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vendredi, 26 janvier 2007

Sans aucun succès

Sans le latin, sans le latin, la neige nous emmerde.

 

(Ah, Brassens. Chanter dans les rues. Ma jeunesse.)

20:10 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne

jeudi, 26 octobre 2006

Porte d'or à la bande de gueule

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Y a du blason dans l'air...

20:05 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 08 octobre 2006

Même pas entendu dans le bus (mais ça aurait pu)

Blogspot, c'est trop la louze.

 

 

 

... (jamais un visiteur)

18:40 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Littérature, Blog

dimanche, 24 septembre 2006

Swordbird

Eh bien, dites donc... It's a business indeed !

13:15 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 01 septembre 2006

Maladie de la gravelle

Tiens... Pas plus tôt descendu de sa noire calèche, et à peine secoué d'avoir manqué se faire casser la gueule par son petit copain Malléjac, l'hirsute Triton continue de baver... Il doit être bien triste de ne pas connaître l'adresse de mon autre carnétoile, où je publie plus de notes qu'ici, et dont la seule lecture admirative le tirerait de l'ennui affolant de sa terne fin de vie... Ah la la, mon brave monsieur...

11:25 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 04 juillet 2006

Message personnel

Married on a 4th of July ?

HAPPY ANNIVERSARY, MUM & DAD !

 

 

... Allez, ce message supporterait 36 commentaires enthousiastes ...

 

vendredi, 10 mars 2006

Je ne suis pas de retour

Je ne suis pas de retour. Je ne suis jamais parti, mais, en même temps, je suis ailleurs, écrivant un autre carnétoile tout aussi prolixe que celui-ci en son temps.

Vient aussi d'être créé un blog sonore, comme quoi je pouvais dire pis que pendre des podcasts...!

12:51 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (6)

samedi, 28 janvier 2006

Grand merci à Arbor...

... pour A) les Carolingiens, l'âge des Vikings, les cathédrales, Marco Polo ; B) le Moyen-Âge, la guerre de Cent Ans, le Quattrocento, le siècle d'or espagnol, l'Angleterre d'Elisabeth ; C) les Provinces Unies, Louis XIV, Pierre le Grand, le siècle des Lumières, l'Amérique ; D) la Révolution française, le Printemps des peuples, la Belle Epoque, les années folles, le dernier épisode ; E) la Terre fut, Néanderthal, Cro Magnon, les Vallées fertiles ; F) les Premiers Empires, le siècle de Périclès, la pax romana, les conquêtes de l'Islam.

 

Sans Arbor, rien de possible, même pas les aliens à ***.

 

Sinon, j'aime bien Nicolas Sarkozy.

13:00 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (2)

mardi, 24 janvier 2006

Big William is watching you

Ce n'est guère intéressant, mais je voulais vous informer que ce carnétoile reçoit, depuis ce matin, vers quatre heures, des visites régulières d'une personne (ou d'un programme automatique?) connectée à un ordinateur de l'Université Technologique de Compiègne.

Mystère...

12:50 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

Taux de chômage et thermomètre

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C'est comme ça en France aussi...

11:35 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 22 janvier 2006

L’alexandrin le plus court

J’avais lu, il y a déjà quelque temps, que Perec se vantait d’avoir écrit l’alexandrin le plus court de la langue française :

 

WWWW

 

 

Il se trouve que j’ai fait mieux :

 

??

 

 

(Ces remarques sont données sans aucune vérification préalable des recherches poussées qui auraient été faites sur le sujet, et sans consultation de la Toile…)

mardi, 17 janvier 2006

Hiveroclite

Je pense que ce carnet de toile est très hétéroclite : parmi mes lecteurs les plus fidèles, il y a ceux qui n’aiment pas les limericks, ceux qui n’aiment pas les célébrations, ceux qui n’aiment pas les autoportraits, ceux qui n’aiment pas le jazz, etc. (Il semble que personne n’ait jamais critiqué mes notes topographiques sur la Touraine, mais ça pourrait venir…)

 

S’il me reflète, c’est que j’ai bien des défauts, ou des imperfections, des contradictions, que sais-je ? Il y a, de nos jours, un cliché en littérature : l’idée qu’une œuvre valable est nécessairement multifaceted, multiple, prismatique – comment dire ? Je suis celui qui n’a pas de visage puisqu’il en a trop. J’ai repris mes pérégrinations sur les chemins du Jazeur méridional – autant dire qu’écrire des textes qui « parlent de musique » est ce que je trouve, de loin, le plus difficile… et, pour tout dire, le moins réussi.

