Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 03 octobre 2005

Au questionnaire de Fuligineuse

Fuligineuse me/nous pose sept questions.

Dont voici, me concernant, les réponses:

1) J'écris presque tous les jours, et je publie tous les jours.

2) Les deux, mon commandant. J'aime la publication spontanée (qui se repère aisément grâce aux chiffres non ronds dans le module "heure" sur H&F) et la publication programmée (avec, de ma part, de savants calculs dans l'échelonnement des publications au cours d'une seule et même journée). Cette note, en cours d'écriture à 13 h 50, quand la publierai-je?

3) Jamais de brouillon dans le site lui-même, mais des brouillons sous Word, oui, pour les plus longues notes, ou quand je n'ai pas d'accès à la connexion.

4) Je conserve les documents Word matriciels, et parfois fais des copies .html des pages du carnet de toile.

5) Les deux, mon adjudante.

6) J'essaie de répondre, et il m'arrive d'écrire de longues notes en réponse aux commentaires les plus complexes (n'est-ce pas?).

7) Ah, Guillaume et les images... That's a long story...

***

Addendum du 5 octobre: Fuligineuse publiait hier un bilan de l'enquête.

jeudi, 29 septembre 2005

Fin de journée

A une minute près, je publiais la note précédente à 22 heures 22... Raaaah...

Content de ma journée, d'autant que j'ai bien avancé les travaux de préparation du séminaire sur les formes de l'humour britannique qui commence lundi prochain.

Pas lu encore ce soir, mais je me suis offert, dans l'après-midi, une petite pause consacrée à parcourir les blogs habituels.

Irène (qui ne s'appelle pas ainsi, mais c'est le pseudonyme que je lui ai attribué et qu'elle semble assumer) se décide à écrire des commentaires ici, et VS a rédigé une longue réponse au test.

Jeu de Livy, II

Je vous invite à lire une note du VP, et la déferlante de commentaires qui se sont ensuivis à propos du jeu de Livy (qui n'émane pas originellement de Livy, mais bon, jouer les archéologues me fatigue).

Sur un pissenlit imaginé par Simon

A moins qu'un songe ne l'annule

Ou que le vert flou ne s'en li-

Bère, voici un pissenlit

A n'exhiber que la lunule.

Un jeudi de fin septembre vers huit heures

Ce matin, avec la pluie fine enfin berçant nos visages, il a fallu amener A. à son école avec la voiture, alors que, bien entendu, il tient très fort à la promenade à pied. Hier en fin d’après-midi, vers cinq heures, nous avions fait cette même promenade en vélo, jusqu’au « chantier de l’école », dixit A. J’en ai profité pour prendre quelques images de “mon quartier”, où il n’y a décidément, pas de quoi se rincer l’œil, pas grand-chose à sauver.

 

Samedi dernier, j’ai reçu une carte extrêmement gentille et même flatteuse de Valérie (VS). Il faut absolument que je retrouve, dans mes fichiers, la photographie que j’ai promis de lui envoyer depuis bientôt trois mois. La carte représente un lieu pittoresque à Chü-Chü, par Wang Mong. Dois-je avouer mon ignorance totale en ce qui concerne cet artiste ? Les divers carmins des arbres, le plissé des rocs, certaines fugitives figures anthropomorphiques dans ces mêmes rocs, tout cela me réjouit profondément, et mériterait d’en voir l’original. Et ces méandres en écailles, est-ce un torrent qui glisse et s’étend de plus en plus vers le bas de l’image ?

 

Hier, j’ai reçu l’album de Kevin Mark, Rolling the Dice (2004), envoyé gracieusement par François Thiffault et accompagné d’un petit mot signé de Kevin Mark, me remerciant de mes commentaires, ce qui est un comble quand on sait que je n’avais pas été tendre (litote!) avec son groupe il y a une quinzaine. De fait, le disque est nettement plus convaincant que la prestation sur scène au off de Montlouis ; j’en reparlerai en essayant de maintenir un avis aussi peu influencé que possible par la gentillesse du cadeau.

mercredi, 28 septembre 2005

...115...

