mercredi, 04 juin 2014
Limericks meurthois, 51 et 553
▬ 51 ▬
Un gamin de Batilly
Rit toujours en faisant hihi.
Son grand-père,
Que ça exaspère,
S’en est allé de Batilly.
▬ 553 ▬
Un comédien de Vaudeville
Est vraiment fou de marionnettes.
Il joue sur les tréteaux
Et le long des avenues,
Mais jamais sur les grands boul’vards.
11:35 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 03 juin 2014
Limericks meurthois, 50 et 554
▬ 50 ▬
Un bourgeois de Bathelémont
Vient de me dire « Attelez mon
Phaéton à huit chevaux ! »
Je crains fort que son cerveau
Maintenant ne batte les monts.
▬ 554 ▬
Un poète de Vaudigny,
Sec en rimes à “Vaudigny”,
Décida de signer
Tous ses sonnets, sans rechigner,
Comme suit : Alfrev de Digny.
11:34 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 02 juin 2014
Un lundi, midi (un peu plus)
Ѯ
Tout à l'heure, à la B.U.. Troisième étage. Immense salle presque entièrement déserte. Désertée par les humains, veux-je dire. On eût dit que les pages de Wittgenstein's Mistress, merveilleux volumen discret planqué sur les étagères 818.5, avaient colonisé les lieux.
Désert, qu'est-ce à dire ? Il était une heure et demie de l'après-midi, le 2 juin, donc. Deux conservateurs ou bibliothécaires dans la cage de verre, à droite, une jeune fille (étudiante) assise avec son ordinateur à une des tables centrales, et un autre (étudiant) entre les rayonnages de poésie britannique et ceux de littérature américaine, justement. Sinon, pas âme qui vive, un 2 juin.
Ѯ
14:02 Publié dans Moments de Tours, Pynchoniana, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 49 et 555
▬ 49 ▬
Lionel, le maire de Baslieux,
Ne sait jamais quand a lieu
Le son et lumière.
Au fond de sa chaumière,
Il se dit “Ça n’aura pas lieu”.
▬ 555 ▬
Un médecin de Vaxainville,
Les joues gonflées de mauvais coton hydrovile,
Décida, inopiné-
Ment que son cabinet
Serait sur-le-champ rebaptisé Vaccinville.
11:33 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 01 juin 2014
Limericks meurthois, 48 et 556
▬ 48 ▬
Un jeune scout de Vého,
Lassé par le dam dam dého,
Pensa, pour se mettre au frais,
Entonner du Hugues Aufray —
— Santiano, hissého.
▬ 556 ▬
Une violoniste, aux Baroches,
S’emmêla dans ses doubles croches :
« D’ordinaire, Vivaldi,
Sans prétention, j’v’a l’dis,
Je le joue sans anicroches. »
11:10 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 31 mai 2014
Malgré le vent...
Malgré le vent,
malgré le vent qui tournoie
efface parfois le printemps
sous les pépiements des mésanges,
chats du quartier tous à l'affût
depuis ce matin j'arpente les rues
dans mes sandales de jésus
en soie grège ma peau craquèle
un nouveau printemps que salue
le vent tournoyant.
14:08 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Nathantipastoral (Z.) | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 47 et 557
▬ 47 ▬
Un footeux de Barisey-la
-Côte rêvait de favelas,
De beach soccer,
D’oiseaux moccer
(Mais pas trop de vuvuzelas.)
▬ 557 ▬
-Haye, saoul au cidre de Fouesnant,
S’avéra capable
De tout exploser au Scrabble.
(Pour lui, ce jeu, c’est du nanan !)
11:05 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 30 mai 2014
K.602, hockey
Minez, minez, la nuit est courte (Capolican)
Ce matin, la chatte jouait au hockey avec un tampon pour pied de chaise. Il ne faisait pas assez chaud pour ne pas avoir un truc en sus de la chemise.
Anna la belle — Les raisons pour lesquelles je me retrouve à écouter ceci proviennent d'une kyrielle à faire pâlir mes “Dimanche pleurera” de jadis. ▬▬·▬▬ YOU DON'T WANT TO KNOW. ONLY ENJOY !
“Deh, che non ho io potente ispirazione quanta basti a dipingere una madre quale la conobbi e la conosco?”
