lundi, 26 mai 2014
Rafael's Return
On a lassé Nadal admiri son allure
Cent fois par heure qu'il se grattut la rainure.
On a sec d'été vu comme Laurent Luyat
Quand il ne pleuve plus est dit Alleluia.
11:00 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 42 et 562
▬ 42 ▬
Poète à Bainville-aux-Miroirs,
Il a plein de fonds de tiroirs —
Des odes à la quetsche,
Des aphorismes à la Nietzsche,
Tout ça en Lorrain de terroir.
▬ 562 ▬
Un Québécois de Verdenal
Trouve le doux le temps hivernal.
« Le climat, en Moselle,
Est doux comme une mirabelle…
Ah, que me manque l’orignal ! »
07:19 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 25 mai 2014
Limericks meurthois, 41 et 563
▬ 41 ▬
Un vieux doberman de Bagneux
Passe pour être bien hargneux.
De son croc, de sa lippe,
Il fend le Pausilippe —
Ah, ces souvenirs de khâgneux !
▬ 563 ▬
Lex imperio maior lit-on à Vézelise.
L’inscription effacée, faut-il qu’on la relise ?
Vanter ainsi la loi
Certe est de bon aloi,
Mais quand j’aperçois du latin, moi, je balise !
23:20 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 24 mai 2014
Limericks meurthois, 36 et 37
▬ 36 & 37 [?] ▬
Un frais damoiseau d'Avril,
N'aimant que neige et grésil,
Voulut jouer du grelot
À une belle d'Azelot.
Elle le trouva peu viril.
22:40 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
La finale de la Champions' League
On a über-dégueu mais alors carrément
De l'attaquant soigné placenta de jument.
Intrigué-je ai-je voir qu'on est assez ri
Le maillot de l'Atletico est azéri.
Golri-je bidonné Nulri Bilge Ceylan
S'il est Palmé parce Cappadoce dedans.
Über-dégueu vraiment comme Diego Costa
Fut soignu en Serbie de jument placenta.
J'a demandé Diego comment meilleur Rimka
Lui qui m'ont répondu "C'est mon amie Flicka".
Le docteur serbe à moi où vraiment qu'il fait peur
S'il injectit placenta de Jolly Jumpeur.
Bodin le défenseur son but hallucinante
S'il n'est pas pris du placenta de Rossinante.
Zahia que quand on l'a sauti la bonne ado
Après avoir buvu du sang de Tornado.
On a grimace Cristiano et Benzéma
(Ptêt que la jument elle avoir de l'eczéma ?)
Coup franc que l'on a dur dépit du placenta
Pas comme on place un mur que comme on place un tas.
Endroit que je m'ai bien gavé de chips Vico,
Le sofa je suis vu gagne l'Atletico.
Bogoss qu'il a beaucoup l'arbitre de surface
Et que les meufs de moi surnommurent Scarface.
Hugo m'est dit j'a l'art et de la rime idoine,
Tel où Diego Costa il bouffe de l'avoine.
Après que la patate de Sergio Ramos
Supporters du Réal braillir “Vamos, vamos”.
On a beaucoup lassé de cette cantilène
Plaisante que la Coupe il seront madrilène.
Comme je descendus des tribunes Réal,
Même mon paletot deviennait idéal.
Hugo m'apprendit bien des distiques Rimbaud
Comme que je ne suis pas centré le pied-bot.
On a mégagolri que Costa moìto bom
Si placentisé il court le derby d'Epsom.
Placenta que n'avoir seulement euthériens,
Et ç'a peut-été un distique ribéryen.
Long comme un jour sans pain il est Thibaut Courtois
Où pensu-je le dire “tu n'es pas court, toi”.
Délirant comme que cette prolongation
4 à 1 ç'a fini la grosse correction.
Vu-je voir très beaucoup perdre l'Atletico
Si j'a terminassé le paquet de Vico.
12:03 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 23 mai 2014
Limericks meurthois, 38 et 564
▬ 38 ▬
À Badonviller, vit un vieux clodo,
Lointain descendant de Jean-Baptiste Claudot.
Lui, sa palette
C’est une galette
En peau de renard façon diplodo.
▬ 564 ▬
Un brave cultivateur de Viéville-en-Haye
Trie toujours le grain de l’ivraye.