Il y a 115 ans, le 28 septembre 1890, était inaugurée, sur l’esplanade de La Côte-Saint-André, ville natale du musicien, la statue de Hector Berlioz ; à ce sujet, un amusant article de l’époque s’interroge sur la statuomanie galopante. C’est « un ridicule qui nous sauve de l’ingratitude », écrivait alors Louis Bassette, dans Grenoble-Revue, et je crois qu’il y aurait beaucoup à dire sur ce thème du ridicule fertile, dont Simon propose sa vision ces jours-ci par le biais d’un syllogisme.

 

mardi, 27 septembre 2005

Jeu de blog

Un jeu suggéré par Livy:

1. Go into your archive / allez dans vos archives
2. Find your 23rd post  / retrouvez la 23e note
3. Find the fifth sentence / choisissez la 5e phrase
4. Post the text of the sentence in your blog along with these instructions / afficher le texte entier ainsi que les instructions.
5. Tag five people to do the same / Demander à 5 personnes d'en faire autant.

 

Ce qui donne ceci:

Nulle promenade, ce matin, sur les bords de Loire ou au Jardin botanique, mais mon fils a joué longtemps au paléontologue, dans la cour de graviers. (Source...)

J'aimerais que Philippe[s], la Jeune Divorcée, l'auteur du blog consacré à The Good Soldier, Dominique et le Vrai Parisien participent aussi à ce jeu.

samedi, 24 septembre 2005

Extension du domaine de la Touraine

Juste un petit mot, entre deux phases d'ensevelissement sous le travail, afin de signaler que je suis maintenant inscrit, comme Marione et à son instigation, à la communauté Ligérienne.

vendredi, 23 septembre 2005

Moins que jamais serein

Les trois dernières journées ont vu la culmination de ces trois dernières semaines de folie, à l’université, où j’ai passé mon temps à des tâches aussi multiples que minutieuses et, comment dirais-je, marquées du sceau de la matérialité la plus quotidienne. C’était mercredi la réunion de rentrée des différentes composantes et années, et, en tant que responsable de deux cycles distincts, je n’ai pas cessé d’éteindre le feu ici et là… Depuis avant-hier après-midi, où je présidais à la remise des emplois du temps de L3 Anglais, j’ai rencontré au moins soixante-dix étudiants en entretien privé pour x demandes aussi variées qu’inextricables. J’en passe et des meilleures.

Pendant ce quasi-mois à me démener pour que la rentrée ait lieu dans les meilleures conditions possibles, ma recherche n’a évidemment pas avancé (j’avais deux articles à rendre, et baste…) et je ne dis rien des préparations de cours, lesquels seront pourtant assurés dès lundi avec verve et, je l’espère, brio ; en tout cas, ils seront prêts. J’ai tout de même créé, hier, en quelques minutes, un blog pour ces cours du premier semestre 2005 : il s’appelle Cours 2005, tout simplement.

Ce soir, je me rends à la réunion des parents de l’école maternelle.

 

********

 

Je m’interroge souvent sur le titre Touraine sereine, qui désigne un carnet de toile dans lequel il n’est pas toujours (souvent) question de Touraine, et dont l’auteur est aux antipodes de la sérénité. J’aime les moments sereins, les instants de sérénité, mais mon tempérament ne les facilite pas.

 

samedi, 17 septembre 2005

Finalement...

... le carnétoile n'a pas suspendu son vol.

mercredi, 14 septembre 2005

Amiel et son journal

Que Philippe Lejeune et son site Autopacte soient remerciés de me permettre le copier-coller ci-dessous, qui démontre qu'il y a cent-cinquante-trois ans, pas un jour de moins, Henri-Frédéric Amiel s'interrogeait comme je ne cesse de le faire:

14 septembre 1852

 Je viens de feuilleter le cahier précédent de ce journal. L'ensemble m'a ennuyé. Ce parlage égotiste m'a paru efféminé, fastidieux, amollissant : il m'a pris trop de temps et de place. Puis il y a aussi trop de faits insignifiants. Cette vie virtuelle, ineffective, rentrée pour ainsi dire, m'a semblé dériver de la faiblesse, et prêter un oreiller à ma paresse d'action.

mardi, 13 septembre 2005

Holocaust Day

Si vous lisez l'anglais, cet article-ci, démentiellement consternant, vous apprendra les projets actuels du gouvernement britannique, qui viseraient à supprimer Holocaust Day, afin de ne pas froisser certaines susceptibilités islamiques. L'idée de commémorer les exactions contre les palestiniens ou d'autres tentatives de génocide, pourquoi pas? Mais vouloir alléger les commémorations de la Shoah, voilà qui me semble aller à contresens: c'est plus de profondeur et de complexité historique qu'il faut pour adoucir les rancoeurs, pas ces petits rafistolages de complaisance.

