vendredi, 19 janvier 2024
19012024
Les couleurs n’ont pas été retouchées.
J’étais dans la salle des profs de Fromont ; en reprenant mon manteau, peu avant midi, j’ai aperçu cette enfilade de bancs que j’avais déjà vue une heure plus tôt, et j’ai décidé de prendre la photo avec mon smartphone vert.
Je l’ai simplement recadrée, d’où ce format étiré, avant de la poster sur Flickr.
Ces bancs ont été installés récemment, avec la volonté de rendre le site Fromont moins inattrayant, moins glauque.
12:49 Publié dans 2024, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 08 janvier 2023
08012023
Aujourd’hui, temps toujours maussade, bruineux, gris. O* va un peu mieux, mais encore fièvre et courbatures. C* s’est fait un tour de rein depuis deux jours. J’ai corrigé les copies d’agrégation interne et fini la saisie des notes de L1. J’ai quasiment fini de lire The Fugitives, dont la dernière partie, quelque peu odysséenne, traîne en longueur.
Chiffre d’Olivier Martin tient toutes ses promesses. J’ai appris beaucoup de choses sur l’histoire des statistiques – et même de la typologie – liées à la question du chômage, mais aussi sur les questions de convention qui encadrent toute mesure, tout chiffrage. J’aimerais citer plusieurs passages, outre la citation rapportée de Charles Goodhart (« quand la mesure devient l’objectif, elle cesse d’être une bonne mesure ») :
S’appuyant nécessairement sur des conventions, les statistiques contribuent à les renforcer, à les légitimer et à les réifier. Les statistiques participent directement à installer ces conventions au cœur des sociétés. Il est essentiel de comprendre que la connaissance produite par les statistiques concerne une société elle-même fabriquée par cet acte de mise en statistique. (p. 46)
Le chiffrage apparaît comme le préalable à toute analyse, qui elle-même est le préalable à toute décision. En fait, ces trois étapes n’en sont pas trois temps successifs, mais bien trois facettes de la même démarche de connaissance et d’action. (p. 80)
Après l’avoir lu, je me suis replongé, hier soir, dans la rubrique « Mathématiques » des Carnets de Paul Valéry. C’était un peu le grand écart.
Pour Décolonial de Stéphane Dufoix, je connais mieux le sujet. Toutefois, l’angle sociologique est assez innovant pour moi, et, même si je regrette que Dufoix consacre un chapitre à repenser l’universalité contre l’universalisme – travail qui a déjà été opéré dans deux autres volumes de la même collection, Universalisme de Mame-Fatou Niang et Julien Suaudeau et Race de Sarah Mazouz – j’ai trouvé stimulante sa manière de distinguer l’histoire des théories décoloniales issues d’aires décentrées du qualificatif péjoratif et attrape-tout de décolonialisme. Il montre bien comment ces mots sont bradés par celleux qui cherchent à « diaboliser » et non à comprendre.
Les chapitres les plus riches sont les chapitres 4 (« Les circulations de la pensée décoloniale ») et 6 (« Décolonisons les pensées captives et captatrices ! »), parce que ce sont ceux qui contiennent le plus d’analyses de fond, avec des apports bibliographiques en grande partie nouveaux pour moi : Syed Hussein Alatas (pp. 68-9), Enrique Dussel (pp. 43-4), Archie Mafeje. Il m’a rappelé que je voulais m’appuyer en partie, pour mon séminaire de M1 de ce semestre sur les écritures non binaires décentrées, sur les travaux d’Oyèrónkẹ Oyěwùmí, qu’il cite juste en passant.
Être capable de lire la revendication de décolonisation des sciences sociales comme une pratique ancienne, présente dans de nombreuses parties du monde, soutenue par une organisation internationale comme l’Unesco, évite de tomber dans le piège d’une vision trop présentiste de la question. Voir cette revendication non comme une simple demande militante mais comme un acte à la fois académique et militant, épistémologique et politique – en un mot, épistémopolitique – mis en œuvre par des chercheurs et chercheuses originaires de pays dont la visibilité scientifique dans les sciences sociales mondiales demeure très faible, offre l’opportunité de saisir l’activité scientifique de manière moins idéalisée, plus pragmatique, plus engagée et plus attentive à l’importance des réalités nationales locales sans pour autant renoncer à la dimension universelle de la science. (S. Dufoix. Décolonial, pp. 69-70)
____________________
En écoute : CD 5 et 7 de la boîte Holy Ghost d’Albert Ayler [pas idéal pour corriger des copies] ; La Mer / Nocturnes / Printemps de Debussy ; Rebelle d’Idrissa Diop ; best of de Mercedes Sosa.