« Parfois, dans la futaye,
J’aperçois une effraye —
Mais en moissonnant toujours je suis d’humeur gaye. »
13:52 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 22 mai 2014
Limericks meurthois, 37 et 565
▬ 37 ▬
Avec son braque et son biquet, à Baccarat,
Rebecca a un gros break qui a du carat :
C’est bien en général d
E citer du Gérald
Genty, pour quelque limerick sur Baccarat.
▬ 565 ▬
Une ivrognesse de Vigneulles
Aime le pinard et la gneule.
Demain, je serai la plus belle
À m’envoyer d’la mirabelle
Beugle-t-elle, bégueule, ès les rues de Vigneulles.
13:51 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 21 mai 2014
Limericks meurthois, 36 et 566
▬ 36 ▬
Une gamine d’Azerailles
Connaît tout de Rika Zarailles.
Très douée pour le karaoké,
On vous prie de ne la moquer
Car c’est duraille de grandir à Azerailles.
▬ 566 ▬
Un godelureau de Vilcey
-sur-Trey sans cesse est vissé
À son canapé,
Toujours à zapper
Et à en voir bien plus qu’il sait.
13:50 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 20 mai 2014
Limericks meurthois, 35 et 567
▬ 35 & 567 ▬
La plus jolie d’Avricourt
A un galant à Villacourt.
En survêt, elle reste seule,
Mais si elle pose en jupe au milieu des meules,
Ce garçon, assez vil, accourt.
20:05 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 19 mai 2014
Limericks meurthois, 34 et 568
▬ 34 ▬
À Avrainville, il y a un golf :
Ça rime avec Tristan Egolf. —
Bon, il était jaloux de Florian Zeller…
Ce n’est pas une raison pour nous pomper l’air
Ni ici ressusciter l’auteur de Kornwolf.
▬ 568 ▬
Un couvreur de Ville-au-Montois
S’exclama un jour : « Oh, mon toit ! »
Le toit s’était effondrey
Sur la doyenne d’Autrey,
Qui grommelait dans son patois.
07:37 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 18 mai 2014
Limericks meurthois, 33 et 569
▬ 33 ▬
L’été, les dames d’Avillers
Ne savent comment s’habiller.
« Quand il ne pleut pas, ma brav’ dame
Aussitôt le soleil nous crame. »
(Ah, c’est kek chose, août et juillet.)
▬ 569 ▬
Un gros matou, à Ville-au-Val,
Contre l’oreiller se lova. L’
Acariâtre dormeur
Pria le Saint-Sauveur
De le débarrasser de ce mini-serval.
13:33 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
“Good enough for Jehovah”
Tandis que je lisais dehors, sur la terrasse, en plein soleil (souvenirs de Tarkos sur le toit en zinc, à Beauvais), une minuscule araignée jaune tissait sa toile sur mon livre, et une tout aussi minuscule araignée noire tissait sa toile sur ma chemisette. Il m’a bien fallu les déranger pour aller chercher la feuille-de-chêne que mon voisin me tendait, par-dessus la haie qui sépare notre maison de son potager. Avant, deux paires de témoins de Jéhovah, écumant le quartier, se partageaient les demeures. Sur la marelle, je me suis contenté de leur opposer un ferme « Je ne supporte pas le prosélytisme », mais un autre voisin, sur le rond-point, leur a exposé sa vision du monde et de l’intolérance religieuse ; je buvais du petit lait, sans que les araignées en perdissent leur fil.
11:42 Publié dans Kleptomanies überurbaines, Moments de Tours, Nathantipastoral (Z.) | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 17 mai 2014
3300
À 17 heures 17, après avoir passé plus d’une heure à passer la nénette et la tête de loup dans la maison, ainsi qu’à récurer la lèche-frites et une marmite, je me suis assis, ai lu quelques pages de mon roman, il y avait une phrase étrange sur deux orangs-outans, alors j’ai rêvé que j’écrivais avec une machine à écrire aux touches fabriquées dans un métal si dur qu’il fallait presque se briser le poignet pour chaque caractère et que j’écrivais quand même un roman de plus de 400 pages, que j’intitulais L’huile de coude. Il ne faut pas charrier, toutefois, ni se casser le bol pour rien, pour du baratin, et il vaudrait mieux rêver d’un manteau jaune comme un coquelicot. Gros Patapouf l’éléphant, on le confond pas, on le confond pas, on le confond pas, on le confond pas avec les fraises des bois.
