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dimanche, 25 septembre 2005

Dimanche (de pelle à gâteau)

Après une soirée arrosée, avec trois collègues, dont l’une, Orléanaise en poste à Montpellier et qui vient de publier sa thèse, fêtait son anniversaire chez nous, et donc, sous l’effet (l’habitude perdue) des six ou sept coupes de champagne entrelardées de quelques verres de Marsannay, une nuit presque sans sommeil, & une journée mollassonne, avec un peu de travail tout de même (cours toujours), la gigantesque vaisselle, le ménage dominical, et fini de lire Train de nuit avec suspects de Yoko Tawada et Mastroianni-sur-Mer de l’inimitable Enrique Vila-Matas.

 

Aujourd’hui, comme c’était le jour des 20 kilomètres de Tours, il valait mieux ne pas chercher à s’aventurer dans les parages, ce qui faisait une autre bonne raison de rester un peu au calme.

 

Le vif plaisir, fauve, furieux, que je prends à lire toujours de nouveaux textes de Vila-Matas, comme lors (mais fort différemment) de ma lecture des Récits de la Kolyma, il y a un an et demi, c’est qu’il (Vila-Matas) ouvre sans cesse la croisée sur une bibliothèque infinie et baroque, universelle et bariolée.

 

Je manque en ce moment d’énergie pour sortir le nez, et même pour écrire. Même de la Toile je me tiens éloigné.

 

En écoute : Stir-fry (l’un de mes morceaux préférés de l’un de mes albums de jazz préférés, Let’s Hang Out du regretté et merveilleux tromboniste américain J.J. Johnson) – de quoi je ne me lasse jamais…

samedi, 24 septembre 2005

...111...

Le golfeur écossais Tommy Armor, qui naquit il y a cent onze ans précisément, a défini comme suit le jeu dont il était un spécialiste:

Golf is an awkward set of bodily contortions designed to produce a graceful result.

This could be more or less applied to sex, or am I wrong?

Extension du domaine de la Touraine

Juste un petit mot, entre deux phases d'ensevelissement sous le travail, afin de signaler que je suis maintenant inscrit, comme Marione et à son instigation, à la communauté Ligérienne.

vendredi, 23 septembre 2005

Moins que jamais serein

Les trois dernières journées ont vu la culmination de ces trois dernières semaines de folie, à l’université, où j’ai passé mon temps à des tâches aussi multiples que minutieuses et, comment dirais-je, marquées du sceau de la matérialité la plus quotidienne. C’était mercredi la réunion de rentrée des différentes composantes et années, et, en tant que responsable de deux cycles distincts, je n’ai pas cessé d’éteindre le feu ici et là… Depuis avant-hier après-midi, où je présidais à la remise des emplois du temps de L3 Anglais, j’ai rencontré au moins soixante-dix étudiants en entretien privé pour x demandes aussi variées qu’inextricables. J’en passe et des meilleures.

Pendant ce quasi-mois à me démener pour que la rentrée ait lieu dans les meilleures conditions possibles, ma recherche n’a évidemment pas avancé (j’avais deux articles à rendre, et baste…) et je ne dis rien des préparations de cours, lesquels seront pourtant assurés dès lundi avec verve et, je l’espère, brio ; en tout cas, ils seront prêts. J’ai tout de même créé, hier, en quelques minutes, un blog pour ces cours du premier semestre 2005 : il s’appelle Cours 2005, tout simplement.

Ce soir, je me rends à la réunion des parents de l’école maternelle.

 

********

 

Je m’interroge souvent sur le titre Touraine sereine, qui désigne un carnet de toile dans lequel il n’est pas toujours (souvent) question de Touraine, et dont l’auteur est aux antipodes de la sérénité. J’aime les moments sereins, les instants de sérénité, mais mon tempérament ne les facilite pas.

