jeudi, 24 novembre 2005
Miranda's cobwebs
En addendum à ma précédente note au sujet de Spider, je voulais tout de même renvoyer mes lecteurs non anglophones vers deux pages intéressantes au sujet du film: la recension de Miss N. et Tino R., et celle de Stéphanie Marie.
Il me semble pourtant qu'un point reste en suspens: combien d'actrices y a-t-il pour les "trois" rôles de la mère, de la prostituée et de la directrice de pension? deux, apparemment... Mais tous les sites officiels ou officieux reprennent à leur compte la distribution donnée dans le générique de fin: Miranda Richardson joue le rôle de la mère et de la prostituée, alors que la directrice de la pension est jouée par une autre actrice. Pourtant, dans la partie médiane du film, c'est aussi Miranda Richardson qui joue ce rôle-là. Et n'y a-t-il pas une autre actrice encore pour certaines scènes où figure "la mère"...? Cette confusion témoigne d'un remarquable travail du metteur en scène, des (de l') actrice(s)... mais aussi des costumières et maquilleurs.
18:40 Publié dans Tographe | Lien permanent | Commentaires (0)
Vins de Loire sur Google?
C'est volontiers que je relaie l'appel suivant, qui émane du pétillant Guillaume Lapaque, webmestre du site Vins de Loire.
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Appel à la solidarité des blogueurs : VinsdeLoire.com boudé par Google :-(
Créé il y a presque 4 mois, VinsdeLoire.com commence à trouver son rythme de croisière. Depuis la création de ce site, 14 915 visiteurs ont vu 172 511 pages. La fréquentation mensuelle a dépassé les 4 500 visiteurs au mois d'octobre et 50 lecteurs réguliers sont abonnés à la newsletter du site.
Globalement, VinsdeLoire.com est correctement référencé par la grande majorité des moteurs de recherche :
* Il est référencé en deuxième position des résultats donnés par le moteur de recherche de Yahoo à la requête "vins de Loire",
* Il est suggéré en troisième position des réponses proposées par MSN Search à la requête "vins de Loire",
* Il est référencé parmi les 500 sources d'information du moteur de recherche Google News,
* Il est deuxième des liens non sponsorisés suggérés par le moteur Alice Recherche à la requête "vins de Loire",
* Il est deuxième des résultats fournis par le moteur Lycos à la requête "vins de Loire",
* Il est proposé en deuxième position des réponses d'Altavista à la requête "vins de Loire",
* Il est très correctement référencé sur le nouveau service de recherche de blogs de Google,
* La parution des articles est signalée par le site blog-appetit qui apporte une audience non négligeable.
Mais hélas, malgré tous mes efforts, VinsdeLoire.com n'est pas référencé par Google dont le robot n'indexe rien d'autre que la page principale du site.
Lorsque l'on sait, comme l'indique une étude Médiamétrie citée par le spécialiste du référencement Abondance.com, que 64 % des recherches des internautes français passent par Google, cette situation a évidemment pour conséquence de limiter l'audience de VinsdeLoire.com...
J'ai tout essayé : écrire à Google, transférer le nom de domaine, étudier la situation avec Stéphane de Viabloga qui a fait preuve de beaucoup de patience et de disponibilité...
Mais à ce jour, rien n'a permis d'améliorer la situation.
Aussi, je me permets de faire appel aujourd'hui à la solidarité des blogueurs pour solliciter vos conseils, vous demander de relayer cet appel, et vous inviter à m'envoyer par mail vos suggestions pour parvenir à être référencé sur Google.
Et le jour où VinsdeLoire.com sera enfin référencé par Google, j'aurais plaisir à partager une caisse de vins de Loire avec celui où celle qui m'aura aidé à mieux comprendre les mystères du référencement !
17:05 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles, Indignations, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (4)
7
Un homme du quartier Velpeau
S'égratignait toujours la peau ;
Au moindre saignement,
Sans même un clignement,
S'y collait des bandes velpeau.
