mercredi, 17 octobre 2007
Coterie...?
Si vous voulez pleurer un bon coup et/ou corriger les centaines de fautes d'orthographe, de syntaxe et de français d'une nouvelle primée par la Coterie poétique du Chinonais (?), c'est ici.
Ah, c'est bien, tout de même, de "valoriser" les illettrés.
13:20 Publié dans Words Words Words | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Langue française
Titraison ignore
Charme des 61 titres dans la tempête de mazout vert clair :
- Enoncé il y a un jour
- La Femme des sables
- 9840 cauchemars (tant et plus)
- I'll Sleep When I'm Dead
- Chat botté
- Gourmand (o) Gaden
- La vérité sort du marqueur des enfants
- Aber wo ist doch Nathan der Weise ?
- La Montagne aux Ravines
- L'Âne égaré
- Le Voyageur sans boussole
- Etopmoc etocmop
- Afrique des abri-bus
- Scène de chasse
- Chouettes pépées
- Incréments
- Arracher des récits
- Mise en tropes
- Hold-up
- Stage hypnotist Willie Single
- Back in 1717
- Chainsaw at Sousa's Funeral
- Cogitation
- " thinkative "
- Sisyphe
- Clic !
- Zabrachezumeuneur
- Ça ne s’invente pas
- Fiat lux
- La Possonnière, face endormie
- 1707 - Pont Wilson
- Andrew Varney strikes again
- Roderick Random for Dummies
- Hapax
- Ici ou à Espalion, ambitionnons l'impulsion !
- Il fait toujours beau
- Pan dans les dents !
- Cherchez l'erreur
- Surtout
- Sustine et abstine
- L'informatique, parfois, ça m'échappe
- Chant(e)re(lle)
- Ah, ça sent le sapin...
- 1694 - De saison
- Extension, suite
- "Planté une fleur / Comme un girasol"
- Par la peau
- Froggy indeed...
- Better this than Uriah Heep !
- I'm Ireland !
- Jeudi finissant
- Lys d'anus
- ... rêvent de prendre un fusil ...
- À la chaîne
- En maintien... en sursis ?
- Du vert ligérien
- La honte !
- Félix, 2 avril 1818
- Rondins & fientes, petites coulées
- nico nu / descendant l'escalier
- 96
11:11 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Blog, Ligérienne, écriture
Solario (portrait)
Je veux un jour descendre les marches, l’une après l’autre – sans me presser, esquiver mes responsabilités ni fuir mes fautes – et découvrir, dans une cave sans lumière, l’Arlequin solaire. Je veux consoler ses regards apeurés de pierrot triste, dynamiter sa légende et rapiécer un peu mieux les pendeloques de son costume. Ses guenilles pleurent dans la nuit bleue, et je veux, sans tible ni tenora, trouver le chemin des arènes où depuis des temps infinis il gît enfermé, à croupir dans la lueur violente de sa peau. À force de se triturer les joues, il pense être vêtu d’un masque. À force de se passer la main dans les cheveux, il se croit affublé de trois bérets empilés l’un sur l’autre, sinistres galurins. À force de se gratter sous ses guenilles, il ne sait plus où il est. Je veux un jour – ou une nuit, qu’importe – descendre les marches précautionneusement et aller délivrer de sa cellule l’Arlequin solaire.
09:57 Publié dans Un fouillis de vieilles vieilleries | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Art, écriture, Ligérienne