18:36 Publié dans 2023, Affres extatiques, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 25 juin 2019
Mardi brûlant
mercredi, 03 octobre 2018
Toujours walcott
08:20 Publié dans Lect(o)ures, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 27 novembre 2014
Violons pour L’Uræus
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’Alechinsky – lui dont les belles planches pour le Traité des excitants modernes de Balzac m’ont tant ému – ne s’est pas trop foulé pour illustrer (encadrer ? ses traits violets servent en effet de marges aux poèmes de ce bref recueil) L’Uræus de Salah Stétié. Les traits du premier poème sont très dynamiques, avec trois fois rien Alechinsky invente un monde ; et puis après, on a l’impression qu’il s’est désinspiré.
(Ce n'est pas la page que j'ai choisie comme illustration de ce billet. Ici ↓ je reprends le poème dansé/dansant.)
Il a résisté à la tentation de dessiner ou d’évoquer des cobras (l’uræus est, je l’apprends à cette occasion, le cobra femelle (pas une seule occurrence de ce mot dans l’ensemble des textes intégraux mis en ligne sur le site Latin Library (!??))), tout comme Stétié n’explicite guère son titre. Certains poèmes sont très forts, prenants, résonnent. Il y a au moins un choix de préposition que je ne comprends pas :
Des enfants pourtant crient sur un préau d’école
ils vivent tous sur un seul grain de sable
échappé
Le premier sur est-il appelé par le second ?
Beau mot, en tout cas, que préau, peu présent en poésie ni prose. Citons seulement Les Misérables : « La première chose qui le frappa dans ce préau, ce fut une porte du seizième siècle qui y simule une arcade, tout étant tombé autour d'elle. »
10:04 Publié dans BoozArtz, Lect(o)ures, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 29 octobre 2014
Passerelle 1934
La vue sur l'ouest de Tours, quais de Loire et avenues sans que le fleuve ne soit visible, à sept heures et demie du soir (19 h 34 très précisément), offrait, depuis la passerelle des Tanneurs, un mélange de gris bleuté et de violine – j'ai saisi mon smartphone, et pas pour un selfie.
(01.10.2014.)
Puis-je ajouter le café avec S.C. l'avant-veille, les bancs abandonnés ce mercredi soir, le gardien qui nous a presque chassés de l'amphithéâtre, et finalement la descente à pas pressés vers le placis des Joulins, une scène de théâtre ?
12:04 Publié dans Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Zestes photographiques | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 31 octobre 2012
Point sur les "i", botanique
23:28 Publié dans Aphorismes (Ex-exabrupto), Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 15 septembre 2011
No Arizona thumbsicle (we're Ligerians)
La ville chavire, à l'état gazeux ou à l'ambiance nocturne.
Nous ne sommes plus grand chose. Nous nous regardons de biais, ou bien sommes enfoncés dans ce qui est devant nous — boudeurs ? Le contraste a permis d'appuyer sur ce qui était gris, ou alors délavé ocre.
Aujourd'hui, tout de même, deux mots : thumbsicle (n'est pas dans l'OED) + bolosse (n'est pas dans le Robert).
15:36 Publié dans Ecrit(o)ures, Kleptomanies überurbaines, Où sont passées les lumières?, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 15 décembre 2007
Brosses glaces noires
Absolument vous vous moquiez de moi, vous tapiez ma fiole. Plein le flacon qu'il en avait le rombier.
" J'ai rencontré aussi la veuve de Marfaing, une femme au beau visage, vêtue comme un Marfaing, si l'on peut dire, id est en noir, bien entendu, un peu à la japonaise."
(Corée l'absente, p. 453)
L'évier enfin débouché, on put remercier en lever de rideau les bras au ciel l'homme au torse musculeux qui s'extirpait difficilement du faux placard.