15:45 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (1)
David Cronenberg et le château de l'araignée
Nous avons vu, hier soir, Spider de David Cronenberg. (C'est notre petit côté "inactuel": au moment où tous s'étripent pour savoir si A History of Violence est un bon cru ou un ratage absolu, nous découvrons le pénultième film du maître canadien.)
Je ne vais pas écrire une note sur ce film, qui est abondamment recensé, chroniqué, épluché et scruté en de nombreux points de la Toile*, mais je remarque qu'aucun des critiques ne semble d'accord sur l'interprétation des faits réels ou avérés; c'est que Cronenberg réussit magnifiquement à ne pas sortir des incertitudes de l'esprit dérangé de son protagoniste. La mère est la putain; la mère est tuée à coups de pelle par le père, et par son fils au moyen du gaz. Deux (au moins) plans se superposent, et deux hypothèses contradictoires demeurent. Cette indécidabilité n'est jamais kitsch ni un effet de mode; elle est rendue d'une manière magistrale.
Autre point: jamais Cronenberg n'a, à mon sens, aussi bien filmé. C'est cela qui, généralement, me laisse sur ma faim: la photographie n'est pas toujours très soignée. Ici, rien à dire, au point de se demander si le directeur de la photographie est bien le même que dans d'autres opus de D.C..
La meilleure des recensions que j'ai lues se trouve ici; son auteur en est un certain Alan Dale.
* Il est souvent question, dans les commentaires lus ce matin, du parallèle entre le tissage de la toile, l'écriture en signes cabalistiques dans le carnet, et l'acte de création; mais personne ne semble relever la parenté entre la métaphore de la toile-folie et les nouvelles technologies du... Web... Am I just making this up?
En écoute: "2870" de Gérard Manset.
12:55 Publié dans Tographe | Lien permanent | Commentaires (0)
6
Un garçon d'Azay-le-Rideau
Aimait les filles du Lideau ;
Il aimait leurs splendeurs
Et était en sueur
Jusqu'à la tombée du rideau.
11:35 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (2)
Et un contrat, un...
Moi qui pensais me reposer un peu au second semestre, je viens d'avoir la confirmation, au cours d'une conversation téléphonique avec Mme A. F., responsable de collection chez un prestigieux (?) éditeur parisien, que j'étais engagé pour traduire le dernier roman paru de "mon" auteur.
10:25 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (1)
5
Un lycéen de Marmoutier
Voulait devenir égoutier.
Un jour, en voyant une tique,
Il déclara: "Je suis sceptique",
Et n'alla plus à Marmoutier.
09:30 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (7)
Roman photo
Vous êtes invités à participer à l'écriture collective du roman photo Le Vil Landru à Villandry sur le site de la fournée de romans.
J'en résume les règles ci-dessous :
Le premier commentateur écrit la première phrase, le second la seconde, et ainsi de suite; chaque très bref chapitre, illustré par une photographie, ne peut dépasser six phrases (donc six auteurs différents). A partir de la quatrième phrase, un co-auteur peut choisir que sa phrase est la dernière du chapitre à condition de le préciser. Je suis, il va sans dire, le seul arbitre du jeu; j'ai également le droit de participer à l'écriture (mais pas d'écrire la première contribution).
08:15 Publié dans Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (2)
4
Un vieil épicier sis rue de la Scellerie
Vendait navets, poivrons, raisins, du céleri.
Un jour, près du Grand Théâtre,
Il glissa sur un bout de plâtre...
"A vendre épicerie rue de la Scellerie".
07:25 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 23 novembre 2005
Guillaume Cingal et la flèche de Zénon

21:50 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (0)
3
Un garçon de Montlouis-sur-Loire
Aimait extrêmement les poires.
Un jour il en pela
Deux sur un matelas,
Qui fut à tout jamais tâché de jus de poire.
