, et dont j'ignorais qu'il fût malade.
Il avait quelques années de plus que moi; il écrivait.
Impossible de dire que nous étions amis, puisqu'on s'était perdu de vue depuis des années. Pourtant, tant de discussions « remontent ».
23:11 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 29 février 2020
Bissextile
Soirée : après la visite (la combientième, pour moi ? impossible de le dire) du prieuré Saint-Cosme, un long petit délire sur les alexandrins imprévus.
Le matin, quand j'étais le seul réveillé, glané une pépite, en cherchant des artistes nés le 29 février : un air de Rossini (né le 29 février 1792) chanté par la soprano afro-américaine Reri Grist (qui fête aujourd'hui ses 88 ans).
Et aussi ce poème amusant de Howard Nemerov*.
* Aucun like ni partage sur Twitter à la date du 2 mars.
23:04 Publié dans *2020*, Autres gammes, Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 28 février 2020
Retrouvailles
De tout et de rien.
Elvire et Jacques sont arrivés, pour le dîner. Cela faisait un an et demi qu'on ne s'était pas vus.
22:04 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 27 février 2020
*2702*
Mes parents sont repartis, pour Cesson.
Ils sont finalement restés déjeuner : temps infect, aucune envie de prendre le chemin des écoliers.
C'est étrange, ces métaphores...
Continué de ranger le sous-sol, avec les deux nouveaux meubles.
20:00 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 26 février 2020
Grotte aux fées
Entre autres choses passionnantes (allers-retours à la déchetterie, rangement à la buanderie, achat de deux meubles d'occasion à la Brocanthèque), nous aurons tout de même montré à ma mère, qui n'y était jamais allée, le très beau dolmen de la Grotte aux fées, tout près, dont on croit souvent qu'il se trouve sur la commune de Mettray alors qu'il est en fait à Saint-Antoine-du-Rocher.
Nous n'y allons pas très souvent, il est vrai.
La première visite, de mémoire, fut il y a bientôt 15 ans, au début de l'été 2005, en pleine effervescence de création de ce blog.
A*** avait un sweat orange, quatre ans à peine.
19:20 Publié dans *2020*, Blême mêmoire, Sites et lieux d'Indre-et-Loire, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 25 février 2020
Lost Paths
Levé tôt, 6 h 30 encore, après une heure à tourner dans le lit avec la migraine (pas passée depuis hier soir malgré le Doliprane).
Hier, mal toute la journée. Pas rattrapé le retard dans les vidéos des 29 CONTEMPORAINES, ni dans le projet Scarlatti.
Passé au Livre. — En contexte littéraire il faut que je m'interdise totalement d'employer (je ne le fais guère, cela dit) le nom dispositif : composition, oui.
Je ne sais pas pourquoi la vérification orthographique de la plateforme de blog souligne dispositif.
Ce matin, je regarde la dernière vidéo d'Azélie Fayolle. Et comme elle parle de Lynch d'une façon (pour moi) novatrice, je me fais la réflexion que Lynch fait partie de ces artistes dont j'adore une partie de la production (Eraserhead, Elephant Man, Lost Highway) et dont j'ai trouvé le reste quasi irregardable.
08:01 Publié dans *2020*, Tographe | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 24 février 2020
*2402*
Levé à 6 h 30 Impression d'avoir mieux dormi.
Aujourd'hui, des tonnes de choses à faire, dont aller vider le verre à recycler. (Phrase ironique à double détente, hein.)
07:41 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 23 février 2020
« rayures du canapé »
rayures du canapé,
pour personne, pour
moi le teint fripé
perdu par désamour,
finement pas grippé
finalement l'assour
dissant aussi stupé
fiant échec (1 four
) de mes tentatives
textuelles captives
à dénombrer des thè
mes pas consensuels
(& poèmes pas bruels
) où victoire = nikè
07:00 Publié dans *2020*, Twitsonnets arithmogrammatiques | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 22 février 2020
21, and counting
Regardé le match Galles/France, à la fois impressionnant et stressant.
Peu de rangement, des bricoles.
Fatigué.
Parties de belotes, ça oui.
Du retard, finalement, sur mes vidéos des 29 contemporaines. Je crois que personne ne remarquera rien.
21:00 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 21 février 2020
*2102*
Nous avons déjà bien rangé et fait le ménage dans la maison de Hagetmau.
