Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 23 novembre 2005

2

Une femme de Saint-Genouph

Traitait son mari de pignouf:

"Il m'a promis la lune

Mais il n'a pas de thunes;

Le plus affreux, ce sont ses roufs!"

 

1

Un garçon nommé Aymerick

N'aimait pas trop les limericks.

Sa mère, qui aime

Les jolis poèmes,

Hier lui dit: "Tu m'en lis, Merick?"

 

O'Nan

Comme il est beaucoup question de mes autoportraits ou de leur éventuelle indécence/inintérêt (en tout cas, ils attirent les commentaires), voici un poème récent de Steve Gehrke, inspiré d'un célèbre tableau d'Egon Schiele.

10:11 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (12)

mardi, 22 novembre 2005

Guillaume Cingal, sur le périphérique

medium_hpim3721.jpg

Robologie

La science des robots étant la robotique, la notion de robologie peut être appliquée à l'étude de Rob (mais les liens ne fonctionnent pas: blog et galerie de photos sont morts), encore que, des Robert, il y en ait des tapées...

Commissions de spécialistes

Pensant à mes nombreux amis ou connaissances qui s'apprêtent à affronter, d'ici deux mois, l'enfer du C.N.U., puis les tempêtes du recrutement, je renvoie en lien vers la note très informative d'un ancien condisciple de l'E.N.S., Baptiste Coulmont.

***********

Je remarque que mes autoportraits vous inspirent. Ce n'est qu'un début; continuons le combat!

07:33 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 21 novembre 2005

Guillaume Cingal, rire bougé

medium_oct-24-26-2004---010.jpg

Borborygmologie

La science des borborygmes est-elle une sous-discipline de la gastro-entérologie, ou plutôt un segment novateur de la phonologie (voire de la sociolinguistique)?

*****************

"En éructant quelques borborygmes dépourvus de signification mais susceptibles d'être perçus comme de l'hébreu ou du phénicien, il stupéfia son auditoire, lequel ne pigeait pas un traître mot de son discours, hormis les « Apollon ! » et les « Asclépius !" dont il l'entrelardait." (Lucien de Samosate. Alexandre ou le Faux Devin. Traduit par Joseph Longton.)

"J'ai envie de mordre mon ombre, afin de l'empêcher de s'allonger ; elle serait bien capable de s'endormir à même le sol, et ses borborygmes nocturnes donneraient de l'urticaire à la moquette." (Jean-Yves Duchemin. Tatanka)

"En 1997, Mr Bean, avec ses grimaces et ses borborygmes, a fait se gondoler dix-sept millions d'Européens." (Edgar Pansu)

"Après moult prières, le curé dégaina son goupillon et prononça quelques borborygmes en latin à la gloire de Capet. Le roitelet et sa blonde bénirent l'aïeul avec le divin goupillon et passèrent l'objet symbole de tant d'imprécations et de frayeurs populaires à d'autres mains royales qui l'abandonnèrent ensuite à des paluches roturières." (Anonyme. Une messe de requiem pour Louis XVI.)

Bonobologie

Pourquoi cela n'existerait-il pas?

medium_bonobo_de_touraine.jpg
J'étais Bonoboo
Clama le Bonoboo
dixit l'énervantissime M.

Bobologie...?

Dans une récente note, je citais une dépêche de l'AFP, dans laquelle un pompier parlait de "bobologie": ayant lu trop vite, et ne connaissant pas ce mot (honte à moi!), j'en avais conclu hâtivement, étant donné le contexte de l'article (la presse a cherché à distinguer les rixes grenobloises des émeutes des quartiers sensibles), que ce pompier-là disait avoir eu affaire à des fils à papa, des petits ou grands bourgeois... bref, des "bo-bo"... En l'occurrence, c'était plus simple: "bobologie" semble être la science médicale appliquée aux petites blessures de rien du tout... les bobos...

Ah! sacré Guillaume! un vrai shadok: pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

************

PS pour Baptiste: non, il n'y a qu'un seul Guillaume Cingal. Bienvenue sur mon carnet de toile!

L'escalier est un cendrier

L'escalier est un cendrier.

 

L'escalier sous la passerelle,

côté impair, rue des Tanneurs,

est un vrai cendrier

 

plein de mégots

et de déchets laissés

par les fumeurs.