18:40 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (1)
Dérapages
Outre l'état d'épuisement presque atroce et jamais expérimenté dans de telles proportions, j'ai de nombreuses tâches à accomplir dans les jours qui viennent, certaines lourdes et/ou pénibles. D'où vient que celle qui me fascine, m'attire, me préoccupe le plus soit l'écriture du chapitre 2 d'Avril déjà dérape? Prenant l'écriture de ce chapitre pour prétexte, j'écoute pour la énième fois de ma petite vie certains disques de Gérard Manset, l'un des chanteurs qui a le plus compté pour moi, avec toutes les réserves que je formulais, le découvrant, sur son excessif sérieux. Je ne veux pas recommencer l'expérience tentée en 1998 (je crois), quand j'écrivais un chapitre de roman en partant des vers du dernier quatrain de Jeanne. C'est une toute autre méthode que je veux suivre ici - et comment éviter les tics?
Amis qui tournez la tête
Sans savoir
Ou peut-être
Sans y croire
Ici c'est le temps qui s'arrête
Comme un oiseau sans tête
18:05 Publié dans Autres gammes, Ecrit(o)ures | Lien permanent | Commentaires (0)
Commentaires
De trop nombreux auteurs de carnétoiles bloquent les commentaires trois jours après publication; souvent, c'est involontaire, car il s'agit là de la fonction par défaut sur H&F. Le plus ennuyeux, ce sont les sites qui, comme celui de Nino, ne sont pas renouvelés tous les trois jours - c'est le moins que l'on puisse dire. Comment laisser une trace ou lancer un débat, à moins d'écrire un courrier électronique privé à l'auteur, ce qui n'est pas le principe des blogs, si je ne m'abuse?
Un autre exemple serait le blog du pseudonyme Bertrand de Born, dont les textes n'ont pas grand chose à voir avec son célèbre inspirateur troubadour. (Le plus choquant est peut-être que le névropathe hard-rockeux soit en passe de supplanter le vrai poète dans les premières pages de réponse de Google.) Il y a quelque chose de totalitaire à refuser ainsi les commentaires ou le dialogue: pourquoi, dans ce cas, créer un carnet de toile plutôt qu'une page personnelle à l'ancienne?
Sans aller jusqu'à réclamer, que sais-je, des colonnes plus larges ou des bannières originales, comme certains obsédés que la morale réprouve, n'est-il possible de demander de nos petits camarades qu'ils jouent le jeu...? Une note "morte" au bout de trois jours, c'est regrettable.
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En écoute: "Les vases bleues" (Gérard Manset).
17:15 Publié dans Flèche inversée vers les carnétoiles | Lien permanent | Commentaires (5)
2
Une femme de Saint-Genouph
Traitait son mari de pignouf:
"Il m'a promis la lune
Mais il n'a pas de thunes;
Le plus affreux, ce sont ses roufs!"
16:40 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (3)
1
Un garçon nommé Aymerick
N'aimait pas trop les limericks.
Sa mère, qui aime
Les jolis poèmes,
Hier lui dit: "Tu m'en lis, Merick?"
14:39 Publié dans Album de limericks ligériens | Lien permanent | Commentaires (2)
O'Nan
Comme il est beaucoup question de mes autoportraits ou de leur éventuelle indécence/inintérêt (en tout cas, ils attirent les commentaires), voici un poème récent de Steve Gehrke, inspiré d'un célèbre tableau d'Egon Schiele.
10:11 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (12)
mardi, 22 novembre 2005
Guillaume Cingal, sur le périphérique
21:45 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (12)
Robologie
La science des robots étant la robotique, la notion de robologie peut être appliquée à l'étude de Rob (mais les liens ne fonctionnent pas: blog et galerie de photos sont morts), encore que, des Robert, il y en ait des tapées...