22:55 Publié dans BoozArtz, Corps, elle absente, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Art, Littérature
jeudi, 19 janvier 2006
Gisants de Bueil, III
19:31 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 18 janvier 2006
Place Foire-le-Roi, à Tours
C'était le 6 juillet dernier, un mois après la création de ce carnet de toile, et alors que, encore sur mon vieux portable et utilisant Netscape, il m'était impossible de mettre des images en ligne. Je repense à ces photographies en feuillettant l'album de l'ami Simon, qui publie ce jour ardoises et colombages de la place Foire le Roi.
Voilà l'un des signes auxquels arsouilles ou anglophiles (on peut être les deux) peuvent reconnaître cette place, en passant par la partie semi-piétonne de la rue Colbert.
(Le signe en question n'est pas le distributeur de sacs à crottes, mais le pub rutilant au second plan.)
On peut, tout naturellement, préférer cet ensemble plus médiéval, qui attire l'oeil aussi, et pour cause... (C'était le 6 juillet, à Tours, non loin de la Loire et près du dédale des rues où se perd l'hôtel où je "descendais" au cours de l'année universitaire 2002-2003 et que dont je publierai une vue dans une prochaine note.)
11:25 Publié dans Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (5)
mardi, 17 janvier 2006
Une allée de Chenonceau
Ce sont potences, poternes, poteries, potions, potages...
et, à l'horizon, je manque
[... singulièrement ...]
de courage.
22:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
Angelot de Chenonceau
20:40 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
Au vent la lettre
11:30 Publié dans BoozArtz, Flèche inversée vers les carnétoiles, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (6)
lundi, 16 janvier 2006
Photo mystère
Je vous invite à deviner ce que représentent les trois photos illustrant une note déjà très ancienne. C'est surtout la deuxième qui devrait vous donner du fil à retordre.
17:30 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (8)
dimanche, 15 janvier 2006
Dualité
Il faut que je donne quelques précisions sur les deux photographies qui illustrent une sorte de poème en prose écrit et publié samedi dans ce carnet, “Hymne”.
L’une, qui a pour titre « Bibliothèque municipale » représente le ciel nuageux et couvert au-dessus de la Loire, avec le haut du monument aux morts proche de la place Anatole-France (sa statue dorée), le dôme adamantin de la bibliothèque, et un pylône qui fend l’air pour redresser sa course en un point invisible de nous. C’est un lieu (une vue) bien connu(e) des Tourangeaux.
L’autre, intitulée « Trinité », représente, encadrée par un creux dans le mur des jardins du Musée des Beaux-Arts, un horodateur et un lampadaire, notre Renault Clio, garée vendredi à cette place après un créneau somptueux. Cela peut paraître trivial, d’autant qu’il vous faut me croire sur parole : au moment du créneau, il y avait, devant et derrière, des véhicules très proches, et la place de stationnement était un trou de souris. Ce n’est qu’une demi-heure après que je me suis avisé que la proximité de l’horodateur pouvait faire un cadrage intéressant. Après rognage des parties de droite et de gauche pour ne pas avoir à subir la vue de pare-chocs disgracieux, voici l’image. (D’ordinaire, je ne retouche pas. (Diable ! je vous demande bien de la confiance sur parole aujourd’hui !)
17:00 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (3)
Recoins méconnus d'Amboise, 2
Deux étoiles en ferraille, et trois branches,
pour un point d'interrogation
lent, terne.
10:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (3)
samedi, 14 janvier 2006
Eléments d’un dîner, vendredi 13
Convives
Ceux qui pieusement… : Trois messieurs et trois dames.
Mets et boissons
Pruneaux au bacon, dés de gruyère, rôties à la tapenade.
Huîtres de Cancale. Champagne Fleury père & fils.
Confit de porc & tomates à la provençale.
Château La Fleur Peyrabon 1999.
Fromages divers, dont Saint Félicien, Pont-l’Evêque, Epoisses.
Château Liversan 1996.
Galettes à la frangipane. (Irène a eu la fève.)
Excellent armagnac proposé mais refusé – heure tardive ou activités du lendemain ? – par les convives. Café. Tisane au sureau.
Types de discussions
Universitaires.
Personnelles.
Moqueuses.
Inavouables.
Quelques sujets de discussion
Vaut-il mieux se faire refourguer des responsabilités de vice-doyen ou de directeur de département ? (Composition de philosophie en six heures.)
Eric Rohmer et les films de SF américains.
Les professeurs d’E.P.S. férus de didactique.
Pieds d’appel.
La Thaïlande et le processus de Kyoto (Là, j’ai peut-être mal noté).