Merci à Livy d'avoir attiré mon attention sur cet article, dont j'ignorais tout. (Comme par hasard, l'article date du 11 septembre. Yuck!)

 

lundi, 12 septembre 2005

In kind homage to Jacques

  I have been half in love with easeful death.
It is sad that friends have been attacked by anonymous bastards on the Web are about to give up writing these beautiful texts of theirs, or at least that they will give up publishing them in their blogs.  This is what I mean: I was very sorry to read yesterday night in Jacques’ blog that he could no longer stand being dragged in the mud and that he would no longer take part in this beautifully creative activity known as literary blogging.
I don't know why exactly these words are coming out in English, or why I feel the need to express myself in this foreign tongue, with words that I have never fully made mine.  It is all the more surprising since Jacques himself never writes in English, and since we have always exchanged views and opinions in our native language.
Jacques is the author of the beautiful blog entitled Les mots ont un sens, one of the very few which triggered my own desire to create this very site. He is an admirable writer, and it is a shame that frustrated morons should have wounded him so deeply.  It is wrong to say, as a French proverb has it, that venom spit out by toads will never reach doves in their sanctified purity.  I have experienced this feeling of being slandered by incompetent lunatics, and I can only testify that it is often wounding, no matter how hard you try to dismiss false accusations and nonsensical serendipitous trash.
I can only imagine that Jacques will not change his mind now, that he has had it, that he is completely fed up with silly debates, that he is over and done with blogging, and I can very well understand its position, because, like him, I like writing and sharing my writing with others, but this is only one tiny part of my creative and noncreative life, so that I do not need (and neither does he) this activity to fill any kind of vacuum, unlike the two or three idiots who understand nothing and keep writing offensive sentences on the Web because there is no beauty, no joy, no happiness in their ludicrous lives. If the pleasure felt in blogging is tarnished by numerous mindless intricate arguments such as those created by the aforesaid idiots, the temptation to give up is great indeed, and I'm sure that Jacques will be very happy and busy and creatively lazy now that he has taken the decision not to go on with blogging.

dimanche, 04 septembre 2005

Intellect

Je suis tombé, tout à fait hasard, sur le blog d'Yrys, et plus précisément sur une note intitulée Adverbes. Bon, ce n'est pas terrible, et ce ne sont ni la culture ni l'intelligence qui l'étouffent...

Mais le pire, c'est quand même ce commentaire d'un lecteur ou d'une lectrice: "Désintellectualise ta vie..." Comme ânerie, on a rarement fait mieux. Quelle est la proposition, ici? De retourner à l'état du pré-primate? D'arrêter de réfléchir? Je ne sais pas si c'est l'influence du sport ou des revues de psychologie à deux balles*, ou les deux, mais on vit dans un drôle de monde...


................
* Psychologie à deux balles, bien sûr. Les revues, elles, sont en général aussi onéreuses qu'imbéciles. Mais si, vous savez: ces revues dont la couverture arbore des slogans du style "Comment être soi-même", "Le karma du loisir", ou "Sommes-nous tous hermaphrodites?".
Il faudrait inventer une rubrique "Le cortex sans complexes". Mince, ce n'est pas une tare d'avoir un cerveau et de s'en servir!

vendredi, 02 septembre 2005

Contrée sauve

Vendredi soir, huit heures et demie.

J’écris ces lignes sans avoir encore pris connaissance de ce qui a pu s’écrire sur mon carnet de toile. La rentrée en moyenne section s’est bien passée pour A. Journée presque torride, ce qui fut très agréable.

Un peu avant midi, sur France Info, j’ai entendu la journaliste qui annonçait les titres puis développait les informations, parler, à propos d’un système de cartes à puces électronique testé dans un canton de l’Ardèche, des “cinq-z-écoles du canton”. Une camarade de promo de Sylvain Cottin, certainement.