12:16 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (2)
Commissions de spécialistes
Pensant à mes nombreux amis ou connaissances qui s'apprêtent à affronter, d'ici deux mois, l'enfer du C.N.U., puis les tempêtes du recrutement, je renvoie en lien vers la note très informative d'un ancien condisciple de l'E.N.S., Baptiste Coulmont.
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Je remarque que mes autoportraits vous inspirent. Ce n'est qu'un début; continuons le combat!
07:33 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 21 novembre 2005
Guillaume Cingal, rire bougé
21:45 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (8)
Borborygmologie
La science des borborygmes est-elle une sous-discipline de la gastro-entérologie, ou plutôt un segment novateur de la phonologie (voire de la sociolinguistique)?
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"En éructant quelques borborygmes dépourvus de signification mais susceptibles d'être perçus comme de l'hébreu ou du phénicien, il stupéfia son auditoire, lequel ne pigeait pas un traître mot de son discours, hormis les « Apollon ! » et les « Asclépius !" dont il l'entrelardait." (Lucien de Samosate. Alexandre ou le Faux Devin. Traduit par Joseph Longton.)
"J'ai envie de mordre mon ombre, afin de l'empêcher de s'allonger ; elle serait bien capable de s'endormir à même le sol, et ses borborygmes nocturnes donneraient de l'urticaire à la moquette." (Jean-Yves Duchemin. Tatanka)
"En 1997, Mr Bean, avec ses grimaces et ses borborygmes, a fait se gondoler dix-sept millions d'Européens." (Edgar Pansu)
"Après moult prières, le curé dégaina son goupillon et prononça quelques borborygmes en latin à la gloire de Capet. Le roitelet et sa blonde bénirent l'aïeul avec le divin goupillon et passèrent l'objet symbole de tant d'imprécations et de frayeurs populaires à d'autres mains royales qui l'abandonnèrent ensuite à des paluches roturières." (Anonyme. Une messe de requiem pour Louis XVI.)
17:21 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (0)
Bonobologie
14:35 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (7)
Bobologie...?
Dans une récente note, je citais une dépêche de l'AFP, dans laquelle un pompier parlait de "bobologie": ayant lu trop vite, et ne connaissant pas ce mot (honte à moi!), j'en avais conclu hâtivement, étant donné le contexte de l'article (la presse a cherché à distinguer les rixes grenobloises des émeutes des quartiers sensibles), que ce pompier-là disait avoir eu affaire à des fils à papa, des petits ou grands bourgeois... bref, des "bo-bo"... En l'occurrence, c'était plus simple: "bobologie" semble être la science médicale appliquée aux petites blessures de rien du tout... les bobos...
Ah! sacré Guillaume! un vrai shadok: pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?
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PS pour Baptiste: non, il n'y a qu'un seul Guillaume Cingal. Bienvenue sur mon carnet de toile!
13:38 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (7)
L'escalier est un cendrier
L'escalier est un cendrier.
L'escalier sous la passerelle,
côté impair, rue des Tanneurs,
est un vrai cendrier
plein de mégots
et de déchets laissés
par les fumeurs.
12:45 Publié dans Ecrit(o)ures, Moments de Tours | Lien permanent | Commentaires (0)
Lino Ventura et moi
Deux mots d'explication tout de même sur cette photographie (et cette série qui vous inspire (explication de ma compagne: "c'est sûr, des types qui se prennent en photo sous toutes les coutures et qui publient ça, il n'y en a pas beaucoup; tu vas surtout attirer les psychiatres")): elle date de fin août dernier; pour les lunettes, j'ai cassé mon ancienne paire le jour de mon anniversaire, ten days ago, et j'en ai maintenant deux paires (dont celle arborée le 13 novembre à l'exposition Buren); enfin, le titre est un double jeu de mots, car un synonyme argotique du "volant" est le "cerceau", que je n'ai jamais entendu employer, à mon grand enthousiasme d'ailleurs, que dans un film français des années 1950, peut-être Un taxi pour Tobrouk (la phrase exacte, prononcée par Lino Ventura (lequel passe une bonne partie du film à faire semblant de conduire un camion), est "Tu me passes le cerceau?").