Il était une fois l’homme.
13:55 Publié dans Ex abrupto, Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
vendredi, 13 janvier 2006
Chenonceau par les croisées, 4
10:05 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 12 janvier 2006
Note n° 1001 : Une photographie d'Antoine Tue-tête
00:20 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (6)
mercredi, 11 janvier 2006
Chenonceau par les croisées, 3
09:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (3)
mardi, 10 janvier 2006
Chenonceau par les croisées, 2
11:00 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 09 janvier 2006
Chenonceau par les croisées, 1
19:40 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
Vierge florentine du XVème siècle
Cette Vierge à l'enfant, absolument magnifique, se trouve dans la chapelle sise au rez-de-chaussée du château de Chenonceau.
Le menton et les arcades sourcilières de la Vierge, sa chevelure, l'expression de l'enfant Jésus, l'ange espion juste dans le fond... quel mariage osé entre la douceur et la merveille !
Je n'étais jamais allé à Chenonceaux, ni à son château (qui, lui, ne prend pas d'x), et je vais avoir besoin de temps pour m'en remettre. Le château, avec son mobilier et sa collection d'art, est splendide et mérite tous les éloges mirobolants que l'on peut lire ès tous lieux.
14:10 Publié dans BoozArtz, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 07 janvier 2006
Six vues du monument aux morts de la place René-Coty
Comme pour l'ensemble de ce site, tous droits image et texte réservés Guillaume Cingal.
15:05 Publié dans BoozArtz, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (4)
jeudi, 05 janvier 2006
Jeu de piste à Tours
Je vous propose, ce jeudi, un petit jeu. Qui saura deviner le long de quelle avenue de Tours ont été prises, hier mercredi, les photographies qui composent cette note ?
09:50 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (9)
mercredi, 04 janvier 2006
Double coup double
Je cherche une citation précise de Hervé Guibert, dans L'Image fantôme, et je tombe sur celle-ci, plus belle encore :
Mon désir va vers les personnages qui entrent intrusément dans le cadre familial. ("Photo animée", p. 50)
Je le parcours. Le pré reverdit de son encre noire, encore. Il faudrait citer chaque phrase de ce livre. Voilà, enfin, celle que je promis de recopier dans ce carnet de toile :
Les photos que je trouve bonnes, moi, sont toujours les photos loupées, floues ou mal cadrées, prises par des enfants, et qui rejoignent ainsi, malgré elles, le code vicié d'une esthétique photographique décalée du réel. ("Inventaire du carton à photos", p. 40)
Voilà une citation, qui, outre réparer un oubli, devrait contribuer à un débat.
vendredi, 16 décembre 2005
Le Père Noël est dégueulasse
La débauche de cadeaux, d'achats, d'endettements, mais aussi de gavages et de fausse bonne humeur que représente bien souvent Noël, cela suffit à gâcher une bonne partie du plaisir, en particulier quand, comme depuis quelques années, le mauvais goût l'emporte toujours plus.
Rien ne justifie ces immondices déposés en tous lieux. L'autre soir, après une promenade en ville, nous nous sommes arrêtés devant la vitrine des Galeries Lafayette, la seule à proposer quelque chose d'un peu joli. En effet, la décoration de la rue Nationale, du pont Wilson, tout ça est à vomir. Les cabanes du marché de Noël, boulevard Heurteloup, ne seraient pas laides, s'il n'y avait pas des guirlandes d'un mauvais goût atroce et un "accompagnement" sonore parfaitement répugnant.
J'en veux pour preuve que mon fils n'avait d'yeux que pour les bus, dont il aime lire les chiffres et aussi observer si ce sont des accordéons ou pas.
19:55 Publié dans Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (4)
A bas Noël
Comme deux de mes groupies m'ont fait savoir, de vive voix, que c'était un scandale* que je ne publie pas de note aujourd'hui, comme je l'avais initialement prévu, je vais me contenter de pousser un coup de gueule, déjà esquissé ailleurs, pour déplorer combien, chaque année, les prétendues décorations de Noël enlaidissent les villes par leur clinquant plastique.
Le comble de l'horreur, ce sont les Père Noël en caoutchouc accrochés aux fenêtres. Sont-ce des pendus ou des cambrioleurs ? Non : ces rougeauds ridicules sont le signe du conformisme ambiant. Il faut avoir ces horreurs à sa fenêtre pour montrer que l'on est comme les autres, que l'on dépense du pèze pour des conneries en fin d'année, que l'on va à Auchan, dans les galeries marchandes e tutti quanti.