Tout, dans la presse, ne bruit que des syndicats d’enseignants, qui s’apprêteraient à faire passer une sale rentrée à Gilles de Robien, le ministre de l’Education nationale. Pourtant, aucun spécialiste (et pas même, ce matin sur la même antenne, l’immarcescible Emmanuel Davidenkoff, que j’ai connu plus inspiré) ne relève que le gouvernement a fait promulguer, durant les vacances, une loi tout à fait douteuse, qui permettra, à partir du 1er janvier, aux chefs d’établissements du secondaire de demander à des collègues de remplacer, quasiment au pied levé, des collègues absents, et ce même dans une autre matière.

Collèges et lycées se transforment définitivement en garderies, cela ne gêne personne, et pas trop, je pense, cet éditorialiste des Dernières Nouvelles d’Alsace, je crois, dont je n’ai pas retenu le nom, et qui cosigne avec son épouse un ouvrage, fort polémique nous assure-t-on, sur les dysfonctionnements de l’école primaire. Interrogé, toujours sur France Info (j’ai pris aujourd’hui ma dose de radiophonie casse-pieds pour quelques semaines), il ne parle que de toilettes malpropres, de petits détails qui ont certes leur importance et peuvent gâcher quelque peu la vie des élèves, mais enfin, moi qui m’imaginais (naïvement) qu’il allait enfin se trouver un représentant médiatique des surpuissants « parents d’élèves » pour déplorer la faible transmission des savoirs, la surenchère dans la pédagogie différenciée la plus inepte, la profusion d’activités sans doute attrayantes (poterie, journal d’école, venue de conteurs et autres charlatans musicaux, sorties incessantes) mais qui n’ont lieu qu’au détriment de l’apprentissage de savoirs, et surtout, au détriment de l’habitude d’horaires de travail fixes, eh bien, je m’imaginais cela et j’ai dû me fourrer le doigt dans l’œil… Enfin, je n’ai pas retenu le nom de ce monsieur, ni le titre de son ouvrage, mais je vais vérifier mes sources, d’autant plus qu’il a pu être entraîné sur une voie de garage par son interlocuteur et qu’ils parlent donc peut-être tout de même, son épouse et lui, du grand charcutage auquel on se livre depuis deux ou trois décennies sur l’école publique.

Des moyens pour des projets insensés, ça, il y en a : le cartable électronique par exemple (un portable offert à chaque élève de 3ème dans le cadre de sa scolarité, expérience-pilote tentée par Henri Emmanuelli dans les Landes il y a quelques années et démagogiquement reprise en chœur par tant d’édiles parce que ça plaît aux électeurs, aux parents, ou peut-être même parce que ces élus qui vantent cette idée idiote y croient vraiment (et c’est ce que je souhaite vivement, car j’ai lu que M. Romero, que j’admire, la reprenait à son compte)). Je lisais récemment, sur un blog au demeurant très intéressant, que l’école publique était décrochée des réalités sociales, ou quelque chose d’approchant : eh bien, je n’en suis pas si sûr, et je le déplore. Plus on cherche à faire correspondre le contenu des formations à la réalité sociale, plus on évacue les savoirs et plus on renforce cette satanée « fracture sociale » dont notre bien-aimé Président avait fait son petit slogan avant d’oublier même le sens de l’expression, si tant est qu’il l’ait jamais connu…

Bon, j’arrête là mes salades… ou de vider mon panier…

L'instar

De vertes plaines arborées, où un chemin se décolore. Une nuée de rides, aux mondes effarés. Une brise lactée, dont l'odeur m'environne. Une boule de feu, qui nous emportera.

A lire...

Je voulais juste signaler, en une phrase, le blog de Dominique Autié, très bien conçu, illustré, écrit, et d'une structure très ludique.

mercredi, 31 août 2005

Palindromes

L'un des liens les plus manifestes, pour moi, entre chiffres et lettres, entre nombres et mots, se trouve dans la succession des chiffres à l'intérieur d'un nombre, et particulièrement dans le palindrome, ce qui me permet, du même coup de vous informer que ce carnétoile a reçu hier la visite de 191 internautes.