Lino Ventura et moi

Deux mots d'explication tout de même sur cette photographie (et cette série qui vous inspire (explication de ma compagne: "c'est sûr, des types qui se prennent en photo sous toutes les coutures et qui publient ça, il n'y en a pas beaucoup; tu vas surtout attirer les psychiatres")): elle date de fin août dernier; pour les lunettes, j'ai cassé mon ancienne paire le jour de mon anniversaire, ten days ago, et j'en ai maintenant deux paires (dont celle arborée le 13 novembre à l'exposition Buren); enfin, le titre est un double jeu de mots, car un synonyme argotique du "volant" est le "cerceau", que je n'ai jamais entendu employer, à mon grand enthousiasme d'ailleurs, que dans un film français des années 1950, peut-être Un taxi pour Tobrouk (la phrase exacte, prononcée par Lino Ventura (lequel passe une bonne partie du film à faire semblant de conduire un camion), est "Tu me passes le cerceau?").

Bien sûr, le volant suggère aussi le badminton; le cerf-volant, par sa proximité avec les lucanes, appelle une référence paronomastique et voilée à la lucarne de l'appareil photo numérique; il s'agit aussi, par ce titre, de signaler combien toute cette série est bâtie sur du vent, sans lequel flying a kite semble impossible. Je pourrais donc rebaptiser cette photographie Guillaume Cingal et les châteaux en Espagne ou Guillaume Cingal à Milan; vous n'en seriez guère plus avancés, si ce n'est que vous aurez constaté ma propension à abuser des points-virgules mais aussi mon aptitude à écrire des argumentaires débiles (je m'entraîne pour le jour où j'exposerai mes photos à Beaubourg).

Villandry, le retour

Dimanche, neuf heures et demie du soir.

 

Nous avions visité le château de Villandry, le 30 ou le 31 octobre 2003, avec ma soeur, alors qu'A., mon fils, n'avait que deux ans. C'était alors une matinée très froide, un dimanche glacial. Aujourd'hui n'était pas piqué des hannetons non plus, question pincée, mais enfin, je dois être aguerri car j'avais veste et manteau largement ouverts sur mon pull-over léger. (Rêvez, dames et demoiselles, de ce grand biau gars remarquablement bâti déambulant nonchalamment dans les allées de Villandry. (Qu'est-ce que je raconte, moi?))

Bref, A. était ravi de retrouver Villandry, dont il n'avait évidemment pas le moindre souvenir. Malheureusement, le château était fermé, ce que le guichetier a oublié de préciser; mais les jardins à eux seuls valent le détour. Je n'illustre pas cette note de photographies prises, car je les réserve à un autre usage, sur mon carnétoile de fiction. (D'ailleurs, j'en profite pour rappeler aux étourdis que le vote qui doit décider du chapitre 2 d'Avril déjà dérape, ce roman exceptionnel qui fait déjà la une de Lire et de L'Express (c'est dire s'il est mauvais), s'achève ce lundi 21 novembre. Donc, un petit tour sur le site Romanse, une lecture admirative et minutieuse du chapitre 1, un vote, et l'affaire est dans le sac.)

Villandry est un château fort déroutant, par bien des aspects: construction à la fois classique et héréroclite, plan partagé entre le belvédère et les terrasses, sur un corps de bâtiment Renaissance aux ornements très austères et oncques fort peu représentatifs du XVIème, jardins en labyrinthe et cultures légumineuses de grande classe. Totalement atypique, il est pourtant "vendu" par les agences de voyage comme le château de la Loire par excellence, peut-être parce qu'il se situe si étonnamment près du confluent de la Loire et du Cher?

Dans mon souvenir, l'intérieur n'a rien de très mémorable. (Cela, c'est une phrase remarquable d'ambiguïté et de maladresse retournée. Chapeau, mon gars...) Mais les jardins, où nous allâmes rêvassant, conversant, jouant à cache-cache (...), prenant des images et des poses, sont un vrai régal, pour l'oeil et la promenade.

medium_hpim3749.jpg

Note (21 h 40) : D'aucuns s'offusqueront peut-être derechef, ou une tantième fois, de mon style ampoulé, précieux ou dandy, mais c'est que, fort bonne poire, trop gentil garçon, je n'aimerais pas enlever le tapis sous les pieds de ceux qui pensent m'insulter en me traitant de "pédant". Je suis assez gentleman aussi, en dépit des apparences, et n'aimerais point que, découvrant une mienne note écrite en style SMS ou France Info (c'est à peu près équivalent), ces aucuns-là ne s'en fâchassent en pensant que je leur ai joué un tour pendable.

dimanche, 20 novembre 2005

Bréhémont

Dans une ancienne note, j'écrivais le nom de cette commune avec un D, alors que sites Web et cartes routières sont unanimes: c'est un t qui clôt le beau nom de cette jolie commune ligérienne. Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter la version synthétique, ou la version militante (le site de M. Thierry Valter).

Guillaume Cingal et le cerf-volant

medium_guillaume_cingal_en_van_gogh_sept._2004_.jpg

 

Dictée de l'inconscient...?