La magie de Noël, mon os ! Les supermarchés qui ouvrent le dimanche (comme Carrefour, qui vient d'annoncer par ailleurs la suppression de mille emplois (et tout le monde semble avoir oublié qu'il y a six mois le golden parachute de l'ex-PDG démis pour incompétence, dans les 30 millions d'euros, avait défrayé la chronique)), les ménages surendettés qui gavent leur chariot à ras bord de jouets fabriqués par des gamins de six ans dans les pays pauvres... vous voulez que je les trouve rigolotes, moi, ces grosses bouses rouges dégoulinant le long des crépis.
* Oui, je sais, Irène : je déforme tout ce que tu dis. Mais je le fais exprès.
15:30 Publié dans Indignations, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (14)
mardi, 13 décembre 2005
Saint-Pierre dehors, 6
Comme un passage pour piétons
Cette image nous émiettons.
16:00 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
5 : Saint-Pierre encore
Comme quoi ce corridor, sans doute, ne saurait être embelli...
14:40 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (1)
... des corps ... (quatre)
"Splendeur de la treille" (Guillaume Cingal)
Cette photographie est dédiée à Philippe[s], Bordelais et vénitien.
12:55 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (3)
St Pierre des corps / 3
Les jeux d'ombre et de lumière me paraissent souvent transfigurer un lieu sordide ou pas très beau, à moins que ce ne soit le prétexte fallacieux d'un photographe amateur pas très inspiré, ou braqué sur son quota d'images par jour.
(Dimanche 11 décembre, à 15 h 15 : Marignan)
10:50 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
Saint Pierre : décor [2]
Leurs ombres, comme un passage rayé de la grille à l'escalier. C'était un couple d'étudiants (dimanche).
C'est la 900ème note...
09:25 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (3)
Corpopétrucienne, 1
Aujourd'hui, mardi 13 décembre, journée (peut-être) sans limericks, est placé sous le signe d'une gare que le monde entier nous envie : la gare de Saint-Pierre des Corps qui, comme l'a dit Valsador Dali, est le trou du cul du monde.
(Question urbanisme, il y a peu de coins aussi laids que les alentours de cette gare, et la gare elle-même.)
07:46 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 12 décembre 2005
Antoine Antoniol
Ce n'est pas souvent qu'une photographie de presse me plaît. Aujourd'hui, dans le International Herald Tribune (que je reçois gratuitement à mon domicile depuis deux semaines, merci Delphine...!), il y a une très belle photographie d'un certain Antoine Antoniol. La recherche via Google n'a pas donné grand chose : il s'agit apparemment d'un jeune photographe dijonnais, qui a réalisé une série dans un hôpital bourguignon, mais également quelques sujets dans le milieu de la mode. Ce qui est certain, c'est qu'il est doué d'un vrai regard. J'espère qu'il trouvera sa place et fera son chemin.
A suivre...
10:37 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (4)
dimanche, 11 décembre 2005
Lieux de l'agglomération tourangelle, suite de l'énigme
16:00 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 10 décembre 2005
Arceaux
Ce dédoublement sur fond de lignes verticales se perdant à l'infini a été vu et capturé tout près du banc et de la poubelle semblablement obsessionnels.
Il s'agit d'un lieu qui ne brille pas par la beauté de son urbanisme. C'est dans l'agglomération de Tours.
Qui devinera ?
[Cette note est la 880ème. D'où deux 8 déformés, à tenir des vélos.]
17:25 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (4)
vendredi, 09 décembre 2005
Quelque part en Touraine
La ribambelle
Nous ébouriffe
Et l'hirondelle
Est dans la friche
06:40 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 08 décembre 2005
Loire hivernale
Un mercredi de brouillard, un matin de brume, la Loire paressait sous le vol indécis des cormorans mûris au froid des courants. Les bancs gelaient, au passage des voitures qui ne les savaient pas.
10:50 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 07 décembre 2005
Touraine étrange sous la neige
Vous ne voyez pas, là-bas dans la blancheur, plus loin que le bout de votre nez transi. Vous semblez naviguer, comme à bord d'une gabare, sur le fleuve de glace. Un saxophone contrebasse au loin vous attend.