Lignes Corail

Bref ancrage dans l'actualité, à l'occasion de ma découverte du blog des usagers de la ligne Le Mans - Tours: il est scandaleux de voir l'Etat chercher à se désengager de ses missions de service public au mépris de lignes efficaces, quand tout ne bruit, en tous lieux, que de l'impérieuse nécessité de réduire le trafic routier, l'insécurité routière, la consommation de pétrole etc. Ce que je viens d'écrire est banal (et c'est aussi pour cela que j'écris rarement sur des sujets politiques, car je redoute de vous accabler avec la banalité de mes vues).

mardi, 30 août 2005

Epigraphe

Nous, Olivier** de Clisson
Et Marc-Antoine Charpentier,
Ensemble nous nous éjouissons
En ce fatidique sablier*.

................
* Synérèse obligatoire (en hommage d'ailleurs à Trompe-la-Mort de Brassens).
** Diérèse obligatoire (en hommage à...).

Elégie

Dans les feuilles, l'insecte net prêt à voler
Sur cette terriblement violacée mûre
Nous surprend dans le flou d'un monde inconsolé
Où s'obstinent ma voix mauve et ton doux murmure.

La Place du Tertre

Fragment dédié au Vrai Parisien :

Malgré ses guinguettes et le caractère peut-être imaginaire de ses souterrains, l’endroit reste l’un des plus parfaitement lugubres qui soient. Quand il ne fait pas beau et que le paysage s’estompe dans la brume, la place du Tertre est comme la nacelle d’un ballon perdu.

(Lise Deharme. Eve la blonde, p.96)

dimanche, 28 août 2005

Enfin! (ou: paille & poutre)

Après avoir noirci l'équivalent de deux ou trois mille pages d'imprimerie dans son blog (je juge à vue de nez), Pierre Driout a enfin écrit, non une phrase sans faute (car, depuis que je lui avais gentiment tiré les oreilles, il fait l'effort de se corriger*, notamment sur sa ponctuation qui était ridicule) une phrase drôle.

Enfin une goutte d'inspiration, car, dit-il parlant de son prénom, qui est toujours en vogue:
"Non, je vous assure je ne suis pas agent immobilier."

Evidemment, ce que j'écris ici, assez perfidement, de ce cher Pierre Driout (qui me vomit dessus à longueur de pages, donc je me crois autorisé à la perfidie), je me l'applique aussi à moi-même: qu'as-tu écrit de valable en trois mois d'écriture sur carnétoile?. Je fais le tour, et je conclus qu'il y a une quarantaine de notes, au moins, qui méritent d'être sauvées, de manière non relative. C'est un peu mieux, tout de même, que la phrase de Pierre Driout.

* Ce n'est pas là présomption de ma part: je me suis aperçu que Pierre Driout, qui crache sur tout le monde, est extrêmement influençable et qu'il tient compte de tout ce qu'on dit de lui. Je ne connais personne d'autre pour attacher une pareille importance, ou conférer tant de valeur, à ce qui s'écrit sur la Toile.

samedi, 27 août 2005

L’appel du large

Je constate que le Vrai Parisien est l’un des plus roublards et des plus rusés des forbans de la Toile, et je lui dédie volontiers, pour ses commentaires 396 à 400, cette journée de publications du samedi 27 août.

Tu as presque réussi à me faire rougir ; ce n’est pourtant pas la saison des pivoines (mais la salade de tomates était excellente, merci).

S’il faut conclure de cette fine stratégie que tu désires recevoir un exemplaire mégalo (et non un méga-exemplaire) de mes œuvres choisies, envoie-moi ton adresse postale (ou tout autre relais) pas du tout à l’adresse électronique ci-contre, dont j’ai perdu les codes d’accès, mais à celle-ci.

vendredi, 26 août 2005

Deux débats passionnants

Je participe en ce moment à deux débats, encore timidement amorcés, mais passionnants. Vous les trouverez sur le blog de Gauthier et sur celui de Marione.

Vers les 400 commentaires

Je tiens seulement à signaler à mes lecteurs qu'il y a, à ce moment précis, 395 commentaires enregistrés dans ce carnétoile, et que l'offre faite à l'auteur du 300ème n'ayant pas reçu de réponse, le lot est remis en jeu pour cette nouvelle étape. (Il faut bien compenser l'insuccès des épitrochasmes!)