« Je me sens dans les mêmes dispositions que l'année dernière. L'année dernière, je ne m’étais pas vraiment mis d'objectifs. J'avais essayé de prendre les tours les uns après les autres. Cette année, c'est ce que je fais également. J'espère que cela va m'amener au moins aussi loin. »
(Jo-Wilfried Tsonga. in L'art du paradoxe : une approche méta-husserlienne au prisme de la poésie objectale, p. 891)
I jumped my snowman. Utterly not cool.▬·▬·▬(My wife had “I kicked a condom”.)
Il Diavolo nell'ampola.
L'arbitre de chaise vient de demander aux spectateurs de prendre les photos sans flash. Donc les tennismen sont des tableaux de musée.
“Sans faire exprès j'ai fait mal à Julie en la culbutant, mais elle l'avait cherché aussi. Une fois elle a chanté la Reine des neiges, et puis elle a continué, on lui a demandé d'arrêter.” (Oméga)
\\\ Retour de promenade vespérale avec Alpha. 3 groupes de 3, 4 et 7 lapins respectivement près de la Cousinerie (habitat Pérochon et habitat Cassin), et, sur la pelouse de Sanofi Aventis, 22 lapins, no less, en position longitudinale, placides — avec une vue d'avion, on aurait vu un joli W/M, je pense ▬ se préparent donc, certains, pour le Mondial. /////
Et soudain, au beau milieu de la troisième danse K.602, la — quoi ? — cromorne ? cornemuse ?
21:28 Publié dans ... de mon fils, Chèvre, aucun risque, Kleptomanies überurbaines | Lien permanent | Commentaires (0)
Distiques ribéryens, Tsonga en seizièmes
S'appelle l'arbitre de chaise Keothavong
Où comme le tennis ça n'a pas le ping-pong.
Père de Jo-Wilfried (je veux dire Tsonga)
Dans les tribunes qu'il a venu voir son gars.
Même si quand enfant golri-je Kolargol
On a dur de la pub pour le bisalobol.
Coup droit que l'on a dur lui fait sonofabycz
Pile-poil sur la ligne et avec Janowycz.
Costaud-il plus beaucoup qu'un natif des Tonga
S'il va vite au filet, Jo-Wilfri-ed Tsonga.
S'il gagnera l'Open, héros-il de manga,
Et San-Ku-Kai moins fort qu'Archipel des Tsonga.
Federer que sous la couette hétéro gigote,
Et qu'il avut encor de l'hétérozygote.
On a dur d'été les oreilles rebattues
Des coups et de ces cris sur la terre battue.
Croivu-je me pétir la gueule au Garioch Glen
Si le match vont durer longtemps sur le Lenglen.
Au contraire écoutu-je Zahia sur Deezer
Et Tsonga où il plissa le match en deux heures.
Janowicz ses retours quand le servut Tsonga,
Ç'a portninwak aussi et gros gloubi-boulga.
Même tandis sert-il pour le match, ce Tsonga,
La ola dans le stade au rythme de conga.
Au prochain tour, Jo-Wilfried, tu le reconnais,
Novak ç'a pairde manches que le Polonais.
Opposant qu'il parut Benedict Cumberbatch
S'il sa fit lamini sur la balle de match.
19:17 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 46 et 558
▬ 46 ▬
Un fleuriste de Barisey
-au-Plain de tous fut la risey
En disant : « Mes rosiers
Sont moins beaux que mes jambosiers
Couverts de leurs fruits irisey. »
▬ 558 ▬
Une maîtresse de Velaine
-sous-Amance, vêtue de laine
Et de probité candide,
Trouve plus que tout splendide
La fin de Maria Chapdelaine.
11:05 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 29 mai 2014
Limericks meurthois, 45 et 559
▬ 45 ▬
Sur le blason, point trop affreux,
De Barbonville, il est un freux
Tourné vers l’hermine M.
(Traduire des vers d’Eminem,
Ça serait moins malencontreux.)
▬ 559 ▬
Un dramaturge de Velle
Voulait monter La manivelle.
Son scénique projet
Lui vint d’un coup, en un jet,
Tant y en avait, dans sa cervelle.
07:22 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 28 mai 2014
Les Matches à Miko
On a dur do rémi fa si la la Norvège
Si je la suis confondu avec le solfège.
Endroit que j'aime bien voir pelouse jardin,
Je m'a bien emmerdé assis de les gradins.
Bien enfoncés qu'on a Norrois quatre à zéro
Si ç'æ trøp injùste qu'est dit Caliméro.