22:08 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 04 décembre 2005
Ô sur des ailes s'enfuir
Depuis deux heures, le quintette de Miles Davis (Live at the Plugged Nickel, 1965, disques 4 et 5), un bon fauteuil et la vie de famille, lire les cent premières pages d'Amriika, qui traîne sur ta pile de livres à lire depuis des mois, voire des années, oublier le monde, le travail, l'envie de s'enfouir, de disparaître, de n'être plus que cela, ici, là, l'envie de s'enfouir, plus travailler, trop de travail a fini par vaincre tes moindres pulsions, l'envie de s'enfouir, de s'enfuir - puis, tu te relies à Internet, compulsively indeed, et trouves là, dans ta boîte de réception, deux photographies que t'envoie ton père, au retour d'un de ses incessants voyages européens.
12:18 Publié dans Jazeur méridional, Lect(o)ures, Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 27 novembre 2005
Bouchemaine
14:10 Publié dans Ecrit(o)ures, Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 18 novembre 2005
Neuf couleurs : Violet
17:05 Publié dans ... de mon fils, Ecrit(o)ures, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
Catabase
La terre a frotté ses arpions contre la pierre des frelons. La pierre-à-feu, elle aussi, pleure, et je pleure dans ma demeure. Rustre, apaisé, mortel talonné par les bises, le skaï sussurre des promesses, ô carminatif louangeur. Mortel, talonné par les braises, une heure a passé sur ma tête.
Au point du jour, dans un gouffre, nous nous ensevelirons.
14:25 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 17 novembre 2005
Neuf couleurs : Rose
17:00 Publié dans ... de mon fils, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 16 novembre 2005
Neuf couleurs : Marron
20:00 Publié dans ... de mon fils, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 14 novembre 2005
Passage interdit
18:55 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Langeais: Vues du haut du chemin de ronde
11:40 Publié dans Ecrit(o)ures, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 11 novembre 2005
Neuf couleurs: Jaune
22:40 Publié dans ... de mon fils, Autres gammes, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (4)
jeudi, 10 novembre 2005
Neuf couleurs : Vert
22:25 Publié dans ... de mon fils, Ecrit(o)ures, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
Le faux Tourangeau n'a pas lu Ravelstein
Russie éternelle, ou encore grimaces.
Âtre où folâtrent des pigeons,
vide, éteint, sans embrasement.
Est-ce cette planète, ou ce roi
lucide, en sa danse de la pluie,
sereinement conquis?
Terreur, apothéose!
Est-ce, de sons, une overdose?
Il paraît que je ne suis rien,
non, au chaud sous les couvertures.
mercredi, 09 novembre 2005
Neuf couleurs: Rouge
22:20 Publié dans ... de mon fils, Autres gammes, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Rue Briçonnet, toujours
18:10 Publié dans BoozArtz, Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Eglise d'Azay
13:00 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 07 novembre 2005
Neuf couleurs: Bleu
18:15 Publié dans ... de mon fils, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (3)
Le triangle du ciel...
13:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 05 novembre 2005
Impasse du Colombier
18:10 Publié dans Moments de Tours, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 03 novembre 2005
Rue Jehan de Daillon
18:00 Publié dans Ecrit(o)ures, Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 01 novembre 2005
Les Trois Rois
18:15 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (1)
Cent-quarante-neuf ans après...
13:00 Publié dans ... de mon fils, Célébrations improbables, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 31 octobre 2005
Vue pyrénéenne agrémentée d'une énigme
19:45 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Bordeaux barbapapesque
15:05 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 25 octobre 2005
Le chiffre de VS (Saint-Vincent de Neuvy)
10:40 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (3)
dimanche, 23 octobre 2005
La douce dame de Bueil
10:30 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 21 octobre 2005
Chambre de Commerce de Tours
10:20 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 20 octobre 2005
Chien orange en bois
17:15 Publié dans Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 19 octobre 2005
Fauteuil du Château du Rivau
06:45 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 15 octobre 2005
Boulangerie de Champigny
De passage à Champigny, dimanche dernier, j'ai appris que Chaïm Soutine y avait trouvé refuge et peint plusieurs toiles, et aussi que ce peintre que j'aime beaucoup était d'origine lituanienne, ce que savaient certainement Marione et Simon, les auteurs du blog Oreilles de cochon grillées, grands ambassadeurs des relations entre la Touraine et la Lituanie.