En 2 jours : des allers-retours à la déchetterie (des centaines de livres simplement jetés, pas d'autre issue (ils étaient sales ou jaunis ou tout simplement sans intérêt)), à Landes Partage... et des dizaines de sacs et de cartons préparés en vue du déménagement...
O*** a eu un coup de blues hier soir. C'est normal : moi-même, ça me fait quelque chose de quitter bientôt, pour toujours, cette maison que je connais depuis 1992 et où j'aurai donc vécu, par phases, 28 ans. C***, elle, y a vécu toute son enfance et toute son adolescence. Mais on ne peut plus s'en occuper comme il le faudrait, et avoir trouvé un acheteur relève presque du miracle.
(On y croira quand ça sera signé, ou en tout cas, déjà, dix jours après la signature du compromis.)
21:41 Publié dans *2020*, Depuis le temps..., Hors Touraine | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 20 février 2020
*2002*
Levé à 6 h 35. Cela s'améliore, ces temps-ci.
Je découvre, grâce à Laelia Véron sur Twitter, qu'un certain nombre d'auditeurs (et -rices, sans doute) de Radio France et l'Académie française considèrent les interrogatives en "est-ce que" comme relâchées. Non seulement c'est absurde et contraire tant à l'histoire de la langue qu'à l'observation usuelle, mais je tombe aussi des nues. En effet, j'enseigne toujours, et notamment à mes étudiant-es d'échange allophones, que la seule tournure relâchée est la phrase déclarative avec intonation montante : Tu viendras ?
Viendras-tu ? : soutenu
Est-ce que tu viendras ? : courant (voire difficile à pratiquer convenablement)
... au point que je me demande si ce ne sont pas les interrogatives indirectes en "est-ce que" qui étaient dans le collimateur de ces auditrices (et -teurs) :
Je voudrais savoir est-ce que tu viendras. (Aaaargh.)
Je te demande est-ce que tu sais. (Re-aaaaargh.)
07:06 Publié dans *2020*, Indignations, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 19 février 2020
*1902*
Dernier jour à Cagnotte. Temps changeant.
Avant de partir, dernier tour de la Salamandre avec ma mère.
O***, dont le rhume semble se relâcher, a pu faire son hautbois, déchiffrer ses mouvements de Haendel.
Après-midi à Hagetmau : début de rangement (disques, B.D., dépôt massif à la boîte à livres).
Soir : saison 4 de Outlander, épisodes 2 et 3 (un peu meilleurs que le 1).
23:16 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 18 février 2020
*1802*
La journée s'est passée en diverses glandouilles.
En soirée, partie de Loups-garous en famille.
22:25 Publié dans *2020*, Hors Touraine | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 17 février 2020
Demain
Demain je publierai un billet bref composé de deux alexandrins.
Comment puis-je annoncer cela ?
Mais parce que je triche, pardi !
Dans l'autre blog, il y a une rubrique Aujourd'hier : si mes souvenirs sont bons, j'y publiais des billets rédigés la veille.
L'inverse donc d'aujeurd'hui.
07:25 Publié dans *2020*, Aphorismes (Ex-exabrupto) | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 16 février 2020
Avec Durosoir
Levé à 7 h. Mal au dos. Il va encore faire un temps superbe.
J’écoute un nouveau disque d’œuvres de Lucien Durosoir que ma mère vient de m’offrir. Idylle, quatuor pour flûte, clarinette, cor et basson, est une pièce particulièrement réussie. Très bien aussi, les duos et trios avec violoncelle (« Maïade », ça me parle forcément, en bon Landais que je suis). Je suis moins convaincu, en général, par ses œuvres vocales. (Je rappelle ici que, pour moi, ses Quatuors sont au sommet, avec les plus beaux du répertoire.)
10:28 Publié dans *2020*, Autres gammes | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 15 février 2020
*1502*
Milieu du mois (février bissextile). En route, beaucoup de camions soudainement entre Barbezieux et Bordeaux, puis autour de Bordeaux travaux, rétrécissements à 1 voie, donc ralentissements, bouchons, l’élastique pendant une demi-heure (au lieu de 10 minutes ?). Belle victoire de l’UBB sur Lyon, décidée grâce à 2 essais et 1 pénalité dans les 7 ou 8 dernières minutes. Match étonnant entre Amiens et le PSG : à 3-0 pour Amiens c’était parti pour un gros coup – finalement 4-4.
19:29 Publié dans *2020* | Lien permanent | Commentaires (0)