L'aigle glisse. La glu en luge, légèrement, dérape. Dans ces parages montagneux, la marmotte sourit et les touches du clavecin se prêtent aux discordes. L'avalanche nous emporte - c'était bien la peine de faire de l'escalade, ou du ski, ou du hors-piste, ou d'aller giboyer dans les prés du seigneur. Enfin, vivement le retour au chalet, le vin chaud, la cuisse amie de la bergère. Je divague! Vertige! Une orée, une rosée plutôt (mais j'ai écrit "orée"), emporte encore les débris de mes os blanchis à la chaux, chauffés au soleil, chantés par-delà les alpages. On ne sait rien de ce persifleur, sinon qu'il fut traité de moine, et de bougre, et de célesta tumultueux (insulte étrange, celle-là). Toujours est-il que, dans nos contrées, la rosée se dessèche, les os se craquèlent et les regards fendillés s'échappent par le soupirail. Toujours cette varappe à brûler nos mains à charrue! Toujours ce festin des rues, et la tourmente qui s'éloigne, emportée dans le bec de l'aigle, une aurore à la commissure.

******************

 

Note de 21 h 27 : Ce texte constitue ma 777ème note. Emotion...

A lire :

: un très beau poème de Materterlinck, fort bien illustré par les soins du Vrai Parisien.

What tits are those?

Je ne résiste pas au plaisir de vous livrer une petite anecdote que j'extrais de la lettre hebdomadaire de l'excellent Michael Quinion, auteur du site tout aussi excellent World Wide Words. Il y est question des logiciels de blocage des messages indésirables et de leurs (nombreux) ratés; ainsi, un certain Chris du Feu raconte comment sa lettre de diffusion spécialisée dans les questions ornithologiques fut complètement bloquée et ne parvint à aucun des destinataires parce qu'il y était question de "tits".

......

Les non-anglophones ont le droit de demander des explications, ou de chercher dans un dictionnaire. (Une alternative consiste à chercher, dans Google Images, "tits" puis "blue tits". Les résultats comparatifs sont édifiants.)

Où va l'érudition...

medium_thomas_sully_victoria.jpg

 

 

Les Presses Universitaires de Princeton ont même publié un ouvrage, d'une certaine Carrie Rebora Barratt, sur les circonstances dans lesquelles Thomas Sully réalisa, en 1837, un portrait de la jeune reine Victoria.

 

 

 

 

... je sais, les auteurs de carnétoile qui n'ont pas le temps d'écrire se contentent de quelques images ou de notes courtes... sombrant dans la facilité...

13:50 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (0)

Il y a 168 ans, le 20 novembre 1837...

... le peintre Thomas Sully assistait à une conférence du professeur Green, le grand anatomiste anglais.

medium_vc216.jpg

(Thomas Sully. Portrait de Thomas Jefferson. 1821)

Soutenance

Maison de la Recherche. Un bâtiment flambant neuf. La candidate, légèrement anxieuse et sans doute très fatiguée. Un des membres du jury annonce à la dernière minute qu'il ne peut pas venir (pour de bonnes raisons, familiales). La soutenance se déroule impeccablement. Présentation synthétique et limpide. Débat d'idées. Questions. Echanges de haut vol. Le jury délibère. Mention Très Honorable avec Félicitations. J'aurais aimé rencontrer le professeur absent, dont je connais les travaux depuis longtemps. Et c'était une très belle soutenance; j'étais content d'y assister.

samedi, 19 novembre 2005

Guillaume Cingal, yeux plissés

medium_2005june11n1011.jpg

vendredi, 18 novembre 2005

Guillaume Cingal, dans le rouge fade de l'exposition Buren

medium_guillaume_cingal_rouge_buren.jpg
......................................................
J'emprunte à ma mère son appareil photo (car j'avais oublié le mien à la maison), je tends le bras (comme j'avais toujours fait), et je me risque à de subtiles discordances, les lunettes neuves cerclant mes yeux, l'écharpe de laine en légère contre-plongée (sinon mon triple menton vous jaillissait aux tripes), le flash perceptible sur le mur d'un rouge uni, j'esquisse même un sourire (anticipais-je sur les objurgations de Jacques?) puis prends la plume (quelques jours plus tard, mais qu'importe?), car écrire (m')est (plus qu')imaginer.

Têtes de Turcs?

On entend dire ici et là, depuis hier matin, que l'équipe nationale de Turquie serait passible de lourdes sanctions de la part de la FIFA suite aux incidents ridicules (mais assez emblématiques, je trouve, de ce qu'est un stade de football quoi que l'on veuille nous faire accroire) qui ont conclu le match Turquie/Suisse, mercredi soir. On parle également de la possibilité de faire jouer les matchs internationaux de la Turquie sur terrain neutre pendant quelque temps. Fort bien.