(P.S.: Vérification faite, il semblerait que Soutine soit d'origine biélorusse mais ait passé son enfance en Lituanie avant de s'exiler en France.)
15:30 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 13 octobre 2005
Château de Cinq-Mars la Pile
Samedi dernier, nous avons eu l’excellente intuition d’aller visiter le château de Cinq-Mars la Pile, tout près de Tours, sur la rive droite de la Loire. Excellente intuition, car il sera bientôt fermé aux visiteurs, comme beaucoup de « petits » châteaux qui n’ont intérêt à ouvrir qu’entre mai et octobre, mais surtout en raison du temps splendide et presque estival : le château, en effet, se réduit à deux tours étêtées ou “découronnées” (sur ordre de Richelieu, qui avait fait exécuter Henri Ruzé d’Effiat, Marquis de Cinq-Mars, pour haute trahison), mais il y a une très agréable promenade autour des tours, dans les douves herbeuses, puis au-dessus de la terrasse de la Juiverie, et enfin par le bois d’ifs. Nous y avons été accompagnés par le maître des lieux, un chat fort aimable et joueur.
Nous avions été, de prime abord, accueillis par la propriétaire, qui nous a appris que la majorité des visiteurs n’étaient pas de la région, soit que les Tourangeaux ignorassent l’existence même de ce château, soit qu’ils préférassent partir en promenade plus loin et se garder, en quelque sorte, cette excursion voisine pour de plus lointaines journées : c’est tout près, on aura toujours l’occasion de le visiter plus tard… Curieuse mentalité, mais si elle le dit, comment ne pas la croire ?
Du haut de la première tour, on peut observer le panorama. La propriétaire nous avait promis que nous pourrions admirer Villandry, en raison du temps dégagé, mais tout ce que nous avons vu, c’est cette affreuse et immense usine que l’on voit depuis la route qui relie Tours à Saumur. Cette terrasse est toutefois un lieu mémorable et singulier, en raison aussi des nombreux graffiti gravés, parfois fort anciens, et creusés à l’aide d’outils très perfectionnés (burin de marbrier, certainement). Il y a, notamment, une gravure représentant une silhouette assise.
Dans la salle du premier étage sont exposés trois tableaux d’un certain Nicolas Untersteller, notamment une Descente de croix, apparemment des années 1950, très influencée par l’expressionnisme allemand et le nouveau réalisme français d’après-guerre (Hélion, par exemple), mais sur le mode mineur. Comme la propriétaire nous a introduits dans son salon (la demeure occupée par les actuels propriétaires correspond aux anciens communs) et que nous y vîmes chevalet, tableaux, matériel de peinture, nous ne savons si l’artiste est son mari, son père, son beau-père, etc.
Il y a, dans les douves, plusieurs figuiers superbes, aux figues toutefois complètement vertes, ce qui est étonnant.
Après cette visite, nous avons admiré la porte qui ouvre sur la rue de la Juiverie, acheté rillettes et rillons dans la charcuterie locale et pris un verre dans le bistrot complètement désert, et décoré d’affiches dont le thème commun était « le corps féminin fortement dénudé », exposition aussi d’un autre genre.
07:50 Publié dans BoozArtz, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (7)
lundi, 10 octobre 2005
Ironie des images
20:40 Publié dans Affres extatiques, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (9)
Gardez la parole
15:55 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 06 octobre 2005
Note de tout bois
11:48 Publié dans Ex abrupto, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 05 octobre 2005
Atelier mode d’emploi: Ségolène Garnier et Cécile Cluzan
Mercredi, 11 h 40
Dimanche dernier, en début d’après-midi, dans le cadre d’une manifestation culturelle appelée Atelier mode d’emploi et qui consistait, pour les artistes tourangeaux, à accueillir le public dans leurs ateliers respectifs, nous nous sommes rendu, mes parents, ma compagne, A. et moi, au 32, rue Delpérier, où demeure Ségolène Garnier, qui avait exposé certains de ses mobiles tridimensionnels, et une série fort longue de figures rouges sur supports imprimés retravaillés. C’est, de ses œuvres, cette série que j’ai préférée. J’ai aussi remarqué, sur les rayonnages de sa bibliothèque, qu’elle avait lu Le sujet monotype de Dominique Fourcade, dont j’avais promis de parler mais que j’ai dû rendre, entre-temps, à la Bibliothèque Universitaire (ou S.C.D.).