 

jeudi, 22 septembre 2005

Aujourd'hui

Je m'en vais les offrir au premier mort qui passe
Les regrets éternels à présent me dépassent
Le 22 septembre, aujourd'hui, je m'en fous.


(Georges Brassens)

mercredi, 21 septembre 2005

Trente-deux ans et deux jours après le 19.09.1909

LE 21 septembre 1941, douze résistants étaient fusillés au mont Valérien. Parmi eux, trois avocats communistes, Georges Pitard, un Parisien de Paris ; Michel Rolnikas, juif lituanien né à Kaunas ; Antoine Hajje, Syrien d’origine. Tous trois étaient des Français, de naissance ou d’adoption.

(Source: L'Humanité)

Sombre crétin

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Mais que n'est-il encore moins impressionnable...

mardi, 20 septembre 2005

Aucard, suspends ton vol

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Seize ans et un jour après le 19.09.1909

La bénédiction de la pierre angulaire de la cathédrale de l'Immaculée-Conception, à Edmunston, eut lieu le 20 septembre 1925.

Me voici muet

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Me voici mué en solfège
Muet en point
D'interrogation
A n'être point
Qu'un tourbillon

Kevin Mark, suite

Pour écouter des extraits de morceaux chantés par Kevin Mark sur son site officiel.

Horsarrieu, août 2004

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La silhouette crée le nombre

Et la vie s'en va dans les foins

Rendre hommage à François Thiffault

Il faut que je me calme et que je modère un peu ma plume quand j'écris. Eh, Guillaume, le net est un espace public, compris? En l'occurrence, l'autre soir, un peu beaucoup agacé, j'ai terriblement exagéré mon impression de la prestation du quintette de Kevin Mark. Je maintiens que je n'ai pas aimé, qu'il y avait des côtés agaçants, une sonorisation qui écrasait le son des saxophones, etc.

Mais les commentaires à la fois peinés et très positifs du saxophoniste François Thiffault me désemparent; une fois encore, j'ai dégainé un peu vite. Je n'arrive pas à m'habituer à moi-même. Prends-en de la graine, Guillaume, prends modèle sur cet invité offensé pourtant si courtois.

Bonne résolution de l'automne: je ne m'indigne plus. Ex abrupto: pauvre abruti!

Zoo de Beauval: béton paysager

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"Alors, c'est tout ce que tu as pris en photo?"

lundi, 19 septembre 2005

19.09.1909

Il y a quatre-vingt seize ans, pas un de moins, paraissait, dans Le Petit Journal, un poème humoristique sur la conquête du Pôle Nord.

Vais me coucher...

... après plusieurs préparations de textes pour le cours d'"analyse de textes littéraires" de troisième année que je vais enseigner à partir de mardi en huit.

Bonne nuit,

22:03 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (2)

Recteurs, suite

A la suite d’une conversation téléphonique relativement courtoise avec Renaud Domenici, journaliste de la NR dont j’ai assez gravement mis en cause le sérieux avant-hier, je me dois de procéder à la mise au point suivante pour tous les lecteurs de ce blog :


1)    Je n’attaque pas systématiquement la NR ni les journalistes (c’est la troisième note, sur presque cinq cents et en trois mois et demi, que je consacre à des bourdes journalistiques).
2)     Je ne m’en prends pas aux articles qui donnent la parole à des factions d’extrême-droite par gauchisme (je crois qu’un récent et vif échange, jusqu’à ce jour resté sans suite d’ailleurs, avec une étudiante qui sous-entendait que j’étais moi-même d’extrême-droite, le montre assez).
3)    Je serais très heureux d’accueillir tout droit de réponse circonstancié de M. Domenici, avec qui la conversation fut d’ailleurs très éclairante et aimable, de même que j’aimerais parfois que les journalistes spécialisés dans les questions d’éducation ne se contentent pas de reprendre les dépêches d’agence (dans ce cas précis, essayer de trouver un point de vue différent de ceux des fondamentalistes de SOS-Education ne devait pas être trop difficile).
4)    Je présente publiquement mes excuses à M. Domenici pour avoir écrit que son article était “truffé d’erreurs”, alors qu’il comportait seulement une incohérence technique et un saucissonnage citationnel qui prêtait au contresens ; je viens d’ailleurs de corriger la note qui le mettait en cause, et de mettre de l’eau dans mon vin.