Mais voilà: j'ai aussi entendu plusieurs analystes tout à fait galonnés et compétents déclarer que ces incidents risquaient de compromettre les négociations d'adhésion entre la Turquie et l'Union Européenne. Cela me surprend... Qu'est-ce donc? Ni la non reconnaissance officielle des crimes contre les Arméniens, ni la répression de nombreux journalistes et citoyens engagés dans des associations de défense des droits de l'homme, ni les atermoiements de la Turquie dans le dossier chypriote, ni le statut juridique des femmes (toujours problématique en fonction des régions) n'auraient pesé dans la balance... mais quelques coups de pied dans des testicules helvétiques auraient raison des visées européennes de nos amis les démocrates ottomans? Nous vivons une époque formidable!

18:50 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (6)

Neuf couleurs : Violet

medium_le_livre_des_couleurs_10.jpg

 

 

 

La plume mue en volume.

La surface glisse sur place.

Grenoble et ses "étudiants"

Je copie-colle ci-dessous la dépêche AFP, purement factuelle et relative aux affrontements entre les forces de l'ordre et certains "jeunes" la nuit dernière à Grenoble. Ce matin, j'ai entendu un reportage sur ce sujet à la radio, et j'ai été choqué d'entendre le journaliste préciser que ces incidents étaient tout à fait distincts de l'actuelle flambée des banlieues, car, dans le cas précis de cette "Fête du Beaujolais" qui a tourné au vinaigre, les jeunes agresseurs, certainement bien éméchés, étaient "des étudiants", et non des jeunes de banlieue.

 

Il se trouve qu'un nombre non négligable de "jeunes de banlieue" deviennent, comme l'immense majorité des jeunes, des étudiants. Cela est à prendre dans les deux sens, histoire d'en finir, de part et d'autre, avec la langue de velours:

1) On peut vivre "en banlieue" et accéder aux études. Les études universitaires, en particulier, sont ouvertes à tous sans concours d'entrée. (Exemple personnel: que ce soit à Paris-10-Nanterre, dans mes jeunes années, ou à Tours, j'ai toujours eu, dans les classes que je prenais en charge, des étudiants issus des milieux dits "défavorisés" ou "sensibles".)

2) Corollairement, on peut être étudiant et casseur... que l'on soit ou non un "jeune de banlieue"!

 

Autant dire que, dans le cas des "événements" de Grenoble, dont je n'ai pas été témoin, et dont je ne sais rien que ce que la presse (fort peu diserte) en dit, les étudiants qui ont agressé des pompiers puis des policiers pouvaient tout à fait être issus des banlieues; ils pouvaient aussi ne pas en être issus, mais, à coup sûr, ils se sont comportés d'une manière indigne et criminelle. C'est cela qui compte, et non l'origine sociale ou le niveau d'études: un groupe d'abrutis éméchés qui lancent des bouteilles sur des pompiers venus soigner leurs congénères partis en capilotade, ce sont des délinquants, point barre.

 

*******************

La fête du beaujolais tourne à l'affrontement avec la police à Grenoble

18 novembre 2005

GRENOBLE (AFP)

La fête du beaujolais nouveau a viré vendredi matin à l'affrontement avec les forces de l'ordre dans le vieux Grenoble et la police, qui a utilisé des gaz lacrymogènes, annonce avoir interpellé une vingtaine de personnes. A 04h00, le calme était revenu au centre ville. Les services du nettoyage municipal commençaient à nettoyer les rues jonchées de poubelles renversées et de morceaux de verre afin que la ville soit propre au lever du jour.

Vers 00H25, les pompiers avaient été appelés dans les rues piétonnes du centre ville historique après une bagarre pour soigner un blessé, mais ils avaient été pris à partie par des jeunes gens, souvent avinés qui ont endommagé le véhicule d'intervention, a indiqué le directeur départemental de la police, le commissaire Jean-Claude Borel-Garin. Les policiers venus au secours des pompiers ont, à leur tour, été agressés. En quelques minutes, plus d'un millier de jeunes gens, souvent des étudiants, sont sortis des bars et se sont retrouvé face à des forces de l'ordre qui ont fait l'objet de jets de projectiles divers.

A l'exception d'une voiture particulière au pare-brise défoncé, les dégâts matériels étaient limités, aucune vitrine n'ayant été endommagée, a constaté le journaliste de l'AFP. Selon le commissaire Borel-Garin, trois policiers et deux CRS ont été légèrement blessés. Les pompiers ont installé un poste de secours avancé dans un bar irlandais, et une dizaine de personnes ont reçu des soins, "essentiellement de la bobologie", ont-ils indiqué. La sortie du beaujolais nouveau avait été déjà l'occasion d'affrontements limités avec les forces de l'ordre au cours des deux dernières années, a rappelé un élu de la ville.

16:10 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)