La seule blanchisserie où je me rappelle m’être arrêté sans linge, parce que j’avais froid, que j’étais fourbu, qu’il n’y avait aucun café ouvert aux environs, c’était à Lyon — pas à Melbourne, non pas à Melbourne. (Et de Kassel, je ne pense me rappeler que le trolleybus.)
Pourtant, impression que les mots blanchisserie et Melbourne vont ensemble.
17:26 Publié dans Questions, parenthèses, omissions | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 32 et 570
▬ 32 ▬
Une brave vieille d’Autrey
En sortant du bar s’est vautrey.
« Oh, la pochtronne ! »
S’exclama la patronne.
(Ils ne sont pas forcément civils, à Autrey.)
▬ 570 ▬
Le saviez-vous, le grand Sinbad
Venait de Villecey-sur-Mad.
« Pour embarquer, hue cocoote !
Je chevauche jusqu’à Zuydcoote —
— Et après, c’est loin, Bagdad ? »
09:29 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 16 mai 2014
Limericks meurthois, 31 et 571
▬ 31 ▬
Un habitant d’Autreville
S’est rendu dans une autre ville
Pour y passer la nuit.
Et là, le sommeil le fuit :
Ni toit ni lit dans l’autre ville.
▬ 571 ▬
Novembre, à Ville-en-Vermois,
Pour sûr, c’est déjà l’hiver — mois
De frimas, de petite neige…
Et dire que tout ce manège
Va durer encore six mois !
23:23 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 15 mai 2014
Limericks meurthois, 30 et 572
▬ 30 ▬
Pierre, le maire d’Autrepierre,
Qu’on confond avec l’autre Pierre,
Dit : « L’autre Pierre n’est pas maire,
Et si moi, je vis chez ma mère,
Ne me jetez pas l’autre pierre. »
▬ 572 ▬
Un luthier de Ville-Houdlémont
Souvent joue de l’oud. L’aimons-
Nous pour ça ou pour son doigté
À réparer nos sax pétés ?
Mystère sur Ville-Houdlémont.
12:58 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 14 mai 2014
Limericks meurthois, 29 et 573
▬ 29 ▬
Une d’Audun-le-Roman
Aime de Loudun le roman.
« Ah, oui-da, les démons,
C’est ce que nous aimons,
Nous autres, d’Audun-le-Roman ! »
▬ 573 ▬
Une brave fermière de Villers-en-Haye
Tond les près et taille la haye.
Comme elle est accorte et blonde,
Il arrive qu’on la confonde
Avec Brigitte Lahaye.
12:37 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 13 mai 2014
L’autoclave Lequeux, et le régime des inégalités
Une collègue de l’U.F.R. de Médecine vient d’envoyer le mail suivant à l’ensemble des personnels de l’Université, et même, il semble, aux étudiants :
Nous souhaitons céder notre ancien autoclave, qui est bien sûr en état de marche.
Il s'agit d'un autoclave vertical Lequeux de 165 L, de diamètre 500 et hauteur 700 mm. Il a été fabriqué en 1998 mais n'a été utilisé que pendant la période 2005-2012.
Nous avons en notre possession tout [sic] les compte-rendus d'inspection périodique ainsi que le registre de maintenance.
N'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de plus amples renseignements.
Si vous êtes intéressés, nous vous remercions de nous en informer avant la fin de la semaine, le transport du matériel restant à votre charge.
Son message a, semble-t-il, été diffusé sans difficulté, même auprès des 90% qui ne savent pas ce qu’est un autoclave et des 99% qui, n’ayant pas besoin de faire cuire dix kilos de choux-fleurs le même jour, n’envisagent pas d’en acquérir un. On pourrait aisément mettre cela sur le coup de l’information overload si des événements pédagogiques ou culturels organisés par l’U.F.R. Lettres et Langues ne se voyaient pas interdits, le plus souvent, de diffusion à ces mêmes listes.
Voyons… le Président de l’Université est… dermatologue, c’est ça ?
Coïncidence ?
14:02 Publié dans Indignations, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 28 et 574
▬ 28 ▬
Un historien d’Auboué
Admirait tant Félix Éboué
Qu’à Adolphe Sylvestre
Il dédia une Ode champestre,
Qu’aucun n’a lue, à Auboué.
▬ 574 ▬
Un vieillard de Villers-la-Chèvre,
Souffrant d’une forte fièvre,
Et la plèvre en pleurésie,
Trouve que ma poésie
Est répétitive et — mièvre !!!