Enfin, je tiens à préciser que mon indignation de samedi ne provenait pas d’un quelconque esprit de corps, ni d’un parti pris de défense d’un collègue (et supérieur hiérarchique), ni d’une quelconque résurgence d’une omerta propre à l’Education nationale, mais d’une réelle inquiétude face au pouvoir  d’une association qui peut se vanter d’avoir obtenu la tête d’un recteur pour des raisons totalement fallacieuses: le sujet de 1ère L sur la contraception n’était en rien ni “scabreux” ni “douteux” ni discutable ; il était entièrement conforme au programme, comportait des questions variées, dont une partie sur l’IVG, qui, je le rappelle, est légale en France et dont la mention dans un sujet de baccalauréat ne saurait être considérée comme une entorse à la laïcité et au respect des opinions personnelles.  Imaginerait-on de sanctionner l’auteur d’un sujet de géographie sur le Brésil parce qu’un groupuscule de brésilophobes s’en serait ému? Le Brésil existe, et l’IVG est une pratique légale et sérieusement encadrée dans notre pays.

A l’exception des réactions disproportionnées d’organismes hostiles par principe à l’IVG et qui voudraient revenir par tous les moyens sur les acquis de ces dernières décennies en matière de droits civiques, ce sujet n’a d’ailleurs soulevé aucune polémique, comme l’a montré, entre autres, la réaction étonnée, sur ce blog, de Marione, candidate ayant préparé l’épreuve et pourtant lycéenne dans un établissement privé de confession catholique, où l’on imagine qu’un certain écho aurait été donné à une telle polémique, si elle avait eu lieu.

Le sujet de français qui a valu son “limogeage” au recteur de Rennes avait, lui, donné lieu à une vraie polémique et présentait quelques points discutables. Mais le sujet de SVT de 1ère L n’était en rien condamnable, et n’a été monté en épingle que pour nuire à l’enseignement rationnel et positif des sciences.

En d’autres termes, il est scandaleux et anormal que des factions obscurantistes puissent faire valoir leurs préjugés contre l’intérêt même de l’école républicaine. Si le Ministre a bel et bien muté M. le Recteur sous les coups d’estoc de cette cabale, comment ne pas imaginer que, demain, la première diffamation infondée coûtera sa place à tel député, ou à tel autre officiel? C’est là l’essentiel de mes reproches à M. Domenici : cette double sanction, si elle est avérée, crée un précédent tout à fait regrettable de retour à l’ordre moral et de tentative de contrôle de l’enseignement public par une fraction sectaire de la population française. Or, de cela, il n’est nullement question dans l’article. M. Domenici considère comme un fait avéré que les recteurs aient été en faute ; ce n’est pas le cas, d’où mon soutien à ces collègues qui n’ont pas failli.

19:15 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

WABW : panique, panade, pépins, pizza

Encore une journée harassante de travail principalement administratif, outre la préparation, pour la reprographie, des différents dossiers à distribuer aux étudiants lors des premiers cours. J’ai sué sang et eau sur de nouvelles paniques liées aux emplois du temps : il va falloir ouvrir de nouveaux groupes, de traduction notamment, en troisième année, ce qui, dans la mesure où nous devons remettre les emplois du temps aux étudiants dès mercredi, ne va pas être de la tarte, puisque P***, la directrice du département, n’était pas là aujourd’hui, et qu’elle n’a pu contacter les collègues susceptibles de prendre en charge ces enseignements. Autre panique, la panade des UE libres (unités d’enseignement libres), dont certaines sont confirmées, d’autres annulées pour cause de trop faibles effectifs, mais surtout… dont certaines vont peut-être ouvrir, mais peut-être pas, et les cours commencent lundi prochain, et ni le professeur ni les étudiants ne savent s’ils auront lieu…