Bien sûr, le volant suggère aussi le badminton; le cerf-volant, par sa proximité avec les lucanes, appelle une référence paronomastique et voilée à la lucarne de l'appareil photo numérique; il s'agit aussi, par ce titre, de signaler combien toute cette série est bâtie sur du vent, sans lequel flying a kite semble impossible. Je pourrais donc rebaptiser cette photographie Guillaume Cingal et les châteaux en Espagne ou Guillaume Cingal à Milan; vous n'en seriez guère plus avancés, si ce n'est que vous aurez constaté ma propension à abuser des points-virgules mais aussi mon aptitude à écrire des argumentaires débiles (je m'entraîne pour le jour où j'exposerai mes photos à Beaubourg).
08:39 Publié dans Autoportraiture | Lien permanent | Commentaires (8)
Villandry, le retour
Dimanche, neuf heures et demie du soir.
Nous avions visité le château de Villandry, le 30 ou le 31 octobre 2003, avec ma soeur, alors qu'A., mon fils, n'avait que deux ans. C'était alors une matinée très froide, un dimanche glacial. Aujourd'hui n'était pas piqué des hannetons non plus, question pincée, mais enfin, je dois être aguerri car j'avais veste et manteau largement ouverts sur mon pull-over léger. (Rêvez, dames et demoiselles, de ce grand biau gars remarquablement bâti déambulant nonchalamment dans les allées de Villandry. (Qu'est-ce que je raconte, moi?))
Bref, A. était ravi de retrouver Villandry, dont il n'avait évidemment pas le moindre souvenir. Malheureusement, le château était fermé, ce que le guichetier a oublié de préciser; mais les jardins à eux seuls valent le détour. Je n'illustre pas cette note de photographies prises, car je les réserve à un autre usage, sur mon carnétoile de fiction. (D'ailleurs, j'en profite pour rappeler aux étourdis que le vote qui doit décider du chapitre 2 d'Avril déjà dérape, ce roman exceptionnel qui fait déjà la une de Lire et de L'Express (c'est dire s'il est mauvais), s'achève ce lundi 21 novembre. Donc, un petit tour sur le site Romanse, une lecture admirative et minutieuse du chapitre 1, un vote, et l'affaire est dans le sac.)
Villandry est un château fort déroutant, par bien des aspects: construction à la fois classique et héréroclite, plan partagé entre le belvédère et les terrasses, sur un corps de bâtiment Renaissance aux ornements très austères et oncques fort peu représentatifs du XVIème, jardins en labyrinthe et cultures légumineuses de grande classe. Totalement atypique, il est pourtant "vendu" par les agences de voyage comme le château de la Loire par excellence, peut-être parce qu'il se situe si étonnamment près du confluent de la Loire et du Cher?
Dans mon souvenir, l'intérieur n'a rien de très mémorable. (Cela, c'est une phrase remarquable d'ambiguïté et de maladresse retournée. Chapeau, mon gars...) Mais les jardins, où nous allâmes rêvassant, conversant, jouant à cache-cache (...), prenant des images et des poses, sont un vrai régal, pour l'oeil et la promenade.
Note (21 h 40) : D'aucuns s'offusqueront peut-être derechef, ou une tantième fois, de mon style ampoulé, précieux ou dandy, mais c'est que, fort bonne poire, trop gentil garçon, je n'aimerais pas enlever le tapis sous les pieds de ceux qui pensent m'insulter en me traitant de "pédant". Je suis assez gentleman aussi, en dépit des apparences, et n'aimerais point que, découvrant une mienne note écrite en style SMS ou France Info (c'est à peu près équivalent), ces aucuns-là ne s'en fâchassent en pensant que je leur ai joué un tour pendable.
00:25 Publié dans Sites et lieux d'Indre-et-Loire | Lien permanent | Commentaires (2)