10:58 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 44 et 560
▬ 44 ▬
Une barbonne de Barbas,
Étant très férue de gambas,
Un jour en acheta vingt.
Mais savez-vous ce qu’il advingt ?
Elles tombèrent du cabas !
▬ 560 ▬
Un brave bambin de Veney,
Étant un jour enchifreney,
Éternua, éternua,
Ce qui bien sûr l’exténua —
Oh, quel rhume de forceney !
07:21 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 27 mai 2014
Limericks meurthois, 43 et 561
▬ 43 ▬
Un banquier de Bainville-sur
-Madon a su mettre en lieu sûr,
Et loin de son épouse,
Tout son flouze :
Derrière les Ray-Ban de Samantha Stosur !
▬ 561 ▬
Un plumitif de Vennezey
Toujours se croit à Guernezey.
« Ah, qu’un vil alguazil
Se plaît à mon exil ! »
Se plaint-il en vers empezey.
07:20 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 26 mai 2014
Rafael's Return
On a lassé Nadal admiri son allure
Cent fois par heure qu'il se grattut la rainure.
On a sec d'été vu comme Laurent Luyat
Quand il ne pleuve plus est dit Alleluia.
11:00 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 42 et 562
▬ 42 ▬
Poète à Bainville-aux-Miroirs,
Il a plein de fonds de tiroirs —
Des odes à la quetsche,
Des aphorismes à la Nietzsche,
Tout ça en Lorrain de terroir.
▬ 562 ▬
Un Québécois de Verdenal
Trouve le doux le temps hivernal.
« Le climat, en Moselle,
Est doux comme une mirabelle…
Ah, que me manque l’orignal ! »
07:19 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 25 mai 2014
Limericks meurthois, 41 et 563
▬ 41 ▬
Un vieux doberman de Bagneux
Passe pour être bien hargneux.
De son croc, de sa lippe,
Il fend le Pausilippe —
Ah, ces souvenirs de khâgneux !
▬ 563 ▬
Lex imperio maior lit-on à Vézelise.
L’inscription effacée, faut-il qu’on la relise ?
Vanter ainsi la loi
Certe est de bon aloi,
Mais quand j’aperçois du latin, moi, je balise !
23:20 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 24 mai 2014
Limericks meurthois, 36 et 37
▬ 36 & 37 [?] ▬
Un frais damoiseau d'Avril,
N'aimant que neige et grésil,
Voulut jouer du grelot
À une belle d'Azelot.
Elle le trouva peu viril.
22:40 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
La finale de la Champions' League
On a über-dégueu mais alors carrément
De l'attaquant soigné placenta de jument.
Intrigué-je ai-je voir qu'on est assez ri
Le maillot de l'Atletico est azéri.
Golri-je bidonné Nulri Bilge Ceylan
S'il est Palmé parce Cappadoce dedans.
Über-dégueu vraiment comme Diego Costa
Fut soignu en Serbie de jument placenta.
J'a demandé Diego comment meilleur Rimka
Lui qui m'ont répondu "C'est mon amie Flicka".
Le docteur serbe à moi où vraiment qu'il fait peur
S'il injectit placenta de Jolly Jumpeur.
Bodin le défenseur son but hallucinante
S'il n'est pas pris du placenta de Rossinante.
Zahia que quand on l'a sauti la bonne ado
Après avoir buvu du sang de Tornado.
On a grimace Cristiano et Benzéma
(Ptêt que la jument elle avoir de l'eczéma ?)
Coup franc que l'on a dur dépit du placenta
Pas comme on place un mur que comme on place un tas.
Endroit que je m'ai bien gavé de chips Vico,
Le sofa je suis vu gagne l'Atletico.
Bogoss qu'il a beaucoup l'arbitre de surface
Et que les meufs de moi surnommurent Scarface.
Hugo m'est dit j'a l'art et de la rime idoine,
Tel où Diego Costa il bouffe de l'avoine.
Après que la patate de Sergio Ramos
Supporters du Réal braillir “Vamos, vamos”.
On a beaucoup lassé de cette cantilène
Plaisante que la Coupe il seront madrilène.
Comme je descendus des tribunes Réal,
Même mon paletot deviennait idéal.
Hugo m'apprendit bien des distiques Rimbaud
Comme que je ne suis pas centré le pied-bot.
On a mégagolri que Costa moìto bom
Si placentisé il court le derby d'Epsom.