Du coup, comme la mienne, sur les "formes de l’humour britannique", qui doit avoir lieu tous les lundis du premier semestre de six à huit, fait partie des cas tangents, j’ai déjà annoncé que les cours, si elle était ouverte, commenceraient le 3 octobre, et que le cours du 26 septembre serait remplacé à une date ultérieure. J’en passe et des meilleures.

J’ai un peu discuté avec AA, qui me dit que l’adaptation de son fils, âgé de dix mois, à la crèche, se passe comme ci comme ça, et que les premiers pépins du style rhinite commencent déjà à pointer le bout du nez (c’est le cas de le dire), ce qui m’a rappelé l’année d’A. en crèche ici, au Hallebardier, qui ne fut qu’une longue, onéreuse et confuse année de fièvres soudaines, de rhinopharyngites inexpliquées, et de débats avec la directrice de la crèche, qui ne voulait pas admettre que 25° en plein hiver, dans un établissement comme le sien, c’était au moins quatre degrés de trop. Finalement, j’avais fini, fort peu fier de moi mais à bout, par signaler le problème à la mairie, qui avait fait passer une entreprise de chauffage, qui avait confirmé qu’il y avait un problème, installé des thermomètres dans toutes les salles d’accueil et procédé aux réparations ; dès lors (après février), A. n’avait plus été malade. Il faisait entre 19° et 21° dans la crèche, et plus de microbes et virus en tous sens !

Le seul agrément de cette journée de travail fut le déjeuner, avec Irène, au nouveau restaurant italien de la Place du Grand Marché, Coco Mario je crois, où nous avons été servis par une jeune fille que je pensais connaître de vue, et qui, effectivement, nous a demandés au moment de l’addition si nous travaillions à la fac d’anglais, car elle avait dû m’avoir comme examinateur (la pauvre!) lors d’un oral, et qui, cette année, va préparer le CAPES. Je la verrai donc dès mardi prochain.

18:25 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0)

Dimanche, jour des blogueurs...?

N'ayant publié qu'une note hier, je m'aperçois toutefois que ce carnet de toile a reçu, en ce dimanche, 280 visiteurs, pour 916 pages vues, soit presque un record. Cela montre qu'il faut que je me calme de temps à autre, pour permettre aux uns et aux autres de se livrer à une séance de rattrapage en lisant les "vieilles notes".

 

11:00 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (3)

Gravitations

Ce n'est pas une épopée C'est une
Envie d’amour au clair de lune

L’abri contre le mal, la bride sur
Le cou… mieux vaut la morsure

Tout n’a pas été vendu
Vois au fond de mes yeux cet autre œil éperdu

dimanche, 18 septembre 2005

Jazz en Touraine : Esplanade Maurice Cullaz

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La place où est installé le “village gourmand” du Festival Jazz en Touraine s’appelle Esplanade Maurice-Cullaz, en hommage à cet amateur de jazz et compagnon de route de nombreux musiciens, dont la voix est gravée sur le disque 3 d’Emmanuel Bex. Je suis assez content de la photographie que j’ai prise, qui laisse voir les formes des voitures derrière le drap orange, aussi de ce drap – aux couleurs de la ville, peut-être, mais, à coup sûr, du Blog Oranginal !

samedi, 17 septembre 2005

Jazz en Touraine, un fragment du « off »

Suite à la série de commentaires engendrés par cette note, et suite à la réaction motivée et courtoise de François Thiffault, j'attire l'attention de mes lecteurs sur le fait que j'ai affreusement exagéré dans cette note. A chacun de se faire une opinion concernant le quintette de Kevin Mark. Des goûts et des couleurs... (Préambule ajouté le 21 septembre 2005)

Nous avons passé, au « village gourmand » où se déroule le festival off de Montlouis, une après-midi agréable, quoique fraîche et menaçant constamment pluie.