Auparavant, nous avions été accueillis, dans la courette de l’immeuble, et pendant une battante averse, par l’invitée de Ségolène Garnier, Cécile Cluzan, qui avait édifié une sorte de tente-igloo entièrement constituée de pull-overs et de chandails décousus puis recousus les uns aux autres, dans une sorte de sarabande colorée très insolite. J’ai photographié le reflet, dans la théière, des visiteurs et hôtes assis autour d’un thé fumé sur ce fond multicolore.
Je ne sais si Ségolène Garnier m’autoriserait, elle, à inclure dans ce carnet de toile une ou deux images volées à ses figures rouges ; je vais essayer de retrouver sa trace, afin de lui signaler, au moins, l’existence de cette note.
Après cette incursion dans l’atelier de ces deux jeunes artistes, nous avons profité du soleil revenu pour flâner avant de conduire mes parents à la gare de Saint-Pierre des Corps. Je leur ai montré les bâtisses de style art nouveau de la rue Jules Charpentier ; nous avons visité, dans ces parages-là, un autre atelier dont je préfère éviter de parler.
16:15 Publié dans BoozArtz, Moments de Tours, Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 04 octobre 2005
Les Musiciens de Brême, version plastique
07:40 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 03 octobre 2005
Connaissez-vous les suricates
15:35 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (9)
dimanche, 02 octobre 2005
Place du Grand Marché
10:05 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (4)
mardi, 20 septembre 2005
Aucard, suspends ton vol
22:40 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)
Horsarrieu, août 2004
12:30 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
Zoo de Beauval: béton paysager
07:25 Publié dans Hors Touraine, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 16 septembre 2005
Acharné
Je suis
noirci sous le harnais
14:00 Publié dans Où sont passées les lumières?, Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (2)
jeudi, 15 septembre 2005
Jean-Gilles Badaire, suite
09:50 Publié dans BoozArtz, Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 11 septembre 2005
Autoportrait au kalanchoë
Plus que lui, en effet, le kalanchoë a l'air expressif.
09:55 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 10 septembre 2005
En halos
Levant les yeux d'un air complice,
Elle dit: "Bravo, Seigneur, c'est du joli travail!"
09:55 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (6)
vendredi, 09 septembre 2005
Un autre encore
09:55 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (12)
jeudi, 08 septembre 2005
Autoportrait soufflé au vent
Je te demande
Et toi
Que deviens-tu?
21:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (8)
mercredi, 07 septembre 2005
Un autoportrait, en août 2004
C'est encore la série des images ridiculement minuscules...
09:50 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 06 septembre 2005
Nature morte au torchon
Cependant, tout autour, la nature frissonne, vit, se désespère.
10:20 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 05 septembre 2005
Pause (suite) : les images
La remarque de Livy sur la taille des images est juste. C’est mon côté radin ou rabioteur qui a encore eu le dessus : pour ne pas me retrouver dans la situation désagréable de voir mon espace disque alloué par H&F saturé au bout de deux ou trois semaines de publication d’images, j’avais eu l’idée de ces petites vignettes. Je vais œuvrer à améliorer le système. Je crois d’ailleurs avoir trouvé la parade, car la fonction « découper l’image » de mon très riche logiciel Ulead Photo Express, réussit à diminuer le nombre de kilo-octets de manière conséquente en ne réduisant pas trop la taille.
15:30 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
Elle a dit non
Ce jour-là, sans langue de bois, elle a dit non.
10:20 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 04 septembre 2005
Lettre à...
Ce n'est plus un songe
Ce mal qui te ronge
22:05 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (2)
L'heure est venue...
Au mur ligneux, ferrugineux, il était trois heures et demie.
10:15 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
samedi, 03 septembre 2005
L'épouvantail
C'est - ou ce n'est pas - un grillage.
10:15 Publié dans Où sont passées les lumières? | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 02 septembre 2005
Orthez à Tours
Au moment de donner un titre à cette photographie (la première de ma main (ou de mes yeux) qui s'attache à ce carnétoile), j'ai choisi Orthez, tout simplement. Les Tourangeaux, pourtant, devraient reconnaître le lieu.
10:05 Publié dans Où sont passées les lumières?, Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (0)