Placenta que n'avoir seulement euthériens,
Et ç'a peut-été un distique ribéryen.
Long comme un jour sans pain il est Thibaut Courtois
Où pensu-je le dire “tu n'es pas court, toi”.
Délirant comme que cette prolongation
4 à 1 ç'a fini la grosse correction.
Vu-je voir très beaucoup perdre l'Atletico
Si j'a terminassé le paquet de Vico.
12:03 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 23 mai 2014
Limericks meurthois, 38 et 564
▬ 38 ▬
À Badonviller, vit un vieux clodo,
Lointain descendant de Jean-Baptiste Claudot.
Lui, sa palette
C’est une galette
En peau de renard façon diplodo.
▬ 564 ▬
Un brave cultivateur de Viéville-en-Haye
Trie toujours le grain de l’ivraye.
« Parfois, dans la futaye,
J’aperçois une effraye —
Mais en moissonnant toujours je suis d’humeur gaye. »
13:52 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 22 mai 2014
Limericks meurthois, 37 et 565
▬ 37 ▬
Avec son braque et son biquet, à Baccarat,
Rebecca a un gros break qui a du carat :
C’est bien en général d
E citer du Gérald
Genty, pour quelque limerick sur Baccarat.
▬ 565 ▬
Une ivrognesse de Vigneulles
Aime le pinard et la gneule.
Demain, je serai la plus belle
À m’envoyer d’la mirabelle
Beugle-t-elle, bégueule, ès les rues de Vigneulles.
13:51 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 21 mai 2014
Limericks meurthois, 36 et 566
▬ 36 ▬
Une gamine d’Azerailles
Connaît tout de Rika Zarailles.
Très douée pour le karaoké,
On vous prie de ne la moquer
Car c’est duraille de grandir à Azerailles.
▬ 566 ▬
Un godelureau de Vilcey
-sur-Trey sans cesse est vissé
À son canapé,
Toujours à zapper
Et à en voir bien plus qu’il sait.
13:50 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 20 mai 2014
Limericks meurthois, 35 et 567
▬ 35 & 567 ▬
La plus jolie d’Avricourt
A un galant à Villacourt.
En survêt, elle reste seule,
Mais si elle pose en jupe au milieu des meules,
Ce garçon, assez vil, accourt.
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lundi, 19 mai 2014
Limericks meurthois, 34 et 568
▬ 34 ▬
À Avrainville, il y a un golf :
Ça rime avec Tristan Egolf. —
Bon, il était jaloux de Florian Zeller…
Ce n’est pas une raison pour nous pomper l’air
Ni ici ressusciter l’auteur de Kornwolf.
▬ 568 ▬
Un couvreur de Ville-au-Montois
S’exclama un jour : « Oh, mon toit ! »
Le toit s’était effondrey
Sur la doyenne d’Autrey,
Qui grommelait dans son patois.
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dimanche, 18 mai 2014
Limericks meurthois, 33 et 569
▬ 33 ▬
L’été, les dames d’Avillers
Ne savent comment s’habiller.
« Quand il ne pleut pas, ma brav’ dame
Aussitôt le soleil nous crame. »
(Ah, c’est kek chose, août et juillet.)
▬ 569 ▬
Un gros matou, à Ville-au-Val,
Contre l’oreiller se lova. L’
Acariâtre dormeur
Pria le Saint-Sauveur
De le débarrasser de ce mini-serval.
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“Good enough for Jehovah”
Tandis que je lisais dehors, sur la terrasse, en plein soleil (souvenirs de Tarkos sur le toit en zinc, à Beauvais), une minuscule araignée jaune tissait sa toile sur mon livre, et une tout aussi minuscule araignée noire tissait sa toile sur ma chemisette. Il m’a bien fallu les déranger pour aller chercher la feuille-de-chêne que mon voisin me tendait, par-dessus la haie qui sépare notre maison de son potager. Avant, deux paires de témoins de Jéhovah, écumant le quartier, se partageaient les demeures. Sur la marelle, je me suis contenté de leur opposer un ferme « Je ne supporte pas le prosélytisme », mais un autre voisin, sur le rond-point, leur a exposé sa vision du monde et de l’intolérance religieuse ; je buvais du petit lait, sans que les araignées en perdissent leur fil.
11:42 Publié dans Kleptomanies überurbaines, Moments de Tours, Nathantipastoral (Z.) | Lien permanent | Commentaires (0)