Il semble y avoir eu quelques cafouillages, ou, à tout le moins, ce qu’un musicien a appelé «les luttes intestines du festival». En effet, le trio du contrebassiste Pierre-Stéphane Michel, que je n’avais jamais entendu, devait se produire à 15 h 30. Or, quand nous sommes arrivés au « village gourmand », le concert avait commencé; il s’est arrêté peu avant quatre heures, pour laisser place à la formation du guitariste Kevin Mark, qui s’était pourtant déjà produite au in l’avant-veille et n’était pas programmée.

Le plus triste, dans ce flottement, c’est que le trio de Pierre-Stéphane Michel proposait une musique mélancolique, douce, très travaillée, parfois violente et lancinante, bref un vrai trio de jazz avec trois musiciens de qualité résonnant dans une belle interaction – alors que le quintette du dénommé Kevin Mark était assez indigne de monter même sur le podium d’un radio-crochet. (J’exagère à peine; vous connaissez maintenant mon penchant pour l’hyperbole.)

 

Toutefois, ce blues mal dégourdi, espèce de sous-sous-Muddy Waters dénué d’invention, déroulant tous les clichés du genre sans avoir l’âme du blues, avait l’air de plaire au public. Les paroles étaient sans cette simple ironie si difficile à tenir et qui caractérise le genre, le guitariste-chanteur a une voix sans relief, et, comble des combles, la sonorisation écrasait complètement le jeu des deux saxophonistes, sauf, évidemment, sur certains (quasi-)solos. J’ai remarqué cette erreur de sonorisation dès le premier morceau. Or, ne voilà-t-il pas que le guitariste annonce au micro, à l’issue de ce premier morceau : “Can I have some more volume, and more for the drums as well?”  Dans ce contexte, il allait s’avérer définitivement impossible d’entendre les saxos. On se demande bien pourquoi s’embêter à faire souffler ces deux braves garçons comme des perdus pour n’entendre que les roulements forcenés du batteur et les riffs (moyennement) déchaînés du guitariste (je ne parle même pas de la contrebasse)…

Ce désagrément mis à part, ce fut agréable : très jolie découverte du trio constitué de Pierre-Stéphane Michel, Frédéric Delestre et Bruno Ruder, dont je reparlerai prochainement (mais vous pouvez déjà vous procurer leur album, Bayahibe), A., mon fils, ravi, la menace de la pluie sous un ciel pétroléeux et attendrissant.

Je regrette de n’avoir pu aller à un ou deux spectacles du in, surtout Baptiste Trotignon, qui se produisait hier, dont je suis la carrière depuis lurette. Mais j’étais à Paris. L’année prochaine, peut-être, si l’équipe du festival se décide à programmer un peu plus de jazz, j’y assisterai vraiment. Cette année, il y avait de quoi faire fuir…

Comme cela passe, 204 années

"Louis Thomas VIDELOUP est né le 17 septembre 1801 à New York".

Autosuffisance

Je suis d'une incroyable suffisance!

Je me surprends, depuis deux jours, à attendre la publication, sur le blog de Marione, du portrait imaginaire qu'elle devait faire de moi.

Bon, Marione, je disais ça juste comme ça...

18:15 Publié dans BoozArtz | Lien permanent | Commentaires (4)

Finalement...

... le carnétoile n'a pas suspendu son vol.

Si d'un mal naissait un bien...

... ce serait peut-être que cette sombre manipulation politique autour de sujets du baccalauréat nous débarrasse des sujets d'invention et autres argumentations, qui ont dévoyé l'enseignement des lettres en lycée au profit d'un méli-mélo sociologique pas toujours très "littéraire".

13:19 Publié dans WAW | Lien permanent | Commentaires (0)