12:16 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 12 mai 2014
L'Échange
Je suis donc quelqu’un qui travaille et écrit soit dans un bureau où on se caille (ressorti le gros pull irlandais rose de l’hiver) soit chez lui, face à une vitre entièrement masquée par un néflier pléthorique, en écoutant le concerto pour hautbois de Cimarosa, en se désespérant d’avoir perdu près d’une demi-heure ce matin pour faire une photocopie, mais plus encore de la folie humaine.
(Et qu'une partie du travail se passe dans le dialogue, l'échange, l'exploration sans certitude, c'est ce qui semble échapper même à certains collègues.)
15:23 Publié dans Moments de Tours, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 27 et 575
▬ 27 ▬
Le photographe d’Atton,
Trouvant que son photomaton
Ne rapportait guère,
Y a mis, c’est de bonne guerre,
Un peep-show, sans nul souci du qu’en-dira-t-on.
▬ 575 ▬
Les habitants de Biergweller *
Se prennent tous pour Rockfeller.
Tous ils se croient riches
Et trouver de l’or dans leurs friches.
Il y a plus fou qu’eux — ainsi, Florian Zeller.
* Villers-la-Montagne
12:07 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 11 mai 2014
Franck Ribéry Meets Conchita Wurst
Tandis comme les Clermontois prendaient la rouste
Où qu'on a vu de triomphe Conchita Wurst.
Si que le top du top ç'a la margarita
Dégueulandos affreux chantus de Conchita.
On a bâillé Libé titre “poupée barbue”
De l'Autrichien bien brun qu'il a le look zarbu.
Ç'a bien si elles ont sifflu, jumelles russes
Et transgenre on a dur le concept d'utérusses.
Excitu-je toujours de Rocheteau Domi
Sans que l'Eurovision antre de sodomie.
Conchita portut robe à jouer au cerceau
Et traduirent-ils parfois “antre” que “berceau”.
Endroit que Liverpool Arsenal jouent en red,
Anglais cite Milonov sodomy hotbed.
Hugo m'est dit dormir Montrouge Malakoff
Et insomnie-je ignore “antre” comme en russkoff.
Conchita parut-il zguègue comme un poulain
Et berceau-je hotbed « antre ici Jean-Moulin » .
J'a demandé le coach qu'est-ce que Conchita
Wurst voulut dire, et lui : Bulot Chipolata.
12:22 Publié dans Distiques ribéryens | Lien permanent | Commentaires (0)
Limericks meurthois, 26 et 576
▬ 26 ▬
Dans le bois de Ranzey,
À Athienville, z’ai ranzey
Preztement mes bizoux
En gonflant mes bazoues
Car z’était l’heure de manzey.
▬ 576 ▬
Non, pas de soupe d’ailerons
Au restau de Villers-le-Rond !
Amateurs de phô,
Vous fera défaut
Ce goût qu’ici nous pleurons.
12:06 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 10 mai 2014
Limericks meurthois, 25 et 577
▬ 25 ▬
Cette donzelle d’Art-sur-Meurthe,
Vraiment, le moindre mot la heurthe !
Un jour, elle se glace
Car on dit c’est trop clace !
Or, on parlait de son ticheurthe.
▬ 577 ▬
Un pizzaïolo de Villers-lès-Moivrons
Dans ses pizzas met des anchois.
Mais tant pis pour toi :
Pour les poivrons, attends le poème Moivrons.
12:05 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 09 mai 2014
Limericks meurthois, 24 et 578
▬ 24 ▬
Un vieux salingue d’Arraye
-et-Han fouette de la raye,
Fumet géant
Dont Arraye/Han,
Charmant village, se dispenseraye.
▬ 578 ▬
Un musicien de Villers-lès-Nancy
Chante toujours la Cantilène en si
De Stenhammar.
Tout ce tintamarr’
Rend son voisin, un vieux grincheux, transi.
06:16 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 08 mai 2014
Limericks meurthois, 23 et 579
▬ 23 ▬
Un vieux pochtron, à Arracourt,
Dès que j’ouvre mon bar accourt.
Pour lui, un seul bistrot
N’est vraiment pas de trop —
— Ni Suze ni Ricard à court.
▬ 579 ▬
Le pharmacien de Villers-sous-Prény,
Quand il est ballonné, prend des Rennie.
Ses borborygmes
Sont une énigme,
Ce qu’entendant l’évêque, dans sa pourpre, hennit.
06:47 Publié dans Album de limericks meurthois | Lien permanent | Commentaires (0)