 

Enfin, la pluie lave et noie toutes nos amertumes. Il faut continuer.

19:35 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)

lundi, 16 janvier 2006

Faire note de tout bois

Non, c'est vraiment n'importe quoi... Je ne voulais pas me coucher sans vous apprendre que, dans les pays d'origine de mes visiteurs, la Belgique est en train de détrôner (durablement?) la Suède à la troisième place du classement, avec 2,7%, contre 1,9% aux valeureux internautes suédois. Il va falloir que j'aille dire n'importe quoi sur un blog suédois, histoire de maintenir le suspens. Ou écrire plus en anglais.

Allez savoir...

Bon, indulgence ; ces prochains jours, pas de blog... Quelques photos, peut-être, si vous êtes sages.

Bonne nuit, je suis H.S.,

Guillaume

22:40 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

Précision

Irène m'écrit pour me dire qu'elle n'est "pas la seule à avoir eu la fève", et que "ce n'est pas la peine de rajouter une note à ta note". Je me demande bien de quoi elle parle.

19:03 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)

...

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18:10 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

Arithmétique souterraine

Dans l'euphorie de mes vomissements *  et dans la frénésie des commentaires (à moins que ce ne soit l'inverse), j'ai laissé passer inaperçu le deux millième commentaire, qui, comme c'est étrange, est de moi, et parle de chiffres...

 

* Rien avalé depuis trente heures maintenant.

16:10 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)

dimanche, 15 janvier 2006

Recoins méconnus d'Amboise, 3

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M. Gauvreau fait du très bon pain.

13:55 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

samedi, 14 janvier 2006

Eléments d’un dîner, vendredi 13

Convives

Ceux qui pieusement… : Trois messieurs et trois dames.

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Mets et boissons

Pruneaux au bacon, dés de gruyère, rôties à la tapenade.

Huîtres de Cancale. Champagne Fleury père & fils.

Confit de porc & tomates à la provençale.

Château La Fleur Peyrabon 1999.

Fromages divers, dont Saint Félicien, Pont-l’Evêque, Epoisses.

Château Liversan 1996.

Galettes à la frangipane. (Irène a eu la fève.)

Excellent armagnac proposé mais refusé – heure tardive ou activités du lendemain ? – par les convives. Café. Tisane au sureau.

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Types de discussions

Universitaires.

Personnelles.

Moqueuses.

Inavouables.

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Quelques sujets de discussion

Vaut-il mieux se faire refourguer des responsabilités de vice-doyen ou de directeur de département ? (Composition de philosophie en six heures.)

Eric Rohmer et les films de SF américains.

Les professeurs d’E.P.S. férus de didactique.

Pieds d’appel.

La Thaïlande et le processus de Kyoto (Là, j’ai peut-être mal noté).

Il était une fois l’homme.

jeudi, 12 janvier 2006

Ça ne s’invente pas, 2 : Plantade en beauté

Jean-Marc et Yidir Plantade sont les auteurs, aux éditions Bourin, d’un livre sur la Chine contemporaine. Quitte à ruer dans les brancards, ça sent l’échec.

11:00 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (5)

Ça ne s’invente pas, 1 : Un Français sur dix, mon œil

Les journalistes répètent à qui mieux mieux (ou à qui mieux meur, n’est-ce pas Loïc ?) qu’un Français sur dix tient son blog. D’où vient cette ânerie ? Eh bien, c’est tout simple : il y entre six et sept millions de blogs répertoriés ; il suffit de faire la division.

Petit hic, toutefois : beaucoup d’auteurs de blogs en ont créé plusieurs avant de trouver le bon rythme, le bon sujet, le bon hébergeur. Leurs précédents blogs sont souvent maintenus en ligne, ce qui est très bien d’ailleurs. D’autre part, il y a aussi les multi-auteurs, comme moi qui publie quatre carnets de toile. Et j’en connais bien d’autres dans le même cas…


Je pense donc que qu’il est difficile de calculer le nombre de blogueurs, mais que ce doit plutôt être de l’ordre de 2% que de 10%…

09:40 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (6)

mercredi, 11 janvier 2006

Note n° 999 : Une célébration improbable de Fuligineuse

Le 11 janvier 1732 est né à Helsinki Pehr Forsskål, explorateur, orientaliste et naturaliste suédois*. Il a notamment été l’élève de Linné. Il est mort au Yémen lors d’une expédition, à l’âge de 31 ans.

 

––––

* J’ai bien dit suédois. La famille suédoise de Forsskål s’était transportée en Finlande où le père était pasteur.

 

Pierres blanches

Nous approchons dangereusement de la millième note publiée. Comme mon fils a aujourd'hui quatre ans et demi (vous rappelez-vous combien les demi-années revêtaient d'importance à l'école primaire?), et comme une émission de radio va aujourd'hui assurer ma renommée mondiale et ma fortune, cela fait beaucoup de solennités et de pierres blanches d'un coup.

Que faire ? Décider de publier si peu de notes, ce mercredi, que la millième n'apparaîtra qu'ultérieurement ? M'en soucier comme d'une guigne, d'une nèfle, voire d'une figue, et tracer mon chemin en essayant d'échapper aux savants calculs qui seraient source de writer's block et autres faridondaines ? Publier, à ce millième grain de sable, un poème à tout casser, une photographie du tonnerre de Dieu, un pamphlet à faire oublier les récentes empoignades ?

Je suis indécis. Pour la troisième solution, c'est râpé, je crois bien : si ce que j'ai publié jusqu'ici est médiocre, ce n'est malheureusement pas délibéré. Aucun espoir de faire mieux. Pour la deuxième solution, il faudrait que je renonce à mes manies arithmétiques pour ne serait-ce qu'un 3600ème d'heure, ce qui est impensable. La première ne fait que repousser l'échéance.

Et si je confiais l'écriture de la millième note (et de la neuf-cent quatre-vingt-dix neuvième, tant qu'on y est (je sais que je me plante dans les tirets)) à quelqu'un d'autre ? Voilà, c'est ça, la bonne idée.

Je lance donc un concours de pierres blanches. Faites-moi parvenir, d'ici ce soir, huit heures, le cachet de la Poste faisant froid dans le dos, une note, brève ou longue, parodique ou non, etc., afin que je choisisse les deux meilleures et les publie en conséquence. L'adresse est ici.

 

*************

 

Ceci réglé, je n'ai pas terminé mes salades.

Je voulais revenir sur le médaillon, publié hier, de Galba. Voulant vérifier que le mot galbe en français provenait bien du latin galbus, je m'en suis assuré dans le Robert culturel (Simon, ça va...?), puis ai dû faire face à l'énigme suivante, après avoir consulté le Gaffiot : l'adjectif galbus, a, um ne signifie pas "gras", mais "vert pâle" ; associé au substantif nux, il désigne une espèce de noix (galbae nuces chez Pline l'Ancien).

A l'entrée GALBA, Gaffiot signale que c'était bien le surnom des Sulpicius, et notamment de l'empereur Galba, à qui Suétone a consacré l'une de ses Vies des douze César. Le substantif féminin galba, ae semble s'expliquer, d'après Suétone, par l'emprunt à un mot gaulois signifiant le gras de la viande. J'enrage d'avoir laissé chez mes parents (cet abandon ne m'ayant pas, jusqu'ici causé beaucoup de remords) mon exemplaire des Vies, où j'aurais pu vérifier le texte exact.

Sur la Toile, je n'ai trouvé que le texte latin, du chapitre III en particulier, mais ma pratique du latin a beaucoup décliné depuis mes années khâgneuses. Il me semble comprendre que Suétone est indécis sur l'origine du surnom (Qui prius Sulpiciorum cognomen Galbae tulit ambigitur : on ne sait qui a porté le premier le surnom de Galba... (traductions sous réserves, corectifs attendus et bienvenus)).

La première hypothèse fait référence au siège d'une ville espagnole, emporté grâce à des torches enflammées avec du galbanus [???] (inlitis galbano facibus ). La seconde hypothèse est médicinale et fait allusion à des remèdes enrobés de lainages (remediis lana inuolutis) (ça ne donne pas envie de retourner dans le passé). La troisième, enfin, fait allusion au mot gaulois, pour lequel Suétone hésite entre deux traductions opposées : très gras (praepinguis) et maigre (exilis).

Bon, bref, c'est le bazar, cette histoire...

Ce serait maintenant le moment idéal d'insérer un joli petit récit pornographique pour les plus méritants de mes lecteurs. (C'était une hypothèse de mon professeur de français en khâgne : les scènes sexuelles dans les romans de Claude Simon seraient une sorte de récompense, voire, pour les moins insomniaques des lecteurs, une forme de réveil.)

Mais non.

(Sans blague, vous n'êtes pas arrivés jusque là ???)

dimanche, 08 janvier 2006

Vierge ?

Je ne sais si vous lisez ces lignes, que j'envoie comme une bouteille à l'amer : dans mon navigateur, la page d'accueil de mon blog est totalement blanche.

J'essaie de la sorte.

18:53 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (9)

vendredi, 06 janvier 2006

Un monde parfait[ement médiatique]

J'écris juste une notule pour signaler à mes lecteurs que, sur le site du Monde, on peut lire les commentaires en réaction à un article de Monique Dagnaud, qui lui-même porte sur les courriers électroniques envoyés par des auditeurs de France Culture à la suite d'une émission consacrée, le 28 novembre dernier, aux retombées de l'interview donnée par Alain Finkielkraut au journal Ha'aretz.

Si vous le voulez bien, je propose que vous écriviez des commentaires en réponse à cette note qui réagit aux réactions des lecteurs du Monde, et que ceux d'entre vous qui ont un blog me rétrolient (ou me track-backent pour les amateurs de franglais), afin d'engendrer de nouvelles réponses.

Nous vivons une époque formidable.

21:10 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)

Un peu d'histoire suédoise, honteusement plagiée

Les premiers centres politiques paraissent s'être formés dans la région des lacs suédois (Mälar, Venern, Vettern), et aux environs des fjords de Trondheim et d'Oslo. A l'époque où Anskar visita la Suède, le roi de la région des lacs (ou Suède proprement dite, dont le grand sanctuaire odinique (La Religion nordique) d'Upsala était le centre religieux) était aussi le maître de la Gothie, qui, jadis, avait formé un État indépendant. Vers la fin du Xe siècle, Éric le Victorieux, de la dynastie des Ynglingaätten, fit de ce royaume suédois, déjà ancien, un grand État. Son fils fut Olaf Skotkönung, le premier roi chrétien (baptisé en 1008), le premier qui ait fait frapper des monnaies à son effigie. Olaf II meurt en 1022.

Il y eut ensuite des guerres atroces, politiques et religieuses, pendant deux siècles et demi : d'abord, entre les Stenkilskaätten de Vestrogothie, champions du christianisme, et les gens de l'Ostrogothie, attachés au paganisme; puis entre les Sverkerskaätten de l'Ostrogothie convertie et la « famille d'Eric » (Erikskaätten), qui s'appuyait sur le Svealand, tandis que la Vestrogothie restait fidèle aux descendants de Stenkil. Au milieu du XIIe siècle, la conversion du pays était complète, et les diverses dynasties princières rivalisaient de zèle catholique. Sverker et ses descendants s'appuyaient sur la protection de Rome; ils ont multiplié en faveur du clergé les exemptions et les immunités. Par contre, la dynastie d'Éric « paraît avoir voulu donner à l'Église une base nationale : Éric lui-même fut canonisé par le peuple, mais jamais par les papes »; c'est cet Éric qui entreprit (avant 1160) la conversion de la Finlande païenne. Finalement, les Sverkerskaätten l'emportèrent; mais ils s'éteignirent bientôt en la personne d'un roi fainéant, Erik Eriksson (1222-50).

L'événement le plus célèbre de ces temps, dans la tradition populaire suédoise, est la bataille de Lena en Vestrogothie (1208), où une armée de chevaliers danois, appelée par un prétendant, fut détruite. En 1250, le royaume des Sverleerskaätten ne comprenait pas toutes les provinces qui font maintenant partie de la Suède : la Scanie, le Halland et le Blekinge se rattachaient au Danemark, le Bohuslän, le Jemtland et le Herjedalen à la Norvège.



Source : Imago Mundi

mercredi, 04 janvier 2006

Valentin Conrart, deuxième

Délirant, il y a quelques jours, sur le nom fascinant du brave Valentin Conrart, j'étais loin de penser qu'il me serait impossible de trouver, sur la Toile, des textes de cet écrivain  - certes méconnu -  du XVIIème siècle. En revanche, on trouve aisément plusieurs liens vers la biographie critique et historique de Nicolas Schapira